alexametrics
lundi 23 juin 2025
Heure de Tunis : 12:59
Dernières news
Rachid Barouni : il est impératif de trouver un autre moyen pour financer la CNSS
28/03/2016 | 12:25
1 min
Rachid Barouni : il est impératif de trouver un autre moyen pour financer la CNSS

 

Rachid Barouni, président directeur général de la Caisse Nationale de Sécurité Sociale (CNSS), était invité à la radio Nationale, ce matin, lundi 28 mars 2016, un an après sa nomination à la tête de la dite-caisse.

 

Face au refus des citoyens, soutenus dans leur cause par l’Union Générale Tunisienne du Travail (UGTT), d’augmenter la marge de cotisation attribuée à la caisse, M. Barouni annonce qu’il s’avère impératif de trouver un autre moyen pour financer la CNSS.

 

A.B

 

28/03/2016 | 12:25
1 min
sur le fil
Tous les Articles
Suivez-nous

Commentaires (11)

Commenter

retraité
| 29-03-2016 14:22
Il faut d'abord bien gérer la CNSS comme une entreprise privée avec un bilan annuel présenté aux actionnaires qui sont les salariés et les retraités,les patrons privés et l'Etat patron qui cotisent et financent l'activité de la CNSS.Le problème est d'abord l'Etat qui considère la CNSS comme une vache à lait ,il ne paie pas ses charges sociales ,pire iles exonèrent les patrons privés des charges sociales sous prétexte que leurs entreprises en difficulté alors ils ont une fortune personnelle colossale ,d'offrir à ses hommes politiques des soins à l'etranger aux frais de la CNSS et intervenant dans la gestion de la CNSS en nommant le PDG comme une entreprise nationale et le personnel comme du personnel fonctionnairesde l'Etat personnel pléthorique et rendement médiocre ,le deuxième actionnaire est les patrons privés qui rechignent et trichent à payer leurs charges sociales correctement et trouvent les excuses et les moyens illégaux pour ne pas payer les pénalités et le principal allant jusqu' menacer de fermer leurs entreprises si la CNSS bloquent leurs comptes pour etre payés et finalement avec leur syndicat patronal et le ministère des affaires sociales ils payent une somme dérisdoire du principal avec exonération des pénalités légales. Le troisième actionnaire les salariés et les retraités : certains retraités continuent à travailler clandistinement dans des entreprises privés et chez paticuliers sans etre déclarés tout en continuant à toucher leurs retraites ,c'est aux inspecteurs de la CNSS de les coincer et de leur affliger une pénalité avec l'arret du paiement de leur retraite ,il y a les salariés fénéants ou qui ont de très mauvais rendements ils font tout pour sortir en incapacité permanente ou partielle ou retraite anticipée à la charge de la CNSS et leurs patrons les appuient pour qu'ils s'en débarassent sans frais ,d'autres travaillent juste 9 mois pour avoir à l'assurance CNAM et la retraite et continuent le reste du temps à travailler au noir .C'est une fois que la gestion de la CNSS est éfficace et une bonne gouvernance et de gestion alors c'est normal la réglementation actuelle des accidents de travail ,des congés de maladie de la retraite etcc.. feront l'objet d'une amélioration par la négociation entre les partenaires sociaux . Notons que les salariés du privé ont subi une première reforme du régime de la retraite la moyenne des 10 dernières années d'activité au lieu de trois auparavent comme base de calcul de la retraite avec un maximum de 80% contrairement aux salariés des fonctionnaires et des entreprises publiques ils touchent un maximum de 90% de la moyenne des 3 derniers salaires mensuels . les salariés et les retraités du privés ont déja contribué aux efforts et ils continuent à le faire si l'Etat patron et les patrons privés payent correctement leurs charges sociales .

Ghazi
| 29-03-2016 11:48
Les symptômes d'une crise économique se font apparaître une par une, les générations futures vont subir les conséquences. Faut que les jeunes se mobilisent et aient conscience que ceux qui gouvernent ne soucient pas de notre avenir. La solution est simple: remplacer le système de couverture par répartition à un système par capitalisation (modèle Canadien et Suisse) et gérer les fonds via les institutions de prévoyance privé, cela permet à créer des emploies et promouvoir la culture de l'efficience dans la gestion, garantir une pension en fonction des cotisations et éviter un déséquilibre entrainant des endettements ingérable. Notre système est inspiré du système Français dont il fait parti des pires modèles actuels.

AMOROS
| 28-03-2016 22:23
Monsieur Barouni et ses collaborateurs doivent avant tout faire leur boulot correctement avant de nous annoncer leur solution magique qui consiste en l usage du caractère impératif de trouver une solution au trou de la sécurité sociale. De prime abord il est demandé à sieur Barouni de nous présenter un bilan explicite faisant apparaitre clairement les montants revenant à la caisse et demeurés non payés par des employeurs publics et privés sans omettre les sociétés des secteurs stratégiques( CPG-Tunisair etc...). En second lieu la situation des employeurs qui omettent de déclarer une partie de leur personnel et notamment les occasionnels et la main d oeuvre d appoint et ceux qui déclarent seulement une partie des frais de personnel ( fausses declarations). Dans le cas de l espèce il doit nous éclaircir sur les mesures prises à l encontre des fraudeurs quelque soit leur appartenance et leur poids politique, financier et social. Sachant qu en l état actuel de la législation, la CNSS peut engager des opérations de contrôle sur les livres de paye et les états financiers et comptables des employeurs et engager les procédures légales à l encontre des contrevenants pour sauvegarder les droits de la caisse. Aussi, une politique de gestion de rigueur doit être adoptée par monsieur Barouni. A titre d exemple, les emplois fictifs qui génèrent des frais élevés imputés sur les budget de la caisse doivent être supprimés dans les meilleurs délais étant donné leurs irrégularités et la non conformité avec le code de travail, le statut général des entreprises publiques et le statut particulier de la CNSS. Si cette dernière est incapable d auditeur ses dossiers et de fournir des réponses aux questions des citoyens et des affiliés, le gouvernement doit prendre ses responsabilites et le faire par l intermediaire des corps de contrôle. Arrêtons la gestion à l embrouillanimi SVP.

bala bala
| 28-03-2016 19:03
Chawki Tebib a dit dernierement que certains retraités n'ont jamais cotisé un jour.

LA CAVERNE D ALI BABA
| 28-03-2016 14:50
un audit propre DEMONTRERA QUE tous les pdg ET ENTOURAGES parasites ONT vole L ARGENT DES PARTICIPANTS.....
CELA RESSEMBLE AUX BANQUES, DONT une islamique SURTOUT......
la JUSTICE EST ABSENTE ET CONNIVENTE.....

Hatem jemaa
| 28-03-2016 14:24
Ce n'est pas l'équilibre financier de la CNSS qui pose problème c'est tout le système de couverture sociale qui doit être réformé. C'est une des grandes réformes qui doivent être entreprises sans délai. Il faut quand même rappeler que nous sommes à des niveaux de prélèvements obligatoires excessivement élevés et qu'il est inconcevable de penser de les augmenter sans se soucier de l'amelioration de leur recouvrement. D'autres actions sont indispensables comme la distintion entre l'assurance sociale etl'action sociale etc.... Il s'agit d'un véritable chantier qui ne peut être réduit au seul et indispensable souci d'équilibrer les finances de la CNSS

Monday
| 28-03-2016 14:13
Allégez les postes et Libérez les employés à partir de 50 ou 55 ans, engagez à leurs place des jeunes dans des postes potentiels et non en devenant des fardeaux pour l'Etat, là vous pourrez parler d'augmenter un peu les cotisations sociales.

Beaucoup de personnes libérés, ayant déjà acquis de l'expérience , ayant encore un état de santé encore valable, seront en mesure de produire et de dynamiser d'autres secteurs privés et générer d'autres emplois pour d'autres jeunes en chômage.

takilas
| 28-03-2016 13:19
Et les métiers libéraux et les commerçants millionnaires (cafés, restaurants'), où sont-ils avec lues gouvernements parallèles ? Sans déclarations ni comptes-rendus ; sauf de payer des miettes.

jobless
| 28-03-2016 13:00
Pourquoi ne pas commencer par réduire le nombre de mensualités des agents de cette caisse, pour le rapprocher des niveaux de rémunération des autres salariés des secteurs publi cet privé confondus!

daly
| 28-03-2016 12:48
BAROUNI et non pas Barhoumi