Les deux dernières plénières de l’ARP ont semble-t-il provoqué l’étonnement, la surprise ou la colère de certains. C’est très compréhensible compte tenu de la médiocrité des discours tenus et de la gravité des comportements enregistrés. Ce qui l’est moins par contre, c’est que nous nous acheminons, cette fois encore, vers une attitude laxiste, permissive, voire indulgente envers ces écarts de langages et de comportements. Comme si la grossièreté est la règle. Comme si la violence est une fatalité.