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Karima Souid et Tarek Kahlaoui jouent au chat et à la souris

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Le statut publié aujourd’hui par le turbulent Tarek Kahlaoui ne cesse d’alimenter les critiques. Alors qu’il a vivement dénigré Al Massar et Nidaa Tounes sur Facebook, aujourd’hui jeudi 14 août 2014, le directeur de l’institut des études stratégiques et dirigeant du CPR, fait ce soir face aux réactions mécontentes de militants d’Al Massar, à l’instar de Karima Souid.
La députée d’Al Massar, connue pour ses positions tranchées, répondra dans un commentaire, au statut dénigrant de Kahlaoui. Tout en traitant ce dernier de « vendu », elle écrit : « On rappelle aussi que lorsqu’Al Massar combattait frontalement l’ancien régime, sous le nom du parti Ettajdid, Tarek Kahlaoui se trimballait tranquillement aux Etats-Unis et rédigeait des articles dans le quotidien Assabah (qui appartenait à la famille de l’ancien président Ben Ali) au point que son pseudonyme (Tahar Lassoued) a figuré dans le fameux et fumeux Livre noir ».
Aussitôt publié, ce commentaire qui a visiblement très peu plu à Kahlaoui, a été rapidement effacé. Après avoir joué à la mégère, le membre du CPR s’adonne à son sport favori, celui de « l’effaceur ». En effet, il ne s’agit pas de la première fois que Tarek Kahlaoui, décontenancé par les critiques de ses détracteurs, efface toute preuve, à défaut de pouvoir en répondre. On rappellera que suite à un article publié en décembre dernier sur les colonnes de Business News, Tarek Kahlaoui s’est empressé d’effacer toute trace du pseudonyme qu’il utilisait pour dénigrer Moncef Marzouki, à savoir, Taher Laswad.
A l’heure de la rédaction de ces lignes, la « discussion » bat son plein entre les deux personnalités politiques. D'un côté, une Karima Souid qui tente de défendre son parti, appelant à ne plus voir ses contributions censurées, et de l'autre, un Tarek Kahlaoui effaçant tout sur son passage mais ayant tout de même la courtoisie de garder ses réponses dans lesquelles il traite son interlocutrice d'"hystérique".



La députée d’Al Massar, connue pour ses positions tranchées, répondra dans un commentaire, au statut dénigrant de Kahlaoui. Tout en traitant ce dernier de « vendu », elle écrit : « On rappelle aussi que lorsqu’Al Massar combattait frontalement l’ancien régime, sous le nom du parti Ettajdid, Tarek Kahlaoui se trimballait tranquillement aux Etats-Unis et rédigeait des articles dans le quotidien Assabah (qui appartenait à la famille de l’ancien président Ben Ali) au point que son pseudonyme (Tahar Lassoued) a figuré dans le fameux et fumeux Livre noir ».
Aussitôt publié, ce commentaire qui a visiblement très peu plu à Kahlaoui, a été rapidement effacé. Après avoir joué à la mégère, le membre du CPR s’adonne à son sport favori, celui de « l’effaceur ». En effet, il ne s’agit pas de la première fois que Tarek Kahlaoui, décontenancé par les critiques de ses détracteurs, efface toute preuve, à défaut de pouvoir en répondre. On rappellera que suite à un article publié en décembre dernier sur les colonnes de Business News, Tarek Kahlaoui s’est empressé d’effacer toute trace du pseudonyme qu’il utilisait pour dénigrer Moncef Marzouki, à savoir, Taher Laswad.
A l’heure de la rédaction de ces lignes, la « discussion » bat son plein entre les deux personnalités politiques. D'un côté, une Karima Souid qui tente de défendre son parti, appelant à ne plus voir ses contributions censurées, et de l'autre, un Tarek Kahlaoui effaçant tout sur son passage mais ayant tout de même la courtoisie de garder ses réponses dans lesquelles il traite son interlocutrice d'"hystérique".
S.T.





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