
La députée à l’Assemblée des représentants du peuple (ARP), Fatma Mseddi, a tiré la sonnette d’alarme concernant une série de nominations au sein de la Société Tunisienne de Banque (STB).
Dans un post publié sur sa page Facebook, elle a affirmé avoir reçu des informations confirmées sur la désignation d’un nombre important de responsables après l’adoption du procès-verbal de la réunion du conseil d’administration datée du 22 mai 2025.
Fatma Mseddi a exprimé ses inquiétudes en soulignant que certaines personnes concernées par ces nominations faisaient l’objet de poursuites judiciaires en lien avec quatre grandes affaires touchant directement le système bancaire et financier. Selon elle, ces dossiers impliquent près de trente cadres et employés de la banque.
La députée a également considéré que cette situation avait porté atteinte à la crédibilité du processus judiciaire ainsi qu’aux principes de neutralité et de transparence dans la gestion d’un établissement public financier. Elle a appelé à la suspension provisoire de toute nomination jusqu’à la clôture des enquêtes judiciaires en cours, estimant qu’il était inacceptable de confier des postes de responsabilité à des personnes autour desquelles planent des soupçons sérieux, sans respecter les règles élémentaires de gouvernance et de reddition des comptes.
H.K


L'alerte, émise dans un esprit de vigilance civique, met en lumière ce qui est perçu comme des dysfonctionnements récurrents dans le système de gestion des ressources humaines. L'équité, la transparence et l'objectivité, pourtant au fondement d'une administration moderne, n'y seraient pas systématiquement garanties. Cette situation soulève des interrogations légitimes, s'agissant d'une institution publique stratégique appelée à incarner les principes de rigueur et de responsabilité.
Au-delà de cas particuliers, c'est la gouvernance globale qui est interpellée. L'initiative citoyenne appelle, avec insistance mais sans excès, à une refonte des pratiques selon des axes clairs :
' des processus décisionnels traçables et justifiables,
' des choix validés par des mécanismes indépendants,
' et une gestion fondée sur les compétences, à l'abri de toute forme d'arbitraire.
Ce type d'interpellation, loin d'être isolé, trouve un écho particulier dans un climat où la confiance du citoyen envers les institutions demeure fragile. Il témoigne d'un besoin réel ' et désormais urgent ' de voir les principes de bonne gouvernance traduits dans les faits, et non plus seulement proclamés dans les discours.
Dans cette perspective, la STB, à l'instar de toutes les structures publiques, est appelée à renforcer ses mécanismes de transparence et de légitimité interne. La dynamique de réforme, impulsée au niveau national, ne saurait tolérer des zones d'ombre dans les rouages décisionnels. Elle impose au contraire un alignement rigoureux entre les pratiques quotidiennes et les exigences d'un '?tat moderne et performant.
Elle porte des lunettes format écran plat, sûrement pour mieux suivre le fil'?' de ses contradictions.
Appelons un chat, un chat.
Celui de la période pré-2011 a complétement déserté le paysage civil et boulitique Tounizien !!!
Ils ont été tout simplement annihilés.
Le style de femmes fatales, tel que celui de Mehrezia, Zoghlami et Ben toumia, avait fièrement pris la relève.
Très mauvaise réputation de cette pseudo banque.
D s cadres honnêtes ont été punis car ils dénonçaient ceux que ça dérangeait, des corrompus.
Le mal est fait.
Et comme d'habitude, vous allez zapper le présent commentaire, probablement grâce à l'absence de toute lâcheté qui vous caractérise...