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Khemaïes Ksila parle de ses bonnes relations avec Kamel Letaïef
08/02/2015 | 22:03
1 min
Khemaïes Ksila parle de ses bonnes relations avec Kamel Letaïef
Lors de son passage avec Samir El Wafi à l’émission « A celui qui ose seulement », ce soir du dimanche 8 février 2015, Khemaïes Ksila a parlé, bien entendu du conflit et du désaccord qui l’opposent à son parti Nidaa Tounes, mais il a également évoqué ses relations avec Kamel Letaïef.

Pour M. Ksila, Kamel Letaïef fait du lobbying politique, ce qui est un fait ordinaire comme on en voit partout dans les pays démocratiques et avancés avant d’avouer qu’il a été et est, encore, en contact assez régulier avec lui.
Je communique avec, surtout, dans les moments où il se retrouve en difficulté, notamment lors de la cabale dont il a fait l’objet jusqu’à chez lui où on a tenté de l’arrêter sans raison ni procédure légale, a-t-il déclaré.
« Kamel Letaïef a toujours joué un rôle dans la vie politique et tente d’en avoir un dans l’état actuel des choses, mais je ne sais pas à quel point il a réussi en cela. Ce que je sais, c’est que maintenant, il s’agit d’un homme ordinaire », a précisé Khemaïes Ksila avant d’ajouter que M. Letaïef a eu de « nombreuses positions courageuses et humanitaires dont notamment la protection qu’il a apportée à Mohamed Charfi, grand défenseur des droits de l’Homme ».
En conclusion de ce volet, M. Ksila estime qu’il est honoré d’avoir de bonnes relations avec Kamel Letaïef, « un homme aux rôles, globalement, positifs ».

Khemaïes Ksila a évoqué, par ailleurs, ses rapports avec Slim Chiboub, pour dire qu’il a eu affaire à lui lorsqu’il était venu le voir, du temps de Ben Ali, pour lui proposer des « arrangements » dans des situations bien déterminées.
Mais dans l’état actuel des choses, je compatis avec lui parce qu’il souffre de la privation de la liberté, mais surtout, je compatis avec sa femme, la fille de Ben Ali, privée de ses libertés d’action et de son passeport alors que, juridiquement, elle n’a rien à se reprocher, a-t-il renchéri.

Sarra HLAOUI
08/02/2015 | 22:03
1 min
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Commentaires (8) Commenter
Le promeneur de toutes les rives
ourwa
| 10-02-2015 01:44
Ça c'est de la « démocratie », de la « franchise », ou alors on n'y se connaît pas '
M. Ksila, sous forme d'un faux aveu, rappelle ses relations avec Kamel Ltaief, un secret de Polichinelle, ou alors ses amitiés douteuses avec Slim Chiboub, le gendre de ban ali et actuellement sous le verrous... On soit tous que Ltaïef et Chiboub, étaient deux pièces maîtresses du système mafieux de ben ali. Mais «  pour M. Ksila, Kamel Letaïef fait du lobbying politique, ce qui est un fait ordinaire comme on en voit partout dans les pays démocratiques .. » ,donc au dessus de tout soupçon, comme du temps de ben ali, tout comme Chiboub : « qui était venu le voir, du temps de Ben Ali, pour lui proposer des « arrangements » dans des situations bien déterminées.  «  sic. M ; Ksila , en disant cela, se rendait-il compte qu'il avait trop dit et pas assez ? Ces propos, nimbés de mystère et qui fleurent bon les coups tordus politico-mafieuses, genre films de Scorsèse, se voulaient probablement anodins, exemptes de soupçons, émanant de quelqu'un qui n'aurait rien à se rapprocher et qui ne cache rien...ou presque, car tant à jouer « le franc du collier », la langue naturellement déliée, on finit par tenter le diable, qui, comme chacun le sait, a la langue fourchue et le verbe haut. Et lors de cette émission, le diable a pris la figure d'un des invités, un journaliste -que je prie de me pardonner cette comparaison , ainsi que l'oubli de son nom- qui, enthousiasmé par ces points de détail du passé de M. Ksila, en remet à son tour une louche et apprend à beaucoup d'entre nous le passage de Ksila par l'extrême gauche, pour ensuite rallier le RCD ( du temps de ben ali), virer de bord après la révolution pour embrasser Ettakattol et se jeter dans la foulée dans les bras du CPR. Et comme tout homme qui n'a ni foi, ni loi, ni ligne idéologique sérieuse, ni honnêteté intellectuelle, à part la ligne tournante de toute girouette bien huilée et l'intellect d'un marchand de vestes tournantes, il s'élance toutes voiles dehors dans l'antichambre de nidâa tounes en 2013. Il y est encore, avec un strapontin à l'Assemblée nationale et une attitude de petit contestataire ( un héritage de sa période gauchiste?), qui rue dans les brancards à cause de la présence de ministres islamistes dans le gouvernement et le vote de confiance accordé par nidaa à ce gouvernement ' Courageux et pas téméraire, Ksila. Avaler des couleuvres, il sait y faire, d'ailleurs tous les élus et ministres de nidâa s'y préparent stoïquement. Démissionner de l'Assemblée et du parti pour dénoncer cette mascarade de « gouvernement de consensus », une vraie arnaque, une catastrophe pour le pays et pour tous les vrais démocrates, surtout pour les laissés pour compte de la « révolution », jeunes, chômeurs, laïcs, blessés,précaires ?...Il ne faut pas y compter. Pourtant ça aurait eu de la gueule et aurait fait réfléchir l'ensemble de la classe politique, toutes tendances confondues. Mais Ksila n'est pas l'homme de la situation. Il irait peut être ailleurs, bientôt, comme à son habitude...A Afek ? UPL ? Nahdha, pourquoi pas? D'ailleurs, tout comme lui, qui est passé par 6 partis en une vingtaine d'années, ghannouchi, son mentor et néanmoins sa bête grise, a effectué sept mutations en trente ans, en passant par le nassérisme égyptien, les thèses de l'ayatollah khomeini , la tambouille du Soudanais tourabi, les frères musulmans d'Egypte, pour jeter ensuite son dévolu sur le turc Reccep Tayeb Erdogan, avant de se stabiliser sur le Qatar, soit sept mutations, une moyenne d'une mutation tous les 4 ans... On peut donc se demander sincèrement quel serait l'avenir politique de Ksila et que réserve-t-il dans sa besace, avec ses semblables, tels que BCE, ceux de nidâa, nahdha, marzouki, ellouze, riahi...au pays... Bien qu'on ne lui donne pas le bon dieu sans confession, on n'oserait pas, non plus, lui confier le moindre petit troupeau...Question de confiance...Et d''honnêteté.
lobbying
ABDOU
| 09-02-2015 20:46
Va t il tenir les promesses qu'il a faite a ceux a qui il a promis des postes a la tete de plusieurs entreprises publiques , bien sur, car il parait que c'est son heritage ? Decidement les opportunistes tirent leur forces des plus opportunistes qu'eux, ces representants du peuple.
Petite rectif.
vif-air
| 09-02-2015 18:21
Il n'y a pas de T à la fin du dernier mot de ce texte. Fais attention il y a aussi qq maladresses, simplifiez. Merci

BN: Merci d'avoir attiré notre attention.
Débat citoyen
Ahmed Ben Aïssa
| 09-02-2015 16:53
@rayan benne
Vous prenez les propos de Ksila pour de l'argent comptant?
Cinéma gore
Ahmed Ben Aïssa
| 09-02-2015 16:51
"Kamel Letaïel", cet inconnu, cette apparition surnaturelle, ce fantôme, ce "Ghoul"

==> Ksila joue la carte des peurs et du cinéma gore..
==> Ksila essaie de filer dans les esprits de ses confrères ou cons frères politicards et par la même occasion dans les esprits des citoyens lambda qu'il a sa place et ses atouts dans l'intelligentsia tunisienne.
Ksila ou l homme de main...
rayan benne
| 09-02-2015 09:10
Maintenant on comprend mieux l origine des multiples tentatives de renversement du Gouvernement élu ( sit-in ... ) de l époque et l acharnement de Ksila contre les élus du peuple.
Suite à cette émission, certains disent que Ksila est l un des hommes de main de Kamel Letaïef!
Bravo
Tunisie21
| 09-02-2015 07:37
Bravo
pourquoi ne pas changer de parti
Patriote
| 09-02-2015 00:09
C"est bizarre ces politiciens au rabais ;quand on n'est pas en accord avec son parti ; on change de camp ou bien on la ferme.Je suis avec vous mais contre vous