alexametrics
samedi 28 juin 2025
Heure de Tunis : 15:24
Dernières news
Arrestation d’un jeune homme à La Manouba pour avoir jeté des pierres en direction d'un train
10/04/2025 | 15:37
1 min
Arrestation d’un jeune homme à La Manouba pour avoir jeté des pierres en direction d'un train

 

La Direction générale de la sûreté nationale a annoncé, jeudi 10 avril 2025, l’arrestation du jeune homme qui a jeté des pierres en direction d'un train.

Dans un communiqué publié sur sa page Facebook, la Direction générale de la sûreté nationale a indiqué que, suite à la diffusion d’une vidéo sur les réseaux sociaux montrant un jeune homme en train de jeter des pierres en direction d'un train, sous les yeux des passagers et des personnes présentes à la gare de La Manouba, les forces de l’ordre ont pu identifier et interpeller l’individu, qui était en état d’ébriété lors des faits.

L'accusé a été placé en garde à vue au poste de la sûreté nationale de La Manouba pour « atteinte aux biens publics et ivresse manifeste », sur décision du parquet. L’enquête est toujours en cours, a conclu le communiqué.

 

 

 

H.K

10/04/2025 | 15:37
1 min
Suivez-nous
Commentaires
Carthage Libre
Une jeunesse à la dérive...livrée à elle même, presque sans éducation.
a posté le 11-04-2025 à 12:28
Normal, quand tu vis dans une "voyoucratie" autocrate, voilà ce que ça donne !!!

Quand on a un pouvoir dictatorial, qui ne s'interesse qu'à se maintenir au pouvoir, sans programmes, sans s'occuper à bâtir une vraie économie, sans penser à cette jeunesse et son éducation conforme aux standards internationaux, cela donne des déliquants, des jeunes sans repères, qui se croient tout permis, comme cette racaille par milliers sur les motos, sans échappement, qui nous terrorisent sur les routes et la nuit....

Voilà la réalité du terrain.

Mme Abir Moussi en avait parlé et elle avait tout un programme pour "récupérer" cette jeunesse perdue, devenue voyou.
EL OUAFI
Pris au piège !
a posté le 10-04-2025 à 22:30
Celui qui a mis la vidéo en ligne, doit être féliciter, pour encourager d'avantage de citoyens a ne pas laisser la voie libre aux casseurs, et délinquants, s'il a perdu conscience et s'emprend aux utilités publiques,qu'on facturera la note,séparément : l'état d'ébriété, et la seconde les frais des dégâts.
Insolvable, condamnation à des utilités publiques !
Ce genre de phénomènes, n'est guère étrange même dans les pays développés, me dites-vous de la part des progénitures d'origine étrangère !
Hélas, des incivilités qui méritent désormais une lourde peine, qui servirait comme exemple.
Que nos compatriotes se mobilisent en aidant les pouvoirs publics, pour sauvegarder le bien commun à nous, et part l'occasion mettent en relief les délinquants et les exposera à ce qu'ils les attendent.
Citoyen_H
EXCELLENTE SUGGESTION
a posté le à 10:38
Légiférer cette action, avec une prime symbolique à la clé, serait une excellente idée.
Il faudrait, d'urgence, commencer par construire de nouvelles prisons et de quelques bagnes, car ça va se bousculer à l'entrée de ces clubs !!!
Bien vu, EL OUAFI.

Citoyen_H
ALLER, NE VOUS MENAGEZ PAS
a posté le 10-04-2025 à 21:20
face à ce genre de crapule, de résidu de rebus.
Quelques rafales de torgnoles, et un tibia brisé pourrait, certainement lui remettre ses quelques neurones actifs, dans le bon ordre.
Aucune pitié envers ces canailles., ses boulets.
Qu'attend l'Etat pour rétablir le bagne. Il sera amorti en moins de deux !!
Trop, c'est trop, y en a marre qu'on paie les dégâts causés par les sauts d'humeur de ces énergumènes, ces destructeurs, ces enfoirés stériles et improductif, sans foi ni loi.
Halte au vandalisme, halte à l'anarchie, halte à l'immobilisme, halte au laxisme.


Abel Chater
C'est là et c'est dans de tels cas extrêmement crapuleux, qu'il faut autoriser la peine de mort, afin que les contribuables tunisiens ne lui paient sa résidence à perpétuité dans les prisons de la Tunisie.
a posté le 10-04-2025 à 21:10
Lisez les anciens romans français, où ils documentaient la vie de leurs époques. En France et partout en Europe de l'après découverte des Amériques, leurs Justices bannissaient tous les criminels et les prostituées de leurs pays, vers les Amériques sans plus de possibilité de revenir dans leurs pays, à l'image de ce que les Américains et les Occidentaux font avec les juifs génocidaires de Gaza occupants de la Palestine, qu'ils déportent hors d'Europe, vers l'Asie en Palestine occupée.
La question qui s'impose dans de tels cas, pourquoi le régime actuel de la Tunisie, n'ouvre-t-il pas la voie à de tels criminels pour quitter la Tunisie, même clandestinement en tant que "Harraga", afin de nettoyer la Tunisie contre une vraie fortune eu euros, qu'ils enverront eux-mêmes vers leurs familles en Tunisie?
Une autre manière de se créer une autre industrie lourde virtuelle au profit de la Tunisie et des Tunisiens, qui existe déjà à gogo de l'autre rive de la méditerranée, où tous les dix millions de Tunisiens, pourraient être dispersés en Allemagne, sans que personne ne les remarque.
Aux temps de Ben Ali, il y avait eu même l'idée de créer un ministère tunisien, qui allait aider les jeunes tunisiens à émigrer vers les pays riches. Non pas de leur interdire le départ de la Tunisie ou de les faire rapatrier malgré eux, comme cette vérité amère vérité, que les pauvres "Harraga" vivent actuellement avec ces accords des rapatriements forcés, suivant les deux poids deux mesures, entre les colonisateurs et les indigènes.
Je vous jure que l'idée de libérer les cafés de cette macabre "autorisation de privilège de Bourguiba", qu'il avait réservée à ses applaudisseurs, était de moi en personne. J'ai argumenté par la réalité que chaque café doit avoir au moins deux roulements de 8 heures de travail, avec au moins trois ouvriers par roulement. Cela fait six ouvriers par café ou 600 ouvriers pour 100 cafés et bien sûr six mille par mille cafés. Notons que le nombre de cafés recensé en Tunisie, en octobre 2021, s'élève à plus de 20 mille qui assurent environ 120 mille emplois. Une industrie lourde d'énorme rentabilité fiscale pour l'Etat tunisien, sans le moindre risque de faillite générale pouvant faire mal à la société tunisienne. Idem avec ces "Harraga". Une autre "industrie lourde" par milliers de postes de travail, nous échappe au marché de travail tunisien par cette folie d'interdiction du départ de la Tunisie sans passeport ou sans passer par le contrôle policier à la sortie de la Tunisie, comme si la Tunisie était une prison à ciel ouvert.
Que dire donc, de les repêcher en plein milieu de la mer ou de les faire rapatrier par ce mêmes pays qui nous ont volé nos richesses et qui nous ont appauvris durant des siècles.
Allah yostir Tounes.