Le président de la commission consultative nationale pour une nouvelle république, Sadok Belaïd a indiqué, ce dimanche 12 juin 2022, dans une déclaration à Mosaïque FM, à l’issue d’une réunion avec des directeurs généraux du gouvernement, que la commission commencerait les réflexions autour des réformes économiques et sociales qui seraient incluses dans la prochaine Constitution à partir de la fin de la semaine prochaine.
Revenant sur l’absence de l’UGTT des travaux de la commission et son rejet du programme des réformes du gouvernement, Sadok Belaïd a indiqué : « La position de l’UGTT n’a pas changé depuis quelques semaines. Nous avons espéré que les choses soient autrement, mais je compte présenter une constitution valable pour des dizaines d’années, et non une constitution à court terme. De ce fait, les évènements actuels sont ponctuels et ont peu d’incidence sur la vision à long terme ».
Il est bon de noter que les dispositions de l’article 22 du décret-loi n° 2022-30 du 19 mai 2022, relatif à la création de « l’Instance nationale consultative pour une nouvelle république », indiquent que le président coordinateur présente au président de la République des rapports périodiques sur l’avancement des travaux de la commission du dialogue, et lui présente son rapport final conformément à l’article 2 du présent décret-loi au plus tard le 20 juin 2022. Cependant, le président coordinateur de la commission indique que la commission commencera la réflexion autour des réformes vers la fin de la semaine prochaine, soit près de deux jours avant le délai fixé pour la remise du rapport final.
S.H
Logiquement :
1) Soit ce papi de 85 ans est un super homme capable de travailler à la fois sur la rédaction d'une constitution tout en étudiant un programme de réformes pour le FMI.
2) Soit la constitution rédigée par Belaïd sera bâclée, un torchon quoi.
3) Soit la vraie constitution a été déjà rédigée par le couple Kais/Atika.
4) Soit que tout ceci est une mascarade et qu'on nous prend vraiment pour des cons.
Cochez la réponse exacte. Cette question est à choix multiples.
: )))))))
"Hayè elli chèh yélbéss".
Ou comme le dit ce Belaied les réflexions ( réflexions) pour ces réformes ne vont commencer que la semaine prochaine.
Ce n'est pas une histoire de quelques articles de droit constitutionnel, il s'agit de choix stratégiques sur le devenir de tout un pays.
Est ce que les Belaied et les Bouderbala sont aptes à chapoter les réflexions sur ces réformes.
Assurément non. Ce sont des gens qui ont fait leur petite carrière à l'ombre des dictatures ou corruption et combines sont la règle.
Ils n'ont jamais dirigé ne serait ce qu'un service dans une entreprise.
Là ils sont chargés de penser la tunisie de demain ( stratégie géopolitique.....technologue...vision moderniste..).
Quand je les écoute parler j'ai l'impression d'entendre de vieillards dépassés par les événements.
Dans leurs "discours", rien ne les prédispose pour cela.
Où sont les véritables compétences du pays ? Ils sont absents de cette réflexion.
Ces vieillards s'ils ont quelque chose à apporter à ce pays, ils l'auraient déjà fait.
Belaied a 83 ans. Je me demande dans un monde qui est le notre aujourd'hui où la vérité du matin n'est pas souvent celle du soir , comment à 83 ans et n'étant qu'un simple enseignant de droit ayant exercé et soutenu la dictature, peut il penser la Tunisie de demain ?
'?a n'a pas de sens.
C'est mon pays à moi aussi et celui de 12 millions de tunisiens. Nous avons le droit de nous interroger.
Il nous a livré sous la dictature un pays arriéré et aujourd'hui il veut nous faire croire qu'il va commencer ses réflexions sur notre devenir la semaine prochaine.?
Pourquoi ne l'a t il pas fait sous Bourguiba et Ben Ali. Eux qui ont bâtit ce pays corrompu qui nous a amené Où nous sommes aujourd'hui.
C'est insensé.
Le 20 juin aussi pratiquement serait raté!
Les bhim wkhouh va voter un katous fi chkara!