| 25-05-2017 10:43
OK, ils ne font confiance ni à L'INS (Institut National des Statistiques) qui publie mensuellement depuis des dizaines d'années les données sur l'énergie, ni à la BCT qui publie et exploite ces données, ni au Ministère des Finances qui établit les bilans correspondants d'import export.
OK, ils ne font confiance à aucun des sept ministres qui ont été en charge de l'Energie depuis 2011 et qui ont travaillé sur ces données.
OK, ils ne font confiance à aucun des gouvernements (avant et après la révolution) qui ont eu recours à l'emprunt pour boucler les budgets successifs.
OK, ils ne font pas confiance à toutes les compétences qui travaillent à la tête des sociétés nationales énergétiques dont l'ETAP, la STEG, La SNDP, l'ANME et d'autres.
OK, ils ne font confiance ni à l'AIE (Agence Internationale de l'Energie) ni au CME (Conseil Mondial de l'Energie) ni à l'OPEP, ni à tous les autres organismes internationaux qui travaillent sur les données énergétiques de tous les pays du monde et établissent des statistiques sur toutes les ressources.
OK, ils ne font confiance ni à la Banque Mondiale ni au FMI qui vérifient ces données et qui consentent des prêts à la Tunisie et ignoreraient donc l'abondance de nos ressources.
OK, ils ne font pas Confiance à la CIA (Central Intelligence Agency), l'Agence Centrale du Renseignement des Etats Unis qui publie les données énergétiques de tous les pays, y compris l'import export.
Alors, je doute vraiment que ceux qui peuvent accéder à ces informations et qui les mettent en doute sont de bonne foi.
Ceux-là, S'il Vous Plaît, ne me demandez pas d'essayer de les convaincre.
Ce qui me chagrine, par-dessus tout, c'est la décision du Gouvernement de créer une commission de vérification des ressources.
Entendez bien, c'est une commission de vérification et non pas une commission de communication, de présentation ou d'explication des données des ressources.
Je me demande quels sont les experts, Tunisien ou étranger, qui prennent cette démarche au sérieux, et accepteraient de participer à une vérification des ressources.
J'imagine le degré d'étonnement et de stupéfaction de tout expert étranger qui serait approché pour contribuer à une telle commission.
Franchement en tant que contribuable je n'ai pas envie de participer au paiement des frais de cette commission.
Tant qu'à faire, Pourquoi pas, aussi, une commission pour vérifier si la terre est ronde ?
OK, ils ne font confiance à aucun des sept ministres qui ont été en charge de l'Energie depuis 2011 et qui ont travaillé sur ces données.
OK, ils ne font confiance à aucun des gouvernements (avant et après la révolution) qui ont eu recours à l'emprunt pour boucler les budgets successifs.
OK, ils ne font pas confiance à toutes les compétences qui travaillent à la tête des sociétés nationales énergétiques dont l'ETAP, la STEG, La SNDP, l'ANME et d'autres.
OK, ils ne font confiance ni à l'AIE (Agence Internationale de l'Energie) ni au CME (Conseil Mondial de l'Energie) ni à l'OPEP, ni à tous les autres organismes internationaux qui travaillent sur les données énergétiques de tous les pays du monde et établissent des statistiques sur toutes les ressources.
OK, ils ne font confiance ni à la Banque Mondiale ni au FMI qui vérifient ces données et qui consentent des prêts à la Tunisie et ignoreraient donc l'abondance de nos ressources.
OK, ils ne font pas Confiance à la CIA (Central Intelligence Agency), l'Agence Centrale du Renseignement des Etats Unis qui publie les données énergétiques de tous les pays, y compris l'import export.
Alors, je doute vraiment que ceux qui peuvent accéder à ces informations et qui les mettent en doute sont de bonne foi.
Ceux-là, S'il Vous Plaît, ne me demandez pas d'essayer de les convaincre.
Ce qui me chagrine, par-dessus tout, c'est la décision du Gouvernement de créer une commission de vérification des ressources.
Entendez bien, c'est une commission de vérification et non pas une commission de communication, de présentation ou d'explication des données des ressources.
Je me demande quels sont les experts, Tunisien ou étranger, qui prennent cette démarche au sérieux, et accepteraient de participer à une vérification des ressources.
J'imagine le degré d'étonnement et de stupéfaction de tout expert étranger qui serait approché pour contribuer à une telle commission.
Franchement en tant que contribuable je n'ai pas envie de participer au paiement des frais de cette commission.
Tant qu'à faire, Pourquoi pas, aussi, une commission pour vérifier si la terre est ronde ?
