Le syndicat général de l’enseignement secondaire a annoncé, dans un communiqué publié mardi 14 mars 2017, la suspension des cours dans tous les lycées tunisiens. Une suspension qui sera effective à partir du lundi 27 mars 2017.
La décision a été prise en dépit du fait que la commission sectorielle de l'enseignement secondaire et le secrétaire général adjoint de l’UGTT se soient opposés à cette suspension. Le syndicat a appelé, entre autre, au limogeage du ministre de l'Education, Néji Jalloul.
I.L.
Le syndicat de l'enseignement secondaire décide la suspension des cours en dépit de l'opposition de l'UGTT
Le syndicat général de l’enseignement secondaire a annoncé, dans un communiqué publié mardi 14 mars 2017, la suspension des cours dans tous les lycées tunisiens. Une suspension qui sera effective à partir du lundi 27 mars 2017.
La décision a été prise en dépit du fait que la commission sectorielle de l'enseignement secondaire et le secrétaire général adjoint de l’UGTT se soient opposés à cette suspension. Le syndicat a appelé, entre autre, au limogeage du ministre de l'Education, Néji Jalloul.
L'état d'alerte a été reconduit dans le pays et les troubles dans les lycées pénalisent l'année scolaire. Les parents d'élèves en sont blessés et les familles sont en colère contre le cirque sans fin de ces faux éducateurs. Le ministère public se saisira de l'affaire pour arrêter ces éléments perturbateurs sachant qu'en tout cas l'état est souverain.
Il est temps que les parents d'élèves s'unissent et dire dégage à cette enragé de Yaakoubi.
Commençant civiliser et faisant une pétition et l'envoyer au secrétaire général de l'UGTT, Noureddine Taboubi, pour qu'il intervient et arrête ce cirque.
Ne pourrait-ton pas recourir à une loi d'urgence, votée sans tarder et conduisant à une REQUISITION des enseignants et ce jusqu'à la fin de l'année scolaire ??Pourquoi les parents ne se mobilisent pas pour mettre fin au chantage de quelques meneurs " syndicalistes" et soutenir le gouvernement!?
Comme des gnous qui courent aveuglement vers leurs pertes, ces pseudo-syndicalistes sont manipulés par la mafia de la privatisation de l'enseignement.
Adieu l'enseignement public, Adieu l'Etat qui finance vos études. Adieu l'Etat qui payent vos déplacement dans les bus publics, Adieu l'état qui vous sert à manger dans ses restaurants universitaires ou dans ses cantines, Adieu l'Etat qui vous paye vos enseignants et vos instituteurs, adieu l'Etat qui vous héberge et vous protège du froid du vent de la Pluit et des criminels de la Rue Adieu l'Etat qui vous soigne et lave vos saleté.lES ANARCHISTE ONT AINSI DECIDE; Les études seront désormais réservées aux riches.
Demain il n'y aura que les écoles privées françaises, allemandes, américaines voir même turques, marocaines, ou libanaises. Le savoir sera réservé aux riches et tant-pis pour les pauvres ils seront les serviteurs esclaves des riches.
Regardez le nombre de Tunisiens qui enregistrent ces temps-ci leurs enfants dans les écoles privées et vous comprendrez à quoi joue ce petit minable de Yaacoubi et sa bande d'anarchiste gocho-islamiste, au grand bonheur d'investisseurs privées Tunisiens ou étrangers.
Sahhitou ya wlad Moufida.
Pourquoi les parents ne vont pas a cette putain de syndicat et ne donne pas une correction a ces imbéciles ? il est temps. A mon avis, jalloul a raison pour mettre des représentants des parents dans les collèges pour mettre fin a ce bordel que fait cette UGTT de merde qui ne sait que faire des grèves. D'ailleurs, ces pseudo profs, faute de savoir, il excelle dans les grèves.
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Syndicats :
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Si vous privez les "ayants droits" d'avoir accès aux cours, vous êtes des criminels !
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C'est leur droit le plus légitime, parce qu'après, à la fin de l'année scolaire, ce ne sera pas vous, UGTTistes qui passerez vos examens.
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Ce seront nos jeunes générations ; l'avenir de notre nation !
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@ Gouvernement : et vous, ne restez pas là sans rien faire !
Qui est-ce qui commande, ici, en Tunisie ?
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Le gouvernement ou le syndicat ?
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Pas croyable ! ... Mais quelle situation ! :
Les uns qui se mêlent des "chocottes" des autres et les autres qui s'en tapent éperdument !
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URMAX
