Eh bien, alors K. Saiid, R. EL Ghannouchi, N. Karoui, Abir Moussi, les Abbous'?' et d'autres représentants du peuple, avides de pouvoir, n'ont pas à s'inquiéter de leur avenir. L'esclavage pour toujours!

L'Organisation mondiale de la santé (OMS) s'attend à ce que la pandémie de Covid 19 soit "prolongée" et qu'elle reste une "urgence de santé publique d'importance internationale".

Selon le comité d'urgence de l'OMS. "La pandémie est une crise sanitaire du siècle, dont les effets se feront sentir dans les décennies à venir", a déclaré vendredi le directeur de l'OMS, Tedros Adhanom Ghebreyesus.

"De nombreux pays qui pensaient avoir résisté au pire sont maintenant aux prises avec de nouvelles flambées."

Si ces cas de rt-PCR positifs ont été constatés chez des voyageurs débarqués de l'étranger, il est fort probable, en raison de la période d'incubation relativement longue de l'infection (jusqu'à 14 jours), que ces infections soient importées !

Je voudrais encourager ou mieux demander une force de réaction internationale et une association nationale correspondante pour lutter contre Covid-19 et d'autres maladies infectieuses.

L' évolution de la pandémie corona a clairement montré que l'Institut-Pasteur & Charles Nicole et l'Organisation mondiale de la santé doivent être renforcés.
Il doit y avoir une équipe d'intervention d'urgence de l'OMS - une unité qui peut contenir des infections dans le monde entier.

J'aimerais aussi quelque chose comme ça en Tunisie: un groupe de travail sur les maladies infectieuses. Une association qui agit au niveau national, pas exclusivement au niveau de l'Etat.

J'ajoute qu'il est logique de l´accoster à l'Institut Pasteur par ex. d'avoir son propre personnel d'intervention et de pouvoir utiliser les organisations de secours techniques. Je mets également en garde contre de futures pandémies, dont les agents pathogènes pourraient être aussi contagieux que le nouveau virus corona, mais les effets sont beaucoup plus dangereux.

Je dis: "ne dis jamais jamais". Cela peut arriver. Un virus bien connu peut également changer et devenir agressif, comme la grippe espagnole il y a cent ans. Ou le moustique Aedes devient chez lui en raison du changement climatique, et nous avons affaire à la fièvre dengue...

Où se situe l'Institut-Pasteur et est-il impliqué dans la lutte contre le sida, la typhoïde, l'hépatite A ou la tuberculose et les germes hospitaliers ?

Médecin spécialiste en Microbiologie, Virologie et Infectiologie
Pratiquant en Allémagne.

Avec une bonne équipe qui a montré ses preuves, déjà expérimentée, elle pourrait maîtriser la situation à condition de suivre et d'appliquer ses directives et ses conseils.
Avec un encadrement médical qui a excellé dans une première phase et qui a trouvé tous les repères en peu de temps, il faudrait en appliquer ses recommandations et suivre les traitements adoptés.
Bien sûr, il faudrait aussi payer les médecins et les para-médicaux qui ont travaillé jours et nuits dans des conditions dangereuses et leurs fournir le matériel et les équipements de sécurité nécessaires .
Il semble que jusqu'à aujourd'hui certains médecins surtout les plus jeunes n'ont pas été payés pour des mois travaillés et accomplis .
Donc, le ministère de la santé devrait accomplir ses tâches convenablement.
Toutes ces actions devraient être coordonnées sous forme de chaîne solide et la rupture ou l'usure de l'un de ses maillons -- conseiller, médecin, infirmier,surveillant,....' risquerait de causer des dégâts importants difficilement insurmontables.
Donc, c'est au ministère de fournir les ' moyens matériels et humains' pour persévérer dans l'excellence .
Les cadres ' en commençant par Pr Ben Hammouda, Insaff ben Alaya,Abdelmelek,Jalila,......' et les les soldats de blouses blanches ne manquent pas ...Il suffit de les encourager et de leurs fournir tout ce qui est nécessaire.

Un facteur de risque majeur est ce qui se passe actuellement dans la tête des gens. Ils se sentent beaucoup plus en sécurité aujourd'hui qu'il y a un quart d'année.

Avec la forte diminution des Infections, les dangers qui émanent encore du virus ne sont plus perçus dans la mesure appropriée.

Si toutes les précautions sont systématiquement respectées, il est encore possible de maîtriser l'infection. Une nouvelle forte augmentation ne serait pas fatale, mais refléterait notre gestion inadéquate de la pandémie. L'introduction de tests obligatoires pour les rapatriés des zones à risque serait la bienvenue.

D'un point de vue médical, ce serait tout à fait juste. Il ne faut pas parler d'une deuxième vague. Le mot vague sonne comme quelque chose de fatidique, auquel nous pouvons échapper, mais que nous ne pouvons pas influencer. Cela n'est plus vrai dans la situation actuelle.

La pandémie ne revient pas, elle est là. Nous avons été et nous sommes toujours confrontés à la même pandémie, que nous maîtrisons parfois mieux, parfois moins bien. Le danger, cependant, est bien présent. Et nous devons faire très attention à ce que, au plus tard après la fin de l'été, avec la baisse des températures et la relocalisation de la vie sociale dans des locaux fermés, nous ne nous retrouvions pas dans une situation pire qu'en mars et avril.

Si on laisse les choses aller, la situation devient incontrôlable. C'est la leçon amère et en même temps l'avertissement urgent de la comparaison avec l'Italie ou les Etats-Unis. Nous avons accompli beaucoup de choses, mais nous pouvons aussi perdre ce que nous avons accompli et notre avance laborieusement atteint Et il sera alors extrêmement difficile de prendre des contre-mesures. Cela est aussi particulièrement évident aux Etats-Unis ou au le Brésil.

Médecin spécialiste en Microbiologie, Virologie et Infectiologie
Pratiquant en Allémagne.

Encore 6 contaminations locales à Sousse.
La fermeture des hôtels et frontières s'impose.

'?a sentait le cramé depuis juin.

Les autorités doivent intervenir, c'est la catastrophe!

Fermer l'aéroport carthage pour quelques jours le temps de tout désinfecter et de dépister tout le personnel de l'aéroport .