
Ce week-end, une scène inédite a attiré l’attention des internautes : une foule impressionnante s’est rassemblée à Sfax pour l’ouverture du nouveau restaurant Habib Bey, déjà très populaire sur les réseaux sociaux grâce à sa street food généreuse et son image décalée.
Sur Facebook, les vidéos montrant des centaines de personnes faisant la queue devant l’établissement ont rapidement enflammé la toile. Certains y voient un phénomène de mode, d’autres, un véritable engouement pour une enseigne qui a su bâtir sa notoriété bien avant d’ouvrir ses portes dans la capitale du Sud.
Plusieurs internautes ont exprimé leur étonnement face à un tel engouement pour un simple fast-food, pointant du doigt une culture de consommation qui semble dépasser l’entendement.
Dans une ville comme Sfax, longtemps réputée pour sa tradition culinaire et sa préférence pour le « manger maison », ce raz-de-marée devant un restaurant de street food suscite autant des interrogations.
Pour certains, il illustre un changement profond des habitudes alimentaires et sociales, marqué par l’attrait grandissant pour les tendances virales.
D’autres ont même ironisé sur les réseaux sociaux, évoquant, non sans sarcasme, la théorie du « grand remplacement » brandie par certains courants racistes face à la hausse du nombre de migrants subsahariens dans la région.
S.H


Grave c'est grave !
De plus, le personnel se frottent les mains sur le pentalon ou avec une vieille serviette et sans rougir: ce sont des vrais professionnels!
Le port ou le changement de gants de travail est totalement inédit (mot étranger).
L'huile de friture est rarement ou pas changée au cours de la journée.
Il suffit de se rendre dans les toilettes privées de ces locaux pour se rendre compte de l'ampleur du désastre sanitaire.
La personne qui dépose la nourriture reçoit également les pièces de monnai, avec la même main.
Il suffit aux inspecteurs de visionner les vidéos sur YouTube (de Tunis jusqu`à Mednine!) pour se rendre compte de l'ampleur du désastre.
Tbarkallah 3linà!
Mais seulement à la vision des vidéos sur réseaux sociaux j'ai des nausées! Comment un Tunisien peut-il manger ce mélange qui ressemble plus à du béton dans un casse croûte'?'on peut le parsemer de pistaches et autres fromages'?'c'est de la mal bouffe'?'idem pour l'autre conçurent qui se fait appeler « El Ostedh » prof de quoi? Le comble..et la simple vision de leurs mets avec fromage filant me porte tout simplement la nausée'?'.et le hic: ils font la file pour avoir cette m****
L'accélération du taux de diabète et de prédiabète dans le pays dépassera encore plus vite le 75% de celui des pays du Golfe : comme Amin à la mosquée.
Pourquoi cet attroupement ? Y a-t-il une famine?
Pourquoi ne pas patienter et revenir plus tard?
Il n'y a pas plus saint et plus nourrissant qu'un plat tunisien. Après lui vient le Kafthègi. Toutes ces pâtées congelées à l'européen, ne mènent que vers "Sidi Azraïne".
Allah yostir Tounes.
Et en avant toute vers l' arrière . . . " Roulée Jeunesse " !
En avant et derouillée Vieillesse !