| 16-10-2015 12:03
Béchir Akrémi le juge d'instruction nahdhaoui, chargé du dossier de l'assassinat de Chokri Belaïd est toujours en place?
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Mouvement complémentaire dans le corps de la magistrature
L'Instance provisoire de l’ordre judiciaire a annoncé, dans un communiqué rendu public aujourd’hui mercredi 14 octobre 2015, que lors d’une assemblée générale ordinaire, elle a pallié deux vacations comme suit :
- Ahmed Yahyaoui : premier juge d’instruction au Tribunal de première instance en tant que procureur de la République au Tribunal de première instance de Ben Arous.
- Mohamed Salah Sebri : conseiller à la Cour de Cassation, en tant que président de chambre à la Cour d’Appel de Tunis
Le même communiqué indique que l’Instance a procédé aux nominations suivantes :
- Mokhtar Harzalli, juge à la Cour d’appel de Kasserine
- Faouzi Sassi, conseiller à la Cour de Cassation
- Yamina Ghannel, conseillère à la Cour de Cassation
- Othman Kessir, conseiller à la Cour d’Appel de Gafsa
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Commentaires (6)
CommenterLa tempête
| 15-10-2015 16:10
Depuis le 14 janvier 2011 et le licenciement ou mise à l'écart de bon nombre de grands neutres et apolitiques, l'appareil judiciaire devint l'objet de convoitises et de tiraillements politiques et autres manigances. Preuve à l'appui ce que vient de déclarer la veuve du défunt Chokri Belaid assassiné par la horde fanatique islamisée et le "déni de justice" dont fait l'objet du dossier du martyr par le juge d'instruction en charge de l'affaire et l'accusation directe portée à l'endroit des deux partis Ennahda et le CPR de l'ancienne troika au pouvoir entre 2012-2014 et jusqu'à aujourd'hui. Ou encore les propos du journaliste Taoufik Ben Brik concernant ce corps auquel a été asséné le coup de grâce par l'AMT et l'Observatoire dit d'observation de l'indépendance de la justice d'Ahmed Rahmouni.
Déboussolé
| 15-10-2015 13:45
Toutes les décisions prises, soit disant, par l'instance provisoire du conseil supérieur de la magistrature, dont la confirmation ou l'infirmation des décisions de licenciement des magistrats, prises au lendemain de la révolution, ont une connotation partisane et régionaliste comme en dénote les noms des magistrats révélés par ce mouvement partiel.
nos dieux tout puissant
| 15-10-2015 11:28
Remaniement à la magistrature,et coups de mains complémentaires pour aider, nos dieux tout puissants à compléter leurs inaptitudes et leurs feneantises à conclure les cas les plus dangereux la loi sans la loi ,ils fonds la Pluie et le beau temps ils n'ont à rendres des comptes à personne sauf à nos deux chefs d'états
qui?
| 15-10-2015 08:16
moi ce qui m'intéresse c'est le juge d'instruction bureau nr 9 au tribunal de grande instance de tunis j'ai une affaire qui traine sur son bureau depuis 20 ans toujours en cours aucune pudeur ce bras cassé
j'étais à bizerte le 19 JUILLET 1962
| 15-10-2015 07:18
les hostilités ont vraiment commencées quand des soldats tunisiens ont commencés a tiré sur les soldats Français alors qu'ils se cachaient derrière des femmes et des enfants c'est a ce moment la que L'AMIRAL AMMAN a décider de faire ouvrir le feu
j'ai grandi a BIZERTE et j'en ai encore la nostalgie ont vivaient bien et ont jouaient tous ensemble pour moi c'était une guerre stupide je suis revenue plusieurs fois à BIZERTE je suis même citoyen d'honneur par monsieur MED LOUATI ancien maire j'espère qu'un jour on retrouvera la tranquilité d'antan et que l'on puisse vivre TOUS ENSEMBLE COMME AVANT
j'ai grandi a BIZERTE et j'en ai encore la nostalgie ont vivaient bien et ont jouaient tous ensemble pour moi c'était une guerre stupide je suis revenue plusieurs fois à BIZERTE je suis même citoyen d'honneur par monsieur MED LOUATI ancien maire j'espère qu'un jour on retrouvera la tranquilité d'antan et que l'on puisse vivre TOUS ENSEMBLE COMME AVANT
