Mme Abderrahim était dans ma promotion en 2ème année pharmacie et depuis on ne l'a plus revu mystère! d'où vient son diplôme de pharmacien?

Pharmacienne de 53 ans, Souad Abderrahim a été élue, ce mardi 3 juillet 2018, à la tête de la Municipalité de Tunis lors des élections du conseil municipal de la ville, en tant que nouveau Cheikh de la Médina. Elle s’était présentée aux élections municipales de 2018 en tant que candidate d’Ennahdha.
En 2017, Mme Abderrahim intègre le bureau politique d'Ennahdha, même si elle ne se considère pas comme islamiste mais comme indépendante. Le 23 octobre 2011, elle est élue à l'Assemblée nationale constituante, en tant qu’indépendante représentant Ennahdha dans la circonscription de Tunis 2 où elle est tête de liste. Elle a été la présidente de la commission parlementaire sur les droits de l'homme et les libertés pendant son mandat.
Souad Abderrahim est née le 16 décembre 1964 à Sfax. Elle a obtenu son bac au lycée Khaznadar en 1983. Elle portait le voile pendant ses années d'études à la faculté de médecine de Monastir. Elle commence à militer et à rencontrer des activistes comme Ajmi Lourimi, devenu plus tard membre du bureau politique d'Ennahdha. Elle devient par ailleurs membre du bureau exécutif de l'Union générale tunisienne des étudiants (UGTE).
Son activisme avec l’UGTE, lui vaut non seulement des déboires au niveau de son cursus universitaire mais aussi arrestation et emprisonnement en tant qu'opposante du régime, surtout après le retrait du visa de l’UGTE en 1991. C’est à cette époque qu’elle abandonne le hijab. Ceci dit, elle parvient à obtenir son diplôme de pharmacie en 1992 et devient dirigeante d'un grossiste en produits pharmaceutiques à Tunis.
Mme Abderrahim est mariée et mère d'un fils et d'une fille.

Commentaires (16)
CommenterDiplôme de pharmacien 1992 dites-vous?
Mme Abderrahim était dans ma promotion en 2ème année pharmacie et depuis on ne l'a plus revu mystère! d'où vient son diplôme de pharmacien?
2019, le seul espoir pour les démunis et les fauchés
Du charabia plein de mensonges à l'évidence.
Mais entre les lignes , on comprend que sn niveau dinstruction estvprecaire , quant à cette uestion de foulard , c'est unevhistoire risible, d'ailleurs tout est risible dans cettz biographie sans signification voire vide pouraspirer à un poste qui dépasse son niveau et qui n'a rien à vir avec sa derisoire formation ni ses faibles connaissances et devplus diamétralement opposées à la tâche qui lui a été confiée .
A ce point , nous allons assister à une cascade de mascarades.
La pauvre, quelle inhustice nahdha lui a fait subir.
@El Manchou and the others
@Aymen : nous n'avons pas peur de vous
A partager
ça nous arrange
Souad Abderrahim, le cheval de Troie de la secte.
Grace à l'image feministe de Souad des you-you à l'indienne fêtent le cheval de Troie de la secte et oublie les diabolos qui se cachent derrière.
'?a me rappelle Abou Yadh lorsqu'il circulait librement à Tunis travesti en une NIKABE.
Encore une fois un grand Bravo à la bande à Mhissen, le vote utile a cette fois ci servi la chute de la ville de Tunis et vos amis diabolos.
Souad, la 5wenjeyya qui ne porte pas le voile
Cette Souad est une 5wenjeyya, il n'y a pas à dire, elle va appliquer à la lettre les ordres venus de la Kommandantur de Montplaisir.
OUI...MAIS...!
Par conséquent, nous ne devons pas chercher à cacher l'arbre par la forêt.
Je le répète pour la énième fois: l'état tunisien est en faillite et l'avènement d'une vraie révolution est quasiment et potentiellement présent.
Personnellement, je ne reconnais plus la vie paisible dans ce beau pays où les valeurs héréditaires spécifiques à la Tunisie sont totalement bafouées.
Certes, j'étais un farouche opposant au bourguibisme, qui a détruit le pays durant plus de 50 ans, mais je ne peux admettre et accepter la destruction massive et méthodique de notre pays par une fausse élite politique qui se croit affranchie et intouchable et ce, depuis un certain 14 janvier 2011.
Ce cycle de libertés bâtardes et erronées doit cesser et à " la populace", ces "tfèchs" désignation chère à Bourguiba et à M'zali, de prendre /reprendre son destin en main.
Triste de mon pays.

