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Boycott des examens : Indignation des parents et des élèves
26/11/2018 | 11:45
1 min
Boycott des examens : Indignation des parents et des élèves

 

 

La décision de la Fédération générale de l’enseignement secondaire a suscité l’indignation aussi bien des élèves que de leurs parents. Ainsi, des élèves dans plusieurs gouvernorats ont protesté contre le flou qui règne autour du calendrier des examens, notamment, à Sfax, à Kasserine et Jendouba.

 

L’association tunisienne des parents et des élèves a rendu public un communiqué exprimant son inquiétude quant à cette décision, ainsi que l’implication des élèves dans ce conflit. L’association a considéré que seuls les élèves paieront la facture de tous ces tiraillements appelant à la reprise du dialogue afin de résoudre les problèmes.

 

S.H

26/11/2018 | 11:45
1 min
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Commentaires (8)

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big
| 30-11-2018 17:46
très grave !. Comme dans tous conflits, ce sont toujours les innocents qui subissent les conséquences. Et pendant ce temps, les responsables se la coulent douce...Taboubi Yaacoubi et Compagnie.

Microbio
| 26-11-2018 17:47
Cher/ere Jojo !

Merci pour votre suggestion et je voudrait ajouter l´idée suivante:
Obligation pour les enseignants de déclarer toutes les heures supplémentaires effectuées au cours des 7 dernières années et de comparer toutes les informations et déclarations des parents concernant leurs paiements aux enseignants au cours de la même période. Nous avons assez de chômeurs. Ils peuvent le faire!

Imed
| 26-11-2018 17:13
Il est inconcevable que les profs puissent s'en tirer comme cela; Le gouvernement doit décréter d'urgence que toute forme de rétention des noes, de blocage des examens s'apparente à une grève et ne sera donc pas payée.

Imed
| 26-11-2018 15:43
Pour faire reculer les voyous de l'UGTT, que l'Association des parents appelle à une marche nationale, dans tous les gouvernorats, pour protester contre ces profs, que BN enfin fasse un papier de fond sur les revendications des profs, ce qu'ils ont eu, ce qu'ils réclament encore.

adel
| 26-11-2018 15:13
Déduire les jours du boycott des salaires des concernés n'est pas une solution. N'oubliez pas que pendant ces jours ils donnent des cours particuliers rémunérés aux élèves qu'ils extorquent.

adel
| 26-11-2018 15:09
Dialogue = blablabla, immobilisme, impuissance pendant que le navire coule.

Najib
| 26-11-2018 12:47
Cette fois , la rançon demandée est 250 dinars d'augmentation des primes spéciales , en dehors de l'augmentation générale des salaires de la fonction publique objet de la précédente et de la prochaine grèves générales . Pour ce voyou syndicaliste , la prise en otage des élèves et la torture des parents sont les meilleurs moyens de pression pour soutirer l'argent à l'Etat . Il s'en foutent , lui et son patron Tabboubi , qu'on qualifie ou non ces moyens de lâches , immoraux et contraires à l'éthique syndicale . Tant que les mêmes crapules sont à la tête de ces groupuscules syndicalistes , la conduite ne changera pas , à moins que le pouvoir use la force pour protéger les enfants et les parents et sauvegarder l'école publique .

Jojo
| 26-11-2018 12:36
Il faudrait envisager une loi qui interdirait tous boycott des examens et les grèves dans l éducation nationale car on ne doit pas jouer avec l avenir de nos enfants et du pays ces agissements doivent être sanctionnés soustraire secs jours de grève des payes.´