La présidente du PDL, Abir Moussi, a affirmé, lors de son intervention, lundi 6 septembre 2021, sur Jawhara FM, que son parti est la cible d’entraves et que ses réunions sont sciemment interdites sans aucun motif légal.
« Ce qu’a fait la gouverneure de Sousse peut être qualifié de crime. L’interdiction de tenir notre réunion était arbitraire et nous n’avons même pas eu une réponse écrite à nos correspondances, que nous avons adressées au gouvernorat et à la sécurité dans les délais. Elle a donné l’autorisation, il y a de cela une semaine pour un évènement dans une salle fermée, ce qui était strictement interdit. Selon le décret du 18 août 2021, les rassemblements sont permis quand l’assistance est vaccinée et que le protocole sanitaire est respecté. Nous avons pris nos dispositions pour cela et nos structures se sont organisées en fonction de ce texte. Quand on a vu qu’on répondait aux conditions, on a prétexté des menaces me concernant pour simuler un problème de sécurité et interdire notre réunion », a-t-elle poursuivi.
Abir Moussi a ajouté que les responsables à Sousse sont allés jusqu’à recourir à l’argument du certificat de prévention de l’espace où devait se tenir la réunion et a interdit un mariage déjà planifié seulement pour entraver les activités du PDL.
« Nous allons porter plainte contre tous les responsables. On nous dit que les instructions viennent de Carthage. Jeudi, il donne un discours pour dire que le droit à manifester pacifiquement est garanti et vendredi il interdit ma manifestation devant le local d’Al Qaradhawi. Des femmes militantes du PDL ont été harcelées. Le parti destourien est clairement ciblé et les droits des femmes sont clairement menacés, tout a été filmé ! Je vais porter plainte contre la gouverneure de Sousse, contre le ministre de l’Intérieur qui interdit toutes les manifestations du parti et pour ce qui est du dossier des droits de la Femme, je vais tout rassembler dans un dossier et l’envoyer à Carthage. Si le président ne veille pas à ce que l’Etat présente des excuses aux Tunisiennes, je vais prendre les dispositions légales qui s’imposent, l’immunité est levée après le mandat et le président ne pourra pas dire qu’il ne savait rien, il ne pourra pas dire qu’il ne sait rien de ce qui se passe à l’école de Qaradhawi vu que nous avons tout compilé et que nous allons tout lui soumettre », a-t-elle conclu.
M.B.Z
Maintenant il n'ont plus le choix surtout sentant venir leur mort prochaine, ils ne savent que faire venir leurs complices pour des réunions de cirque et de continuer de mentir en prétendant qu'ils ne seront pas les mêmes.
Pour cela ils commencent au moins à reconnaître qu'ils ont été des bandits et qu'ils ont profité de leur situation pour s'enrichir et arnaquer tout l'argent par compensations inimaginables, les biens octroyés sans contrepartie, les autorisations irrégulièrement remises et les recrutements pour la forme rien que pour le salaire et les avantages et la liste des dépassements et des arnaques, est infinie.
Il y a une injustice claire et distincte contre ce parti.
Sa présidente menacée, insultée, frappée par de vils personnages de peu de courage, puisqu'à l'heure qu'il est ils se terrent comme des rats, eux qui jouaient les gris bras.
Or, tout cela n'a jamais suscité une réaction, ni de la justice, ni du Président, Premier magistrat du pays.
C'est une violation des règles de droit, atteinte à l'ordre public puisque les faits sont connus et pour certains documentés.
Alors, l'insulter est une salissure que l'auteur adresse à lui-même.
Elle est l'honneur de ce parlement de notables, vendus et vendable, qui ont subi, soutenu ou pactisé avec Ennahdha et ses satellites, puisque seule elle s'opposa et permit de rendre publics des méfaits.
C'est sur ces acquis que fleurit la colère dont s'est saisi le Président.
Ce serait son devoir, et son honneur, de faire cesser ces atteintes synonymes de persécution car ils prolongent ce qui avait lieu sous le règne des "frères".
La démocratie don't tout le monde se gargarise permet aux voyous de hausser le ton, alors que les éléments de preuve ne manquent pas contre eux, et censure la seule et vraie opposante à l'islamisme.
'?a suffit.
La politique est une science qui se fait étudier aux universités et non un discours adressé à des gens qui cherchent à se repositionner.
Comme l'a dit Ali Abdullah salah :
'?'? '?'?'
Si la politique est une science, de quelle type de science relève-t-elle et quels sont leurs critères ?
Quand on veut péter plus haut que son... on finit par se faire dessus.
Et, qui es-tu pour dire si elle est une politique ou non ?
Il faut savoir se tenir à sa place pour garder sa dignité.
Quand on en a.
S'il y a bien quelqu'un ou quelqu'une qui pourrait mener le pays à un avenir certain, c'est bien Mme Moussi la clairvoyante, pourvue d'un patriotisme et d'une détermination hors pair et exempte de toutes formes d'impostures et de traitrises.
Kaissoune, notre président, est aussi un être doté d'un patriotisme d'une rare intensité.
Que Dieu les protège !!
