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Aziz Krichen fustige les propos de Noureddine Khademi
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Le conseiller du président de la République, Aziz Krichen, a publié un texte sur son compte Facebook le 9 juillet, dans lequel il a fustigé la proposition du ministre des Affaires religieuses, Noureddine Khademi, de fermer les cafés et les restaurants pendant le mois de ramadan.
Aziz Krichen a mis l’accent sur le fait qu’un ministre de la république est tenu de se tenir à la même distance de toutes les communautés existantes en Tunisie en évitant d’instaurer une quelconque discrimination. Le conseiller du président de la République écrit : « Les musulmans pratiquants ont le droit d’exercer leur culte, et le devoir du ministre est de faire respecter ce droit. Les non pratiquants et les non musulmans ont le droit d’aller au café et au restaurant, et le devoir du ministre est de ne pas faire obstacle à l’exercice de ce droit. Ce n’est pas plus compliqué ».
Par la suite, Aziz Krichen renvoie vers les articles de la Constitution qui garantissent la liberté de culte et la liberté religieuse. Il recommande également, à chacun, « de faire l’effort de les comprendre et de les assimiler ». Le conseiller présidentiel conclut en écrivant : « Personne, fût-il ministre des Affaires religieuses, ne peut se comporter comme si ces dispositions démocratiques – et légales – n’existaient pas ».
Aziz Krichen a mis l’accent sur le fait qu’un ministre de la république est tenu de se tenir à la même distance de toutes les communautés existantes en Tunisie en évitant d’instaurer une quelconque discrimination. Le conseiller du président de la République écrit : « Les musulmans pratiquants ont le droit d’exercer leur culte, et le devoir du ministre est de faire respecter ce droit. Les non pratiquants et les non musulmans ont le droit d’aller au café et au restaurant, et le devoir du ministre est de ne pas faire obstacle à l’exercice de ce droit. Ce n’est pas plus compliqué ».
Par la suite, Aziz Krichen renvoie vers les articles de la Constitution qui garantissent la liberté de culte et la liberté religieuse. Il recommande également, à chacun, « de faire l’effort de les comprendre et de les assimiler ». Le conseiller présidentiel conclut en écrivant : « Personne, fût-il ministre des Affaires religieuses, ne peut se comporter comme si ces dispositions démocratiques – et légales – n’existaient pas ».
M.A.
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