
Le bureau exécutif d’Ennahdha a condamné fermement le communiqué émis par les ministères de la Justice, de l'Intérieur et des Technologies qui, selon lui, n'ont rien trouvé d'autre que de traquer les opinions libres et d'opposition partout, y compris dans l'espace virtuel. Et d’estimer que si cette quête était sérieuse, ils auraient dû commencer par les pages importantes soutenant le 25 juillet et qui s'attaquent à l'honneur des opposants politiques, des magistrats, des journalistes, des syndicalistes et des blogueurs.
Dans un communiqué signé par le président par intérim Mondher Ounissi, le mouvement a aussi profité de l’occasion pour condamner le harcèlement, les abus et la négligence médicale subis par les prisonniers politiques dans les centres de détention. Et d’appeler les organisations de défense des droits de l'Homme à assumer leurs responsabilités dans la défense des victimes de la répression et des persécutions et dont certains sont carrément menacés de mort.
Ennahdha a constaté, aussi, la détérioration continue des conditions de vie des citoyens et l'augmentation des manifestations de misère et de pauvreté outre la recrudescence des mesures répressives. Pour le parti, la pénurie de pain et de produits de base est la preuve de l’échec du pouvoir dans la gestion de l’État.
En outre, le mouvement a dénoncé la poursuite de la fermeture de son siège central ainsi que des locaux régionaux en violation flagrante de la loi, de la coutume et du contrat social entre les Tunisiens. Et d’appeler à leur restauration et à cesser la restriction faite aux activités politiques des partis politiques et militants.
Il a aussi exprimé son attachement au militantisme pacifique dans le cadre du Front de salut national et aux côtés des forces démocratique pour la libération des prisonniers politiques et pour le retour de la liberté et de la démocratie.
I.N

Et puis depuis quand les ignorants et les incultes nahdha donnent des opinions ? Ces ftairias.
Il semble qu'on s'évertue, ici, à donner corps et contenu à cette assertion mensongère.
Ennahdha a montré, faits et gestes à l'appui, qu'il n'a cure des libertés.
La démonstration a été faite, au su et au vu de toute personne capable de voir et entendre.
Au Parlement.
Au sein de la Société civile, quand journalistes, artistes étaient insultés, bousculés, dénigrés, pourchassés.
Il n'est pas jusqu'aux intellectuels définis en "apostats" derrière le vocable de Ilmani, usité pour délégitimer, salir, bannir si possible.
Ce fut le cas de Youssef Seddik.
Voilà un intellectuel LIBRE et talentueux.
Les femmes eurent à subir tous les outrages. Jusqu'au vitriol, ici acide sulfurique.
Et ce n'est pas parce qu'on se paye les services de quelque femme acquise à la cause et se présentant sous les atours fu modernisme que cela change la nature, le fond de la doctrine.
Donc, ce mouvement est le premier ennemi des libertés.
C'est une association dont le but est de dominer au nom d'une option dangereuse, mortifère, totalitaire.
Voilà la vérité de Ennahdha.
C'est comme ils font avec les femmes, ils les emballent dans des sacs, les enlaidissent du mieux qu'ils peuvent, et ils nous présentent une à la mairie de la capitale très bon chic bon genre.
Il y a chez eux, cette manie, comme Mcdo, de vous présenter les choses sous emballage. L'image étant plus belle que la teneur et la saveur du produit. Mais, au moins cela accroche le regard.
Allah yehlek toute personne, khouengi ou non, ayant touché une part de cet argent. Amen.