Dans un communiqué publié peu avant minuit le 1er juillet 2013, le ministère de l’Intérieur a annoncé l’arrestation d’un membre des Ligues de Protection de la Révolution (LPR) dénommé L.N.
L’agresseur en question a été identifié grâce aux vidéos diffusées sur les réseaux sociaux et des sources sécuritaires affirment qu’il est connu comme étant habitant de Sijoumi et surtout comme étant un membre actif de ce qu’on appelle les Ligues de protection de la révolution qui s’illustrent, tristement, par leur recours systématique à la violence.
D'autres sources judiciaires précisent que cette affaire pourrait et devrait constituer un coup dur et une preuve fatale contre ces ligues en vue d’accélérer le processus de leur interdiction.
Dans un communiqué publié peu avant minuit le 1er juillet 2013, le ministère de l’Intérieur a annoncé l’arrestation d’un membre des Ligues de Protection de la Révolution (LPR) dénommé L.N.
L’agresseur en question a été identifié grâce aux vidéos diffusées sur les réseaux sociaux et des sources sécuritaires affirment qu’il est connu comme étant habitant de Sijoumi et surtout comme étant un membre actif de ce qu’on appelle les Ligues de protection de la révolution qui s’illustrent, tristement, par leur recours systématique à la violence.
D'autres sources judiciaires précisent que cette affaire pourrait et devrait constituer un coup dur et une preuve fatale contre ces ligues en vue d’accélérer le processus de leur interdiction.