La Tunisie est entre la faiblesse et l'abus d'autorité, les pionniers de l'arène profonde étaient conscients que la marge est étroite.
Pauvre Tunisie
Karl Marx disait :
Toute classe qui aspire à la domination doit conquérir d'abord le pouvoir politique pour représenter à son tour son intérêt propre comme étant l'intérêt général.

quand j' écrivais que abou est le champion et le roi de la *** , ghanouchi lui met une nouvelle de temps en temps pour rester toujours en forme

les masques sont tombés.
ettayar est plus dangereux pour la laicité que le parti el karama.
le programme sur la lutte contre la corruption n aboutira pas.
En effet, que fait Abbou quand la fille d'un ministre nahdhoui bousille une voiture de luxe du ministere et fait appel au chauffeur pour rediger un constat faux.
Que fait il quand un ministre se permet de quitter le pays en plein confinement!
Abbou et son parti ne va rien faire.
il finira dans les oubliettes.
Abir gagne des points contre likhwangia et elle a nos encouragements, en attendant de voir un vrai parti laic démocrate moderne et patriote

Notre chére TUNISIE doit étre éternellement ni avec hafter, ni avec sarraj et ni avec n'importe quel clan ou faction dans le monde ......Lors de tout conflit , notre politique des affaires étrangéres est depuis notre indépendance basée sur l'encouragement et le soutien à ceux qui optent de s'asseoir sur la table de négociations , de pourparlers , à l'écoute et à l'échange des propositions jusqu'à l'arrivée à un accord qui peut satisfaire plus ou moins tout le monde et le suivi et l'évaluation reste toujours présente et continuelle... Notre seul et unique soutien doit étre orienté à conseiller nos fréres libyens à résoudre leurs conflits et leurs discordes par des moyens et des méthodes pacifiques et de ne jamais s'engouffrer dans une guerre qui n'aura pas de fin et que ses conséquences ne seront que chaotiques dans tous les domaines et personne ne sortira victorieux et gagnant, seuls les intervenants et les ingérants profiteurs et semeurs de conflits et de querelles sont les seuls gagnants, et c'est leur occasion idéale et propice pour écouler leurs armes venimeuse pour détruire le maximum, et aprés ils seront les premiers venir proposer et méme imposer hypocritement leurs concours pour reconstruire et réparer ce qui ont détruits et ce qui est de survenir actuellement et à l'avenir

Députés vendus. Peuple arnaqué. Richesse dilapidé. Pays vendu.
Bientôt on sera re-colonisé car on n'aura pas de quoi pater les dettes amassés par les gouvernements marionnettes entre les mains des khouanjias.

Cette bande de faux-cul a déserté l'Assemblée et le pays pendant le vote. Honte à vous

Décidément ce "bloc démocrate" sème le trouble. C'est bien de les démasquer.
A la prochaine Abir, faut pas céder

Pour ceux qui disent que c'est une étape perdu pour Abir Moussi, je leur dis, ne soyez pas optimistes,Abir Moussi n'est qu'au début d'une longue bataille contre cette peste islamiste,elle vous en surprendrait d'avantage,elle a tout les plans qui feront détruire cette vermine politiquement,elle n'est pas bricoleuse en politique,elle est une femme réfléchie et qui sait qu'est ce quelle veut pour le bien de ce pays et soyez sûr quelle ne baissera pas les bras comme les vendus et le peureux et surtout les opportunistes

Il faut vite tirer tous les enseignements de ce vote intéressant à plus d'un titre
1/ Les députés ont voté en conscience et non par réflexe pavloviens sur une consigne de leur parti ou de leur groupe. Cela est net au vu de l'éparpillement des votes entre "pour" et "contre" dans les mêmes groupes, y compris Ennahda, et parmi les indépendants. C'est un bon point pour la démocratie parlementaire. Il y a moins de godillots dans cette Assemblée qu'on aurait pu le craindre.
2/ Ceux qui ont voté « pour » ne l'ont pas fait en faveur de la résolution libyenne, mais « contre » Ghannouchi » pour des raisons personnelles, psychologiques et idéologiques, pour régler des comptes ou assouvir des haine recuites, ce qui n'a rien à avoir avec un vote politique. La résolution elle même n'avait d'ailleurs aucun sens : la non-ingérence dans les affaires d'autrui est un principe de droit international tout à fait établi depuis plus d'un siècle.
3/ Au total Ghannouchi sort grand vainqueur de cette épreuve qu'il s'est imposée à lui même et qu'il aurait pu refuser, parce que rien dans la constitution ne l'y obligeait. En acceptant une confrontation démocratique, il marque un point contre ses adversaires qui l'accusaient de despotisme.
4/ Le PDL a sans doute gagné le « buzz », mais il a perdu la partie politique. L'intervention hystérique de Abir Moussi, qui ne comportait pas que des vérités, comme le signalait Nizar Bahloul, et beaucoup de mensonges sur le parcours d'Ennahda et ses affiliations politiques, n'a pas amélioré l'image du parti et de sa présidente, quoi qu'on en dise. Son rôle n'est pas de ramasser les miettes tombées par terre, mais d'élever le débat et d'apporter des propositions pour une sortie de crise. Elle s'est comportée comme une groupie de son gourou Ben Ali -- et pas de Bourguiba. Elle a pourtant les moyens intellectuels et sans doute matériels pour mettre sur pied un parti, gagner des élections et peut-être un jour diriger le pays. Il lui faut aussi se débarrasser d'alliés encombrants sur le scène arabe et internationale, qui, en cas de besoin, la rejetteront comme un vulgaire kleenex. Le PLD, après un petit quart d'heure de gloire, reste seul avec ses 16 députés coincé dans une opposition de façade et de spectacle sans perspectives autres que de refaire du « buzz », à en devenir lassant. Au passage, il a révélé son alignement total sur les Emirats, l'Egypte, l'Arabie saoudite, la France et la Russie, tous parrains de Khalifa Haftar, dans cette affaire libyenne pour laquelle il demandait pourtant la non-ingérence étrangère. Comprenne qui pourra.
5/ La Tunisie a plus que jamais besoin d'une nouvelle constitution définissant clairement et sans ambiguïté la nature de l'état, le projet de société, établissant une stricte séparation des pouvoirs entre l'exécutif, le législatif et le judiciaire, et des contre-pouvoirs forts garants de l'équilibre institutionnel. Ce serait un bon projet pour le PDL s'il voulait bien dépasser son infantilisme politique actuel pour s'y atteler.

Minable leur attitude, vraiment minable
Ils sont foutus après ça car ils ont mis de côté leur principes pour des accords partisans et pour rester au govt.
pour des gens qui se disent anti-corruption, ils se font prendre en flagrant délit
Minable est le seul mot pour eux...