Le Syndicat national des journalistes tunisiens (SNJT) a rendu public un communiqué, ce vendredi 15 mai 2020, pour dénoncer les insultes proférées par le chef du bloc parlementaire Al Karama, Seif Eddine Makhlouf, contre le journaliste et chroniqueur Haythem El Mekki, considérant qu’il s’agit d’une atteinte flagrante à la déontologie et à la dignité humaine.
Le syndicat a fait part de son entière solidarité avec Haythem El Mekki, mettant en garde contre le danger de ce discours politique violent basé sur la haine émanant du député Makhlouf et de ses collègues.
D’autre part le SNJT a tenu à mettre en garde contre ce genre de discours qui renvoie vers le climat observé durant la période de 2012 et 2013, ayant conduit à des assassinats et des bains de sang. De ce fait, il a appelé les collègues à faire face à ce fléau dangereux et de ne pas inviter toute personnalité publique prônant la violence et la haine.
Rappelons que le député Al Karama Seif Eddine Makhlouf avait insulté le journaliste et chroniqueur Haythem El Mekki lors de son passage à l’émission Midi Show sur les ondes de Mosaïque Fm, en le traitant de « chien » et de « vendu ».
S.H
Ils ont une corporation douteuse.
Mekki l'a insulté, il lui a répondu.
Le problème c'est le SNJT , il faut qu'il condamne beaucoup de propos tenus par des journalistes pour qu'il soit crédible.
Quelques journalistes n'ont pas d'éthique et sont à charge pour des sujets cruciaux.
Elle n'est pas du tout crédible.
C'est un syndicat de petits copains individualistes opportunistes qui n'ont jamais l'intérêt de la Tunisie avant tout mais surtout il ont mis leur intérêt personnel avant tout .
C'est dommage.
vous n'avez pas voulu entendre les alertes de Mezri Haddad de jalel brick de Bel aid et de beaucoup d'autres vous allez le payer de votre vie il n'est jamais trop il faut agir et Remettre les pendules à l'heure si non ça sera encore plus graves .
Tout le monde a écouté les propos de l'un et de l'autre personne ne peux niez les insultes des personnes envers l'autre et c'est le journaliste qui a commencé !
Cette double mesures met en question l'honnêteté du syndicat