Vid�o - Destruction des beach bars � Gammarth

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Commentaires (8)

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en clair, peut-on savoir si

Monia

| 02-11-2019 22:08

une loi pour la protection du littoral existe et est d�cr�t�e, c'est un pr�alable � l'abri de toute mesquinerie de bas �tage, ceci n'excluant en aucune sorte les autorisations "d�montables" dites "saisonni�res", moyennant patente naturellement, � monter pour la saison (avril/septembre) et � d�monter ensuite comme il se fait partout...

Destruction des beach bars

Foued

| 01-11-2019 21:23

Excellente nouvelle.

La Marsa : un Conseil Municipal dont la majorit� des membres sont issus de la Soci�t� Civile ( sic ) et qui n'ont aucun respect des Jugements du Tribunal Administratif

De Hammam-chatt

| 01-11-2019 19:25

Le Conseil Municipal de la Marsa se doit de donner l'exemple du respect de la loi qu'il a exerc�e sur ces beach bars. Cette Commune a �t� condamn�e en date du 13.10.2015 par Jugement de Cassation du Tribunal Administratif de payer 7.334.800 Dinars aux propri�taires du terrain (25.387 m2) sur lequel il y a construit la Maison de Jeunes, les terrains de sports et la piscine. Elle peut c�der l'un des terrains sis � Gammarth qu'elle poss�de pour r�gler cette cr�ance et s'abstenir de proc�der � leur lotissement pour en faire b�n�ficier des proches et amis comme cela a �t� fait il y a quelques ann�es ( 2008 ) par le Conseil Municipal .
Question : qui peut obliger ce Conseil Municipal dont la majorit� des membres sont issus de la Soci�t� Civile ( sic ) qui n'ont aucun respect pour le Tribunal Administratif !

Vous me faites rire Madame Fethia

Jlassi

| 01-11-2019 18:56

Par centaines, vous pouvez d�molir les extensions d'habitations priv�es et ceci dans toutes les villes de la r�publique. Les beach-bars d�rangent car fr�quentaient par ceux que vous appelez injustement les koffars. Vous pensez que �a n'est plus l'anarchie ? Vous r�vez !

La Marsa : une majorit� issue de la Soci�t� Civile ( sic ) qui ignore un Jugement de Cassation du Tribunal Administratif du 13 Octobre 2015

De Hammam-chatt

| 01-11-2019 18:34

Le Conseil Municipal de la Marsa se doit de donner l'exemple du respect de la Loi et �tablir un planning de r�glement de sa cr�ance de montant 7.334.800,000 Dinars objet du jugement de Cassation du Tribunal Administratif prononc� en date du 13.10.2015 en r�glement du terrain (25.387 m2) sur lequel il y a construit depuis 1961 la Maison de jeunes, les terrains de sports et la piscine.
La Loi doit �tre respect�e par tous.
Question : qui peut obliger le Conseil Municipal de la Marsa , dont la majorit� des membres sont issus de la Soci�t� Civile (sic) , � respecter ce jugement de Cassation du Tribunal Administratif ?

r�volution!

fethia

| 01-11-2019 17:54

Je pense que ces beach bars ont �t� construits anarchiquement par leurs propri�taires en les ann�es 2011,2012,2013 pendant l'anarchie qui a s�vi dans tous le pays pendant ces ann�e. Ces gens ont profit� de la faiblesse de l'Etat lors et se sont appropri�s des espaces qui appartiennent � tous les tunisiens puisqu'ils appartiennent � l'Etat. Ces m�mes propri�taires prennent les employ�s qu'ils ont recrut�s pour travailler dans ces espaces anarchiques comme bouclier humain comme quoi l'Etat va les priver de leurs emplois. Un Etat fort doit appliquer la loi sur tous ses citoyens avec �quit� et �galit� et personne n'est au dessus de cette loi sinon on va retourner � la loi de la jungle qui nous a d�truits et ADIEU D'?MOCRATIE

De l'information?

Fares

| 01-11-2019 17:09

Il y a quelque chose qui m'�chappe. Pourquoi cette destruction serait pertinente et d'un int�r�t g�n�ral.Je sympathise avec le/la/Les journalistes de BN qui ont perdu leur spot favori, mais de l� � en faire tout un plat.

� quand le tour de l'hotel les palmiers

G&G

| 01-11-2019 17:02

Hotel "les palmiers" de Sousse s'accapare du DPM et bloque la plage pour les citoyens
Cet Hotel construit une barri�re bloquant le prolongement de la corniche Boujaafar.
Les h�tels privatisent les plages