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Hamma Hammami : La troïka veut choisir elle-même le futur chef du gouvernement
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Dans son allocution, lors de la conférence de presse tenue suite à la suspension du dialogue national, dans la soirée du lundi 4 à mardi 5 novembre, Hamma Hammami a fait porter la responsabilité de l’échec à la Troïka et, plus particulièrement, au parti Ennahdha.
Le leader du Front populaire affirme que le blocage actuel est dû à l’obstination des partis au pouvoir à imposer leur choix, à savoir la candidature au poste de Premier ministre d’Ahmed Mestiri, qu’ils voient comme « une compétence unique et inégalable ».
« Le CPR et la présidence ont mené une campagne de dénigrement à l’égard de Abdelkarim Zbidi dès que son nom a été proposé comme candidat au poste », a affirmé Hamma Hammami qui a exprimé son indignation face à une telle ingérence de la part de la présidence de la République qui s'est opposée à cette candidature.
« Nous avons proposé plusieurs noms de candidats aptes à conduire la période à venir, dont Houcine Abassi compte tenu des efforts qu’il a fournis », a-t-il déclaré tout en réaffirmant qu’Ahmed Mestiri n’est pas la personnalité adéquate face à la délicatesse de la situation.
« La Troïka a décidé depuis le début des tractations qu’il était de son rôle de choisir le futur chef du gouvernement […] ils ont essayé par tous les moyens de faire échouer le dialogue malgré les efforts fournis par le Front du salut ainsi que les autres partis participants ».
Le leader du Front populaire affirme que le blocage actuel est dû à l’obstination des partis au pouvoir à imposer leur choix, à savoir la candidature au poste de Premier ministre d’Ahmed Mestiri, qu’ils voient comme « une compétence unique et inégalable ».
« Le CPR et la présidence ont mené une campagne de dénigrement à l’égard de Abdelkarim Zbidi dès que son nom a été proposé comme candidat au poste », a affirmé Hamma Hammami qui a exprimé son indignation face à une telle ingérence de la part de la présidence de la République qui s'est opposée à cette candidature.
« Nous avons proposé plusieurs noms de candidats aptes à conduire la période à venir, dont Houcine Abassi compte tenu des efforts qu’il a fournis », a-t-il déclaré tout en réaffirmant qu’Ahmed Mestiri n’est pas la personnalité adéquate face à la délicatesse de la situation.
« La Troïka a décidé depuis le début des tractations qu’il était de son rôle de choisir le futur chef du gouvernement […] ils ont essayé par tous les moyens de faire échouer le dialogue malgré les efforts fournis par le Front du salut ainsi que les autres partis participants ».
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