Les chiffres officiels sont une chose, mais réalité en est une autre: en réalité, plus de 25% sont au chômage.

Les trois propositions de l'économiste Moez Joudi après sa rencontre avec Mr Mechichi pour sortir la Tunisie de la crise actuelle.
1/( un conseil de hautes compétences économiques pour dicter une politique de sortie de crise)......Pense t il que le Ministre nommé et la haute Administration des finances accepteraient de se défaire de leurs prérogatives tatillonnes ? A l'image d'un conseil scientifique médical suite à la pandémie , ce conseil ne pourrait être efficace qu'en étant rattaché à la Présidence de la République .
2/ ( Ramener la confiance chez les investisseurs)......................Cela ne se décrète pas et l'on en revient au
" parti de l'Administration" qui bloque même les décisions des Ministres.
( décrets d'application des lois aux oubliettes !!!)
3/( Privatiser les sociétés nationales non stratégiques)..............Il préconise un haut conseil économique et il lui précise des pistes dont on parle depuis des années comme pour ce qui est de la caisse de compensation.
En définitive , la vraie révolution devrait être dans la tète de ces économistes.

tot ou tard, on pourra prévoir une autre révolution en ébullition pour la simple raison que nos successifs gouvernements n'ont pas eu jusqu'à ce jour la compétence de traiter la plus dangereuse et la plus calamiteuse de nos fléaux et ce depuis une belle lurette, et le pire elle s'aggrave d'une année à une autre , qui ne connait pas le proverbe :"l'oisiveté est mère de tous les vices" , tout grabuge, toute gabegie , tout désordre n'a et n'aura pour principale cause, l'incapacité d'une nation de créer des emplois et de faire front à ce manque flagrant qui déshonore nos gouvernants; il doit inéluctablement étre pris en considération comme la priorité de toutes les priorités, , cela exige une vision bien pensée et bien établie où tous les intéressés politiques et technocrates doivent trousser les manches et se concentrer pour dénicher les solutions adéquates et spécifiques à nos réalités TUNISIENNES méme progressivement , rénover les méthodes, avoir l'esprit créatif et traiter ce fléau loin de toute considération partisane....... Voir des centaines de miliers de jeunes qui rodent dans la nature , voir cent milles enfants et jeunes qui abandonnent l'école chaque année sans formation et sans aucun avenir , c'est un tremblement de terre à l'horizon , gouverner c'est prévoir, c'est avoir des statistiques viables et réelles, faire des recherches sur le terrain, une cohésion et une adhésion avec cette importante tranche de citoyens et de citoyennes est impérative et continuelle; la première condition pour tout individu de se sentir vivre sa dignité est d'avoir la conscience d'étre utile pour son environnement social, sans cette dignité tout est possible d'imaginer les pires conséquences de ce manque si vital, enfin nos prochains gouvernants nos responsables politiques; nos experts, nos conseillers
sont invités de frapper sur toutes les portes et s'acharner à prévoir d'éviter cet embrassement avant son déclenchement que nul n'est capable d'éteindre sans subir des dégats houleux et collectifs et étre bourrelés de remords ne sera que trop tard et n'aura aucune justification convaincante

Bonjour

Non ce n'est pas la révolution culturelle qui a boosté la chine mais plutôt

La politique dite de modernisation initiée par Deng qui est à l'origine, lui qui a été malmené durant la révolution culturelle...

L'une des réformes majeures imposées est UN ENFANT PAR FAMILLE...

Du faux et usage de faux@

Le parquet doit enquêter conformément à l'article 26 du C.P.P!

Certes, la situation économique et sociale est plus que préoccupante. Les experts et les chercheurs sont unanimes sur le diagnostic de la pathologie, tous sans exception crient haut et fort depuis 2012/13 que la thérapie idéologique théocratique employée est contre productive. La confiance a déserté le pays, pas de confiance pas d'investisseurs étrangers. Les bailleurs financiers( à juste titre) imposent leur dictat de redressement économique et sociale, la Tunisie est devenue dépendante après une indépendance chèrement payée. Pendant ce temps là les protagonistes politiques continuent à faire du derviche tourneur ivres et inconscients. La Tunisie ne s'en sortira qu'avec des larmes et du sang, la CHINE a vécu cette situation et il lui a fallut une révolution culturelle pour qu'ils prennent leur destin en main. BELGACEM ECHABBI l'a dit les chinois l'ont fait.

Dans ces "statistiques", il faudrait inclure la plupart des fonctionnaires et travailleurs de la fonction publique (chômage bien payé) !