Lors de l’émission « Klem Enness » de ce soir du mercredi 1er avril 2015, le directeur de Business News, Nizar Bahloul, est intervenu pour révéler la deuxième plainte déposée par Sihem Ben Sedrine, présidente actuelle de l’Instance Vérité et Dignité (IVD), contre lui et son journal.
Nizar Bahloul a précisé qu’il a reçu, aujourd’hui même, un avis d’un huissier de justice. Si l’ancien procès portait sur le terme « mercenaire », la plainte actuelle porte sur la description « adepte du mensonge » insérée dans un article datant du 6 octobre 2014. « J’ai écrit qu’elle est une adepte du mensonge, qui est, pour moi, un qualificatif et non un terme diffamatoire », tient à préciser le directeur du journal, avant de souligner qu’elle avait perdu ledit procès tenu le 10 octobre 2010.
« En effet, ajoute t-il, elle criait sur tous les toits qu’elle n’a rien à voir avec Radio Kalima (voir vidéo), de laquelle nos confrères journalistes ont été licenciés sans ménagement. Le journal officiel (JORT) indique, pourtant, clairement qu’elle en est la cogérante avec son mari. Comment appelle t-on cela sinon qu’elle ne dit pas la vérité, elle qui est présidente de l’Instance de la Vérité ? », a-t-il dit.
Nizar Bahloul a rappelé le rôle et les faits avérés qu’avait commis Mme Ben Sedrine lors du passage de Farhat Rajhi au ministère de l’Intérieur en 2011, ses déclarations à propos des « barbes artificielles » et ses relations plus que suspectes avec les ligues dites de protection de la révolution. Par ailleurs, il a souligné l’argent qu’elle recevait du temps où elle se faisait passer pour une militante des droits de l’Homme alors qu’elle percevait 1.100 euros par mois en Allemagne et 120 mille dollars par an d’une ONG internationale.
« Samir Taïeb, Hichem Skik et Jouneidi Abdeljaoued ne touchaient pas de l’argent pour militer contre la tyrannie de l’ancien régime », a martelé le directeur de Business News. On n’oubliera pas non plus, ajoute t-il, sa tentative de mettre la main sur les archives présidentielles, un patrimoine national, en louant des camions pour les transporter à la veille de la passation du pouvoir entre Moncef Marzouki et Béji Caïd Essebsi.
« Le hic, c’est que Sihem Ben Sedrine bénéficie, désormais, de l’immunité que lui confère son poste à la tête de l’IVD. Autrement dit, elle peut traîner les autres devant les tribunaux alors que la réciproque n’est pas possible. Mais, elle ne m’intimide pas et on pourra toujours écrire pour dénoncer les éventuels abus qu’elle pourrait commettre », conclut, avec conviction et détermination, Nizar Bahloul.
Cette dame, à la double moralité, veut qu'on fasse ce qu'elle dit et qu'on ne fasse pas ce qu'elle a eu pour habitude de faire en collusion avec des chancelleries étrangères.
B.N. : Vous avez en effet été censuré. Merci de bien relire nos règles de modération.
Elle défend son caviar ;roUle en voiture à x millions quand les tuNisiens manQuent de tout
Ou est la dignité et la verité?remplir sa cassette voila ce qui l 'interesse
Qui sont ses protecteurs?
Elle ne represente pas les tunisiens ;ses propres collaborateurs ont jeté l 'eponge ;devant sa morgue et son sentiment d'impunité ;comme l 'integre Borsali et le militant Khemais Chamari
DU VENT.vous avez berné les occidentaux e vous roulez pour qui?