
La fille de notre confrère, Mongi Khadhraoui a été enlevée par un chauffeur de taxi avant d’être retrouvée une heure après et conduite saine et sauve à ses parents.
Mongi Khadraoui a indiqué à Business News que sa fille, âgée de 15 ans, avait pris un taxi devant le lycée pour rentrer chez elle. Le chauffeur avait décidé de l’enlever et avait changé la direction en prenant la route de Bizerte et s’est éloigné près de 30 km du lieu de son domicile. « Passant par un grand nid-de-poule dans la chaussée, le chauffeur avait été obligé de ralentir. Ma fille avait donc réussi à débloquer la porte et prendre la fuite. Elle a dû courir entre 3 et 4 Km. Elle a appelé la police et j’ai pu la récupérer. Elle a pu noter quelques références de la voiture et les policiers sont à la recherche du chauffeur. Les caméras de surveillance devraient l'identifier. Les forces de sécurité ne tarderont pas à le retrouver », indique Mongi Khadhraoui saluant le soutien des médias.
D’autre part, le porte-parole du Tribunal de première instance de l'Ariana et substitut du procureur de la République Moez Ghribi a assuré dans une déclaration Mosaïque Fm qu’une enquête a été ouverte sur ordre du parquet pour révéler les faits de cette affaire. Il a ajouté que la jeune fille était saine et sauve et que les enquêtes se poursuivaient.
S.H
Pour agir ainsi, impossible d'être un humain normalement constitué, un vrai danger public que ces microbes représentent, une menace réelle pour la sécurité de nos familles.
Le bon c o e u r du père aussi y était pour quelque chose, connu par sa bonne éducation et sa droiture.
Nous remercions notre Bon Dieu.
Depuis quelques temps on parle de faux taxis. Il est invraisemblable que ce phénomène puisse survivre plus de 24 heures dans un pays disposant d'un corps de police aussi bien formé et rodé comme le notre.
Tout un chacun, à certain moment a besoin de prendre un taxi. Si cette voiture et son conducteur ne sont pas répertoriés, tout devient possible même le pire peut arriver.
C'est à l'Etat de faire le nécessaire pour que les citoyens quels que soient leur age et leur condition physique puissent utiliser un moyen de transport publique dont la fiabilité est garantie par l'Etat.
Pour l'anecdote un taxieur a commis un harcèlement pareil sur l'autoroute reliant Tunis à la Goulette, mais entre-temps la fille a téléphoné pour que cet énergumène (comme plusieurs autres de ses collègues) soit attendu et reçu comme il se doit n'eût été son sauvetage par des passants.
Ce sont les massacreurs de l'économie tunisienne sans risque d'erreur.
Ahhh, si on était encore à l'époque du magnanime ZABA, le chauffeur de taxi criminel, serait déjà en train de faisander au soleil !!!!
Mais bon, le choix de nos compatriotes ploucs, bagla-liha, fut autre.

