Nous y voilà autour de la table de ....Oui qualifier cette table est la tâche la plus ardue. Négociation ? Discussion ? Débat ? Etc.....En pareille situation complexe il faut commencer par les principes. Le premier est que nous ne pouvons répondre que de nos concitoyens. Les personnes en mer sont en danger de mort et doivent être secourues. Les frontières maritimes ne peuvent pas être traitées au même titre que les frontières terrestres. Le refoulement des clandestins doit s'opérer vers le pays d'origine et non vers le pays de transit. Tous les pays traversés à partir du pays d'origine doivent être traités pays de transit. Les pays d'origine doivent être mis devant leurs responsabilités de répondre de leurs citoyens . Les pays où sont appréhendés les immigrants illégaux sont responsables du refoulement vers le pays d'origine .Une fois ces principes énoncés et admis on peut avancer.
Pour ce qui est de la limitation de l'immigration clandestine des tunisiens vers l'Europe là il nous faut un véritable plan stratégique qui consacre un accroissement des échanges des biens, des personnes et des capitaux dans un esprit gagnant-gagnant. Et ceci indépendamment des stratégies de lutte contre l'immigration clandestine des nontunisiens.

il défonce le parlement par un tank, piètine la constitution qu'il juré respecter, renvoie les parlementaires .... c'est quoi alors un dictateur
go back to school.

N'importe quel Tunisien le sait instinctivement, que la culture italienne ne se base essentiellement que sur le chantage mafieux. Au lieu de dénoncer clairement toute approche tunisienne, de la gueule du serpent italien, Abdallah Laabidi, continue à jouer à la même ruse d'hypocrisie politique, de ceux qui s'offrent comme «Klugscheisser», pour soutenir et pour se rapprocher davantage du régime en place.
L'histoire de la Tunisie ne pardonnera jamais la lâcheté des hypocrites-nés.
Allah yostir Tounes.

Voilà un article qui reflète la vérité des choses '?'Bn doit continuer dans ce sens sans avoir peur d'aucune partie ni de l'intérieur ni de l'extérieur.
La Tunisie doit se débarrasser de tout ses ennemis faire le nettoyage du pays des traîtres n'est pas une dictature c'est mettre les pendules à l'heure .

Qu'en termes galants ces choses-là sont dites !
Une classe politicienne où rivalisent des prétendants que seuls le pouvoir et ses profits intéressent.
Des avocats, des hommes ayant les moyens financiers, ce qui équivaut à une classe, un groupe cohérent par sa puissance, occupant l'espace médiatique, y définissant le réel.
Hégémonie d'une catégorie qui peut faire penser à une captation réalisée à son profit.
Le reste de la population est tenu à l'écart, parfois défini de la pire façon, insulté y compris par ceux qui croient parler en son nom.
Un historien anglais, Mises Finley, spécialiste de la Grèce ancienne, explique dans l'une de ses enquêtes comment et pourquoi, déjà, la démocratie athènienne portait les tares de ce qui fut sa renommée.
Pour délibérer de la chose publique, ses citoyens, pas les femmes, ni les métèques et encore moins les esclaves, en étaient exclus.
Et, parmi les plus assidus, il avait relevé une surreprésentation des paysans riches, des artisans les plus nantis.
L'indicateur le plus pertinent était que ces deux catégories disposaient de moyens leur permettant de se faire suppléer le temps qu'ils prenaient pour participer aux délibérations au sein du forum.
Nos politiciens locaux sont issus de ces classes favorisées, sauf exception, et cela s'exprime même dans leur langage aussi bien sur la population comme sur les besoins et intérêts du plus grand nombre, c'est à dire pour parler un autre langage, la masse.
Ce qu'ils ne disent pas, ou qui ne leur vient l'as mêle à l'esprit, est encore plus édifiant.
L'intérêt général est alors une notion absente, sans contenu, pour cette caste.
Voilà, à les yeux, ce qui permet d'éclairer le paysage.
Et qui peut faire comprendre pourquoi tant de ralliements derrière les bannières les plus néfastes.
Quant à la cohérence des Occidentaux, c'est un acte de foi. Les ouailles récitent le credo, les suiveurs applaudissent, et les victimes de cette supercherue se comptent dans les rangs des '?uvres locaux, les migrants comme ils les appellent, les immigrés et leurs descendances
méprisés et soumis à un ordre spécifique, déniés dans l'êtes droits et contre qui l'on se tourne pour les désigner en cause et origine des maux qui rongent ces pays.
Il ne suffisait pas de cela, c'est même leur religion qu'on a décidée "fausse" selon un certain Voltaire, lequel n'hésita l'as à prendre fait et cause pour un certain Callas, protestant, alors que son brûlot anti-islam ajoutait à sa gloire.
On sait bien toute la relativité de ces choses.
Une réputation du jour peut devenir l'infamie de demain.
Ainsi va le monde.
Ainsi sont les hommes.
Pas tous !
Il faut lire et relire.
Avoir de la réflexivité.
Pour espérer ne pas se laisser conduire tel un troupeau par de faux bergers.
De faux prophètes.

Bélléhi, BN, pourriez-vous nous détailler la biographie de Mr Abdallah Laabidi.
Sur le WEB, tous les sites indiquent que c'est un ancien diplomate, et ça s'arrête là.
Est-ce un agent secret sous couverture ?
Cela m'intrigue. J'aimerais bien en savoir plus sur ce monsieur.
Cordialement
Merci

Nous attendons toujours la réponse à la question pertinente de Citoyen_H.
Merci de nous éclairer...

pour cette fois-ci, comme toutes les précédentes fois !!