
La présidente du Parti destourien libre (PDL), Abir Moussi a réitéré, ce soir du dimanche 6 octobre 2019, son engagement à ne jamais s’allier avec les islamistes et les intégristes appelant à réunir la famille progressiste partageant sa vision en vue de former un gouvernement sans les « Frères musulmans et leurs dérivés ».
Lors de son passage sur la chaîne télévisée publique Al Wataniya 1, Mme Moussi a assuré que si la formation d’un gouvernement sans les islamistes n’était pas possible, le PDL sera dans les rangs de l’opposition ajoutant que la première initiative parlementaire prévue sera d’amender la loi portant sur les partis politiques et les associations notamment en ce qui concerne leur financement.
Mme Moussi a, par ailleurs, appelé à changer la loi électorale ainsi qu’à bannir le tourisme parlementaire affirmant que le paysage politique était désormais « délétère et non-démocratique notamment avec de graves infractions à l’instar du recours à l’argent sale, du détournement de l’opinion publique, de l’usage de l’argent suspect ainsi que de l’inégalité des chances ».
C’est dans ce sens que la présidente du PDL a déclaré que les élections n’étaient ni « transparentes ni intègres » bien que le PDL occupe la 3ème position selon les sondages « sortie des urnes » avec 14 sièges décrochés au sein du Parlement.
B.L

Commentaires (12)
CommenterDes visages sans bouches ni nez ni yeux ?!!!
Celle qui a RAISON.
L'espoir REVIENS. Le calcul de @Realiste est JUSTE.
Avec Abir Moussi et tout ce qui a été décrit + les indépendant, on peut former un Gouvernement.
Maintenant, espérons que les Frères musulmans n'ont pas fait leur calcul aussi. Car le Président de la République sera OBLIGE de faire appel d'abord au premier. S'il n'a pas réussi, au deuxième.
CROISONS les doigts pour que Qalb Tounes soit déclaré vainqueur mercredi.
L'hypocrisie des frérots de la honte d'outre-mer
Ces frérots du diable qui ne nous représentent pas qui ont plus de 18 représentants tous payés en Euros et qui sont toujours absents du parlement.
Ces frérots du diable qui ne payent pas d'impôts en Tunisie et qui ne s'intéressent jamais à nos problèmes quotidiens de Tunisiens qui peinent à survivre pour leurs offrir un semblant de pays.
Ces frérots du diable dont le siège au parlement Tunisien coûte moins de mille voix alors que le même siège coûte plus de 50 000 voix pour Tunis 1 ou Tunis2 et ce grâce à ce code électoral biaisé par la secte du diable et qui favorise l'anarchie. Rappelons aux ânes parlant que l'intégriste Yassine Ayari a été élu en Allemagne avec moins de 250 voix Pfffff.
Ces frérots du diable qui ont choisi pour leurs enfants les écoles chrétiennes, choisissent pour nous les écoles coraniques comme Rgueb School. Ils sont pour l'application de la Chariaa, la répression des libertés, le châtiment corporel sauvage.
Ces frérots du diable généralement mariés à des occidentales comme cet éfféminé de Habbel, dont les épouses se baignent nus ou en mono-kini, et veulent en revanche imposer à nos femmes Tunisiennes le port du Burkini du tchador, du nikab et de la burka.
A tous ces frérots du diable, je dis HONTE A VOUS ET SHAME ON YOU, vous êtes de vulgaires traîtres.
A cet efféminé de Habbel, je dirai tu finiras ta triste vie comme un chien errant dans la campagne bavaroise sombre froide et lugubre comme ton c'?ur noir.
Allah Wahad, Allah Wahad, Moussi Quatro (4%) devient Moussi Bousetta (6%).
Ses "Azlèms dsètras", qui ramassaient à toutes les élections de la macabre première république bananière des deux dictateurs déchus Bourguiba et Ben Ali, 99 % des voix électorales, les morts compris, elle arrive essoufflée et à bout de force, à seulement 6 % "Boussetta" des voix.
Au lieu de pleurer aux larmes pour la faillite cuisante des "Azlèms", elle "gloue-gloue" de sous l'eau, pour crier une "victoire" de fous à lier.
Allah Wahad, Allah Wahad Moussi Quatro (4%) Boussetta (6%), mè kifha had.
J'ai fait la difficile opération mathématique d'additionner les voix qu'elle a eues à la présidentielle et aux législatives, je n'ai trouvé que 10% des électeurs divisés par deux. Car ce sont eux-mêmes qui l'ont voté aux présidentielles comme aux législatives. J'ai cherché par la théorie de la relativité, combien leur nombre pourrait s'avérer, je les ai trouvés autour de 36000 des 3,5 millions de votants et des 7 millions d'inscrits. C'est-à-dire «karmèk Allah», de loin moins que le doigt de la sage-femme (sboô el-kaâbla) lors de l'accouchement.
36000, c'est le nombre des habitants aux alentours de Khanguèt El-Hojjèj ou les habitants de la petite municipalité d'Ezzahra.
La honte et la preuve vivante de la chute finale et définitive de la dictature et des anciens régimes de la faillite et de l'échec de Bourguiba et de Ben Ali. Tout le bluff des posters de Bourguiba et de Béji Caïd Essebsi, ne les a aidés qu'à la chute finale, sans jamais plus de retour.
Vive la Tunisie démocratique arabe et musulmane de régime parlementaire.
Mèn iitèzza bighayrillèhi, dhèll.
Allahou Akbar.
RCD et Ennahdha c est du kif kif.
Un gouvernement sans les Frères musulmans est possible et désirable
Tahya (14) + Nidaa (4) + PDL (14) + Tayar (14) + Qalb (35) + 3ich (5) + Badil ( 3) + Autre (12) + Front Pop (15) = 115
On peut faire appel aux députés indépendants (19) ou autre listes (9).
On a besoin de 109 députés pour former un gouvernement.
Tous les partis vont se refuser de s'allier a Ennahdha, s'allier avec Ennahdha est le baiser de la mort pour n'importe quel parti.
@nazi chater
ils ont 17% pour 40 sièges. apprend a compter avant de l'ouvrir...
Pas de parti religieux
Vive les partis progressistes, dont celui de Mme Abir Moussi !!
Banissons les partis religieux

