Que l'UGTT se ressaisisse et contrôle sa base.Le pays ne peut plus tolérer des gréves avec arrêts de travail.Que le législateur trouve une nouvelle formule de gréve sans arrêt de travail.Voir ce qui se passe ailleurs, Japon, Corée du Sud, etc!

Ce Mr Yaakouni est un foutteur de merde alors ne joue pas avec la patience des parents.......

*** , vous etes des destructeurs et non des constructeurs comme le reste des arabes ignorants car vous avez paricipé à la dégradation de la société

*** enseignants vous n'avez aucun droit de faire la grève en ce moment d'examen. Vous travaillez au max 22h par semaine avec toutes les absences justifiées et non vous voulez augmentez vos primes , vous ne faites que tirer le pays vers le bas avec tous les grévistes.
La révolution a été faite pour les gens chômeurs et non qui travaillent doublement.
Le peuple tunisiens ne vous pardonnera jamais cette grève pendant les examens.

Honte à vous messieurs les éducateurs et les formateurs des générations futures. quels genres de citoyens voulez former?
Avec cet esprit, vous ne pouvez que tirer nos pays vers le bas, vers une république bananière.
Sachez que personne n'a le droit de dilapider l'argent public pour vous payer des journées non travaillés.
Personnellement je suis salarié et jamais je ne demanderai à être payé pour une journée de gréve. J'ai été éduqué à cette règle, que je respecte, depuis le temps où j'étais étudiant boursier.
Le peuple Tunisien ne vous pardonnera jamais cette gréve si elle aura lieu.

Cher syndicaliste de la dernière heure, vous décrétez un mot d'ordre de grève pour un motif qui n'honore pas les syndicalistes, en effet vous militez et luttez pour réaliser vos revendications, le militantisme demande un minimum de sacrifice, alors ? c'est normal que pour l'employeur qu'un jour chaumé est un jour non payé (absence irrégulière) Allons donc, du bon sens, soyez de vrais syndicalistes et ayez un bon sens du sacrifice...

L ARP doit absolument prendre l exemple Allemand en promulgant une loi interdisant la greve des fonctionnaires.Il est inpensable que des fonctionnaires payes par les contribuables puissent agir contre les interets des contribuables.A nos representants de bien vouloir nous liberer de ce calvaire de ces irresponsables "educateurs" faineants.

...il est permis ,cependant, de se demander si une grève pareille consistant en l'abstention d'enseigner n'est pas comparable à la séquestration des lycéens!
Et de sur croit on veut faire grève pour réclamer la rémunération d'un service non assuré, ce qui n'est pas très loin de l"extorsion" d'une rémunération indue.c'est à dire "extorsion de fonds"
en système comparé(france): " Toute journée de grève, quelle que soit la durée du service non fait donne lieu à une retenue de 1/30eme de la rémunération mensuelle pour les agents de l'Etat et de ses établissements publics administratifs."
DONC messieurs les gestionnaires :à vos marques, et n'oubliez pas que la rémunération d'un service non fait constitue une Faute de gestion à l'endroit de l'ordonnateur de la dépense publique.

@stouko
c'est vrai; ça ne sert à rien de s'emporter
@ dhej
sans rancune; discuter amicalement est le meilleur moyen susceptible de nous amener à nous remettre en cause et adopter une meilleure conduite
amitiés à tous les deux

"Un syndicat est un groupement de personnes physiques ou morales pour la défense ou la gestion d'intérêts communs", d'après Wikipedia. Or ce qui se passe, chez nous , c'est de faire l'amalgame entre l'intérêt commun et l'intérêt personnel. Il est du devoir des syndicats et des responsables de concilier le principe fondamental du droit de grève et le principe de continuité du service public.
Demander toujours ses droits et passer à côtés de ses obligations est devenu monnaie courante dans notre pays, et comme le disait bien Lessia Oukraink " les droits sans obligations, c'est l'anarchie".
J'aimerais bien que vous lisiez ces extraits d'une lettre ouverte d'une prof gréviste où elle expose sous forme d'excuses les raisons de sa grève!!

......" Désolée d'arriver à la fin des trimestres sur les rotules, parce que vos chers anges, si sages et dociles à la maison, sont parfois de vrais fauves quand on les regroupe dans des classes bondées."
"Excusez-moi, enfin, d'avoir fait grève aujourd'hui. Oui, vraiment, pardon d'avoir eu envie d'envoyer un signal, et de dire ou redire que mon métier, aussi beau et passionnant qu'il soit, est un métier difficile. Le dire, sans juger celui des autres, en sachant pertinemment que je n'ai pas le dos cassé ou des mains rugueuses à force de porter des blocs ou des malades, de manier des outils, et qu'il y a moins bien loti que moi. Moi j'ai juste parfois les oreilles cassées, la tête épuisée, et le moral bousillé par ce que je vois au quotidien, par ce que j'entends, et aujourd'hui est un de ces jours.
Pardon d'avoir voulu dire que l'école, c'est important, et qu'en bradant sans cesse la qualité de l'enseignement, ou les moyens mis en 'uvre pour qu'on puisse faire notre métier, c'est l'avenir de vos enfants qu'on brade. Oui, vraiment, pardon d'avoir cru que vous nous accorderiez au moins le bénéfice du doute et dépasser les on-dit, et que vous pourriez croire qu'on pense aussi à vos enfants en demandant plus de moyens pour nos écoles.
« L'ÉCOLE EST UN PILIER À CONSERVER »
Pardon d'avoir envie de crier que des locaux vétustes et du matériel dépassé, ce n'est pas adéquat dans ce monde où tout va si vite et où la technologie nous dépasse... Désolée d'avoir rêvé d'une société où l'on considèrerait* que l'école est un pilier à conserver, et pas une garderie où on parque pendant 8h les ados pour que leurs parents puissent gagner leur vie et espérer une promotion (tiens, encore un truc que je ne connaitrai* jamais, quel que soit le temps passé en classe ou la qualité de mes préparations)

Désolée, au final, d'être une fainéante-planquée-jamais contente, comme tous mes collègues.

Et puis je salue mes collègues, qui sans doute préparent ou corrigent, parce qu'il faudra bien que demain quelqu'un s'en occupe, de vos pauvres petits obligés de supporter des professeurs incompétents et paresseux'