qui est pour le spectacle triste du palais ?
DES GENS NON IDENTIFIES CIRCULENT EN TOUTE LIBERTE EN DONNANT DES ORDRES ,LE MINISTRE DES AFFAIRES ETRANGERES EVAPORE ET ALORS QUOI ENCORE .
merci ABIR .TU ES LA SAGESSE EN SOI
« Tahya Tounes respecte les dispositions de la constitution selon lesquelles c'est au parti vainqueur aux législatives de former le nouveau gouvernement. Tahya Tounes refuse de participer au prochain gouvernement », a indiqué le dirigeant de Tahya Tounes, Mohamed Ghariani, lors de son passage ce lundi 28 octobre 2019 sur Diwan FM, dans l'émission « Houna Tounes ».
Interrogé par le journaliste Mohamed Youssfi sur la position de Tahya Tounes quant à l’ambition du chef d'Ennahdha, Rached Ghannouchi, de devenir le nouveau chef du gouvernement, Mohamed Ghariani a toutefois préféré esquiver la question.
Mohamed Ghariani a assuré que Tahya Tounes ne voit aucune objection à entamer des dialogues avec des partis politiques ayant été choisis par les Tunisiens lors des précédentes élections législatives, à l’exception de la coalition Al Karama et du Parti destourien libre (PDL).
« J’estime que le PDL est adepte de l’exclusion. Idem pour la coalition Al Karama. Si le PDL refusait le principe de la démocratie, pourquoi alors s’est-il présenté aux élections et a participé à la vie politique? », s’est-il alors interrogé.
E.B.A.
« Tahya Tounes respecte les dispositions de la constitution selon lesquelles c'est au parti vainqueur aux législatives de former le nouveau gouvernement. Tahya Tounes refuse de participer au prochain gouvernement », a indiqué le dirigeant de Tahya Tounes, Mohamed Ghariani, lors de son passage ce lundi 28 octobre 2019 sur Diwan FM, dans l'émission « Houna Tounes ».
Interrogé par le journaliste Mohamed Youssfi sur la position de Tahya Tounes quant à l’ambition du chef d'Ennahdha, Rached Ghannouchi, de devenir le nouveau chef du gouvernement, Mohamed Ghariani a toutefois préféré esquiver la question.
Mohamed Ghariani a assuré que Tahya Tounes ne voit aucune objection à entamer des dialogues avec des partis politiques ayant été choisis par les Tunisiens lors des précédentes élections législatives, à l’exception de la coalition Al Karama et du Parti destourien libre (PDL).
« J’estime que le PDL est adepte de l’exclusion. Idem pour la coalition Al Karama. Si le PDL refusait le principe de la démocratie, pourquoi alors s’est-il présenté aux élections et a participé à la vie politique? », s’est-il alors interrogé.
E.B.A.