Un comité d’avocats dirigé par Ahmed Ben Hassena, l'avocat qui a mené une action en justice pour la fermeture des sites classés X et déposé une plainte contre la réalisatrice Nadia El Fani, a menacé de traduire en justice tous les sit-inneurs et les bloqueurs de route ou tout autre blocage qui, selon lui, «engendrent la paralysie de l'activité dans le secteur privé et public» et «nuisent à l’intérêt de l’Etat». « Ces individus opportunistes profitent de la faiblesse de l’Etat causée par la révolution, pour réaliser un intérêt personnel », a déclaré M. Ben Hassena sur Mosaïque Fm.
Deux plaintes ont été déjà déposées par ce comité. La première visant les employés de la Transtu qui ont paralysé la ligne du TGM (lire notre article à ce sujet). La seconde a été déposée contre les individus qui ont bloqué le passage frontalier de Ras Jedir (lire notre article à ce sujet).
On se demande, aussi, pourquoi ce comité n’a pas porté plainte contre les sit-inneurs à Gafsa et à Gabès, sachant que la Compagnie des phosphates de Gafsa et le Groupe chimique tunisien sont toutes les deux au bord de la faillite.
Un comité d’avocats dirigé par Ahmed Ben Hassena, l'avocat qui a mené une action en justice pour la fermeture des sites classés X et déposé une plainte contre la réalisatrice Nadia El Fani, a menacé de traduire en justice tous les sit-inneurs et les bloqueurs de route ou tout autre blocage qui, selon lui, «engendrent la paralysie de l'activité dans le secteur privé et public» et «nuisent à l’intérêt de l’Etat». « Ces individus opportunistes profitent de la faiblesse de l’Etat causée par la révolution, pour réaliser un intérêt personnel », a déclaré M. Ben Hassena sur Mosaïque Fm.
Deux plaintes ont été déjà déposées par ce comité. La première visant les employés de la Transtu qui ont paralysé la ligne du TGM (lire notre article à ce sujet). La seconde a été déposée contre les individus qui ont bloqué le passage frontalier de Ras Jedir (lire notre article à ce sujet).
On se demande, aussi, pourquoi ce comité n’a pas porté plainte contre les sit-inneurs à Gafsa et à Gabès, sachant que la Compagnie des phosphates de Gafsa et le Groupe chimique tunisien sont toutes les deux au bord de la faillite.
