Le ministère de la Santé a rendu public un communiqué, dans la nuit du mercredi au jeudi 14 mai 2020, indiquant qu'aucune nouvelle contamination n' a été enregistrée sur l’ensemble des 443 prélèvements effectués le 13 mai. 30 autres cas positifs concernent d'anciens patients. Le bilan national reste stable à 1032 cas confirmés sur un total de 34.323 prélèvements.
Le ministère indique que 759 personnes se sont rétablies après avoir été contaminées. 5 personnes sont actuellement hospitalisées
Le nombre de décès s’élève à 45 personnes : 5 à Sfax, 7 à Sousse, 5 à l’Ariana, 1 au Kef, 1 à Mahdia, 1 à Tataouine, 1 à Bizerte, 8 à Tunis, 5 à Médenine, 5 à La Manouba, 1 à Sidi Bouzid, 1 à Nabeul et 4 à Ben Arous.
Les contaminations sont réparties sur 24 gouvernorats et se présentent comme suit :
- Tunis : 232 cas
- L'Ariana : 99 cas
- Ben Arous : 97 cas
- La Manouba : 40 cas
- Nabeul : 15 cas
- Zaghouan : 3 cas
- Bizerte : 25 cas
- Béja : 4 cas
- Jendouba : 1 cas
- Le Kef : 8 cas
- Siliana : 4 cas
- Sousse : 84 cas
- Monastir : 40 cas
- Mahdia : 17 cas
- Sfax : 36 cas
- Kairouan : 8 cas
- Kasserine : 8 cas
- Sidi Bouzid : 6 cas
- Gabès : 23 cas
- Médenine : 90 cas
- Tataouine : 36 cas
- Gafsa : 45 cas
- Tozeur : 5 cas
- Kébili : 106 cas
S.H
J'ai constaté que l'être humain (le tunisien, en tout cas) est prêt à respecter toutes les règles qu'on lui impose si c'est dans son intérêt, à la condition que toutes les restrictions sont accompagnées de mesures compensatoires. Dans le cas contraire, il ne fait fi de ces règles.
Je pense que cette crise sanitaire et économique devrait être une occasion à nous tous à tirer les bonnes leçons pour demain. Il y aura encore des pandémies selon les experts. Il y aura encore des crises économiques et sanitaires. One pourra pas éliminer tout risque, mais on peut apprendre à le réduire au maximum.
devant nos brillants résultats qu'est ce qu'on attend pour ouvrir les écoles publiques bien sure avec les mesures de sécurité sanitaires et les distanciations sociales et la réduction du nombre d'élèves par classe les petits ne comprennent pas pourquoi ils sont privés d'école pour une longue période et certainement elle agira sur leur comportements surtout dans les familles modestes que leurs parents ne peuvent payer ni des enseignants privés ni d'assurer eux mêmes les cours à leurs enfants Monsieur le ministre de l'éducation nationale qui se dit ancien professeur de l'enseignement certainement a en tête les cas des élèves des familles modestes et les décrocheurs mais pour lui il veut assurer les examens uniquement des concours nationaux et tant pis pour le niveau des candidats ,aussi les syndicats des enseignants doit être le premier à réclamer l'ouverture des écoles sous certaines conditions de sécurité mais ses adhérents sont très contents de toucher salaires et primes sans travailler c'est le paradis !