L histoire le deshabillera completement et devoilera toutes ses manoeuvres et ses manipulations qui ont cause tant de mal a notre pays...
Vivement 2019 pour le debarquer dans la poubelle de l histoire.C est tout ce qu il merite...
Le président de la République, Béji Caïd Essebsi, a pris part, ce mardi 13 novembre 2018, à la Conférence internationale sur la Libye organisée les 12 et 13 novembre à Palerme en Italie.
Dans son allocution, le chef de l’Etat a assuré que le blocage du processus politique en Libye a eu des répercussions lourdes sur ce pays ainsi que sur les pays du voisinage, en particulier la Tunisie, appelant à coordonner les efforts de tous les acteurs dans le cadre du consensus politique et du plan onusien.
Béji Caïd Essebsi a rappelé l’initiative tunisienne lancée en décembre 2016, devenue tripartite par la suite, réunissant la Tunisie, l’Algérie et l’Egypte dont le principal objectif est de rapprocher les différentes factions libyennes, sans la moindre exclusion, tout en les encourageant à parvenir au consensus dans le cadre d’un dialogue national rassembleur.
D’autre part, le chef de l’Etat a réaffirmé que la sécurité de la Libye dépend de celle de la Tunisie, considérant qu’une solution politique globale et l’instauration d’un Etat démocratique est une question étroitement liée à la sécurité nationale de la Tunisie qui n’a jamais fermé ses frontières avec la Libye.
S.H
Le président de la République, Béji Caïd Essebsi, a pris part, ce mardi 13 novembre 2018, à la Conférence internationale sur la Libye organisée les 12 et 13 novembre à Palerme en Italie.
Dans son allocution, le chef de l’Etat a assuré que le blocage du processus politique en Libye a eu des répercussions lourdes sur ce pays ainsi que sur les pays du voisinage, en particulier la Tunisie, appelant à coordonner les efforts de tous les acteurs dans le cadre du consensus politique et du plan onusien.
Béji Caïd Essebsi a rappelé l’initiative tunisienne lancée en décembre 2016, devenue tripartite par la suite, réunissant la Tunisie, l’Algérie et l’Egypte dont le principal objectif est de rapprocher les différentes factions libyennes, sans la moindre exclusion, tout en les encourageant à parvenir au consensus dans le cadre d’un dialogue national rassembleur.
D’autre part, le chef de l’Etat a réaffirmé que la sécurité de la Libye dépend de celle de la Tunisie, considérant qu’une solution politique globale et l’instauration d’un Etat démocratique est une question étroitement liée à la sécurité nationale de la Tunisie qui n’a jamais fermé ses frontières avec la Libye.
S.H