Le secrétaire général adjoint de l’Union générale tunisienne du travail (UGTT), Sami Tahri, a estimé que la coalition Al Karama s’est exclue elle-même de leur initiative, n’ayant pas foi dans le dialogue.
Au micro de Wissal Kasraoui dans une déclaration à Houna Shems sur les ondes de Shems FM, M. Tahri a affirmé que tout dialogue ne doit pas être soumis à des conditions préalables, mais il faut qu’il y ait un terrain favorable qui en détermine le cadre.
« Pour nous, ce dialogue ne peut pas contenir des personnes qui véhiculent un discours de haine, qui représentent la principale cause de la crise, des personnes qui ne croient pas en un Etat civil et en sa démocratie et ne croient pas en la dimension sociale », a-t-il soutenu.
Et d’ajouter : « Le bloc parlementaire d’Al Karama ne peut pas croire au dialogue : il est et il demeure la raison de la crise au sein du Parlement mais aussi au sein de la société.
Personne ne l’a exclu du Parlement et personne n’a demandé son exclusion de cette institution, seules les urnes pourront le faire. (…) Ceci dit, ses élus ne croient pas au dialogue et estiment que tout dialogue ou initiative représente une tentative de porter atteinte à la légitimité. Ils se sont exclus eux même et ne veulent pas prendre part au dialogue ».
Le secrétaire adjoint de l’UGTT a avancé comme preuve à l’appui l’absence de dialogue au sein du Parlement : ce dernier n’a adopté que 4 projets de loi sur les 44 qui lui ont été soumis pendant une année. « S’il y avait un dialogue au sein du Parlement, on n’aurait pas besoin d’initiatives ! », a-t-il martelé.
I.N
Hier aussi j ai posté un sur la recontre du président de la république avec Taboubi et n'a jamais été publié.
Pour quoi ?
version UGTT. Ils reproduisent la même partition que sous le Nidaa.
Voilà ce corrompu de Tahri qui appartient à une organisation mafieuse decrete que le parlement est caduque et que la clique de Taboubi va organiser un dialogue nationale dont les participants vont être sélectionnés par cette même clique. Le peuple tunisien va se faire foutre nous dit Tahri.
L'UGTT fait fi du choix populaire, de la Constitution des institutions du pays.
En réalité ce dialogue nationale version Taboubi est man'?uvre ancienne des clans mafieux et de tous ceux qui ont perdu les élections pour revenir au pouvoir et empecher tout chargement et toute véritable réforme dans ce pays.
Attayar et Echaab savent pertinemment qu'ils seront laminés lors des prochaines élections et c'est pour cela qu'ils man'?uvrent avec ce syndicat et le systeme corrompu.
Selon la Constitution le véritable détenteur du pouvoir est le parlement et ce n'est pas à ce corrompu de Tahri de le juger.
Seul le peuple tunisien lors des prochaines élections pourra décider de ce que sera le prochain parlement. En attendant le parlement actuel est le centre du pouvoir.
Si dialogue nationale doit voir le jour doit être sous l'egide :
1- du parlement
- 2 du gouvernement approuvé par le parlement
-3 de la presidence de la république.
Toute autre initiative est une manoeuvre malveillante pour se substituer au peuple et lui ôter tout rôle dans la gestion du pays.
Les organisations sy dicales et autres doivent etre conviées mais elles doivent accepter auparavant sur quoi va porter le dialogue nationale à savoir les véritables réformes qui doivent être entreprises .
L'UGTT pour etre admise doit accepter de ne plus mettre des bâtons dans les roues du gouvernement quel qu'il soit et accepte que ses membres corrompus qui pullulent dans le secteur public doivent être sanctionnés et jugés.
Tout le monde sait aujourdhui que si le secteur public est en faillite totale c'est essentiellement à cause de la corruption généralisée qui y règne et l'UGTT en est en grande partie responsable.
Le peuple tunisien n'acceptera plus le dictat de tous ces clans mafieux qui saignent le pays et dont l ugtt edt l l'une des principales composantes.
