Le ministère des Affaires locales a répondu, lundi 24 août 2020, au maire de la ville de Radès, Jaouhar Sammari, ayant exprimé son mécontentement de la décision du chef du gouvernement démissionnaire, Elyes Fakhfakh, de rebaptiser le stade olympique de Radès au nom de la légende du football tunisien, Hammadi Agrebi, décédé la semaine dernière.
Le ministère des Affaires locales a précisé, dans un communiqué, que la gestion du stade de Radès, contrairement à d’autres établissements sportifs, n’avait pas été cédée aux communes.
Il a indiqué que le stade ne faisait pas, en effet, partie, du domaine foncier de la municipalité et ne tombait pas, de ce fait, sous le coup de l’article 240 du Code des collectivités locales.
Le ministère des Affaires locales a ajouté que le stade de Radès ne tombait pas, non plus, sous le coup du décret gouvernemental N° 613 fixant les modalités d’attribution des noms aux monuments, rues, villes et sites archéologiques, soulignant que l’établissement faisait partie du domaine foncier de l’Etat et que sa gestion était du ressort de la Cité nationale sportive à Radès.
Incroyable souvenir d'une époque révolue, on mesure la chute!
La municipalité de Radès, n'est pas 'Dar Bouk', tout le monde de la banlieue sud savent que le réel maire de ville n'est pas toi, et que tu n'es qu'un semblant d'être Nahdhaoui, un exécuteur d'ordres qui te parviennent du QG de Ben Arous.