Le ministre des Affaires étrangères, Taïeb Baccouche a prononcé, jeudi 5 mars 2015, une allocution lors de sa participation à la 28ème session du Conseil des droits de l’Homme, qui se tient à Genève. A cette occasion, Taïeb Baccouche a exposé la particularité du modèle démocratique tunisien et les raisons de sa réussite au niveau politique, en particulier à la lumière des défis régionaux.
Le chef de la diplomatie tunisienne a également souligné la volonté de la Tunisie de protéger les droits et les libertés inscrits dans la Constitution de la IIème République, rappelant la compatibilité du texte de loi tunisien avec les conventions et les traités internationaux.
Le ministre a révélé que la situation actuelle a imposé au nouveau gouvernement de traiter les dossiers urgents et de préparer une vision claire, afin de revoir la restructuration des politiques économiques et de développement. Il a en outre souligné la nécessité pour les Etats et les organisations internationales de multiplier les efforts, pour lutter contre le phénomène du terrorisme et de l’extrémisme religieux. M. Baccouche a préconisé la mise en place d’une stratégie se basant sur l’intensification de la coordination sécuritaire entre toutes les parties, pour faire face à ces crimes.
Dans ce contexte, Taïeb Baccouche a souligné la détermination du gouvernement tunisien à accélérer l’adoption de la loi antiterroriste par l’Assemblée des représentants du peuple, et ce afin de combattre ce fléau qui est devenu une menace pour toute la région, tout en œuvrant dans le respect des traités et conventions sur les droits de l’Homme.
Le ministre des Affaires étrangères a également noté que la Constitution a statué explicitement sur la criminalisation de la torture. A ce propos, il a annoncé l’intention du gouvernement d’éradiquer le phénomène tortionnaire et toutes les formes de maltraitance, par l’ouverture d’enquêtes indépendantes et impartiales concernant toutes les plaintes pour torture. Le gouvernement tâchera aussi de renforcer la coopération avec les mécanismes de l’ONU, pour rendre justice aux victimes.
I.L.
Qui donc a rédigé, quelle est cette si belle plume?? faut signer avec son nom en entier madame ou monsieur quand on ecrit si bien et si intelligemment il ne faut pas se cacher derrière des intiales, au moins un pseudo :)))) Bref cet article ne correspond pas trop à la ligne éditoriale de BN, mais bon allez on aime tellement BN qu'on lui pardonne quelques "bavures" de temps à autre :))) Mais j'insiste qui a écrit ce truc quoi !!! :))
La torture ;releve de la formation d 'une police républicaine;et d 'un organisme interne à cette police des polices qui sanctionnera tout abus
Des pays développés la pratiquaient en Irak;souvenez vous de ces photos abjete;de guantanamo encore ouvert;de la l&gitimation de la tortue par Isrel ;des prisons en Afrique sub saharienne
A quand la reprise des relations avec la Syrie?
Un voyage en Amerque latine ou il y a des opportunités de travail pour nos jeunes
Un voyage en Chine pour renforcer notre coopération
Il est du droit des forces de l'ordre, de tuer tout terroriste armé.
Il est du droit des forces de l'ordre, de tuer tout être humain armé, qui les met en danger.
Il est du droit des forces de l'ordre, d'arrêter tout suspect d'acte terroriste et de le remettre aux mains du juge d'instruction.
Il est du droit des forces de l'ordre, de mener tout genre de renseignements secrets contre tout suspect de terrorisme.
A par ça, que pourrait leur ajouter une loi antiterroriste, sinon la torture et la tuerie dans les souterrains du ministère de l'Intérieur, comme ce fut le cas aux temps des deux dictateurs déchus Bourguiba et Ben Ali?
Nous avons informé la section des Droits de l'Homme de l'ONU, pour qu'elle soit au courant de l'état régressif des Droits préliminaires de l'Homme en Tunisie et de l'accroissement de la corruption au sein des forces de l'ordre.
Ensemble, nous sauverons notre transition démocratique malgré tous les sabotages des ennemis de la liberté et de la démocratie.