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Pendant ce temps-là, des ministres déjeunent avec Mejda Erroumi…
21/03/2017 | 08:29
1 min
Pendant ce temps-là, des ministres déjeunent avec Mejda Erroumi…

C’est une photo qui a été prise le 20 mars 2017. Certainement pour décompresser des festivités harassantes de l’indépendance et pour changer d’air, plusieurs personnalités ont déjeuné dans un restaurant avec la chanteuse libanaise Mejda Erroumi, qui avait donné un concert la veille.

 

On voit le ministre de l’Education, Néji Jalloul, le ministre des Affaires culturelles, Mohamed Zine El Abidine, la ministre du Tourisme, Selma Elloumi Rekik ainsi que le conseiller politique du chef de l’Etat, Noureddine Ben Ticha. Il y avait également l’élue Wafa Makhlouf.

 

M.A

21/03/2017 | 08:29
1 min
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Commentaires (17)

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james-tk
| 21-03-2017 22:14
Dans de telles soirées,privées,les invité(e)s se comportent le plus normalement du monde,et qu'elles qu'en soient leurs situations!
N'est-ce un crime de lèse majesté de,croiser les bras ou les jambes,s'accorder à la table,rire à pleine dents,dans les lieux publics?

Mehdi
| 21-03-2017 21:00
Bien sur c'est Kacem le frère de Wafa Makhlouf (dans la photo) et propriétaire du restaurant Lemdina qui paiera la note. Il a fait de son resto le salon des Nidaistes.

takilas
| 21-03-2017 20:19
C'est ambassadrice ambassadrice de tout le monde arabe et qui mérite tous les respects de la part des vrais tunisiens et non des impolis, des affamés et de ces arnaqueurs de Nahdha qui veulent trouver les moindres circonstances atténuantes à leurs perpétuels escroqueries et leurs régulières dépenses faramineuses, tant à Hammamet ou d'autres lieux d'hôtels luxueux, sans oublier leurs infinis voyages vers surtout les lieux où ils ont fui la Tunisie à l'époque se la dictature de la RCD de Ben Ali, et où ils ont séjourné royalement à Londres et à Paris et bien évidemment tout en supervisant dans ces villes et autres villes européennes leurs projets et leurs ressources de profits lucratifs.
Reiterons la bienvenue à Mejda Erroumi de lui dire qu'il s'agit d'un simple déjeuner, et qu'elle est la femme tant respectée par les libres tunisiens et non pas par ces extrémistes qui ne connaissent rien de la religion islamique ni des politesse de l'invitation et l'accueil, en espérant que ces moments ardus finiront un jour, et seront auréolé non pas par un second prix Nobel mais par une seconde décolonisation ou indépendance.

Forza
| 21-03-2017 19:04
et non pas comme ce clown de Adel Imam.

Jacouille la fripouille
| 21-03-2017 18:35
Le peuple crève la dalle et cette bande de pseudo ministrose festoie!!!
Ils feraient mieux de se mettre au travail, quel image!!!
Sa sent pas vraiment la sueur chez nos beaux ministres

takilas
| 21-03-2017 18:10
Lorsque la talentueuse et jeune à l'époque Majda Erroumi figura en 1980 au festival de Carthage, à ce moment-là, les futurs arnaqueurs et malfrats de Nahdha qui jouaient à "la kharbga" "sous le muret du magasin "hanout",ils ne savaient pas que la culture qui existe depuis quinze siècles en Tunisie, prenait davantage de l'ampleur dans toutes les activités culturelles et ce malgré les contraintes connues dans le monde entier. Pour qu'aujourd'hui viennent ces paresseux, hormis ceux qui se sont intégrés dans l'enseignement (très encouragé et sollicité après lindependance en 1956 partout sur tout le territoire sans exception sauf pour ceux qui se sont abstenus par ignorance où par force majeure très rare). Maintenant ces ignorants regrettent leurs erreurs et l'expriment par la violence et le reniement des bienfaisances et les modifications de plusieurs investissements et réalisations accomplis dans tous les domaines. Seulement la paresse (dont Bourguiba cherchait à éradiquer) continua à sévir même jusqu'à ce jour et que ces fainéants de nature ne trouvent que des excuses banales à présenter, comme de prétendre être des résistants et des illustres et que les résistants et les édifiants réels n'ont jamais existé. Une mentalité d'hypocrisie qui apparue surtout avec les médiocres du RCD de Ben Ali et avec Nahdha avec comme chefs de file les deux maladifs mentalement et complexés chroniques Ghannouchi et Marzouki qui ont instaurés cette pandémie parmi le peuple zen voulant par la même occasion soit du destin divin ou de la fatalité qui les a menée vers leurs situations sociales incongrues, ne connaissant par exemple rien des bonnes manières et du savoir-vivre. Mais I'll fault dire que d'avoir acquis un certain enseignement et même des biens immobiliers de plus dans les grandes villes (comme à Tunis l'une des capitales les prestigieuses au monde), et osent riposter et ne pas remercier Dieu de cet acquis dont le peuple a du batailler pendant des siècles pour l'acquérir, et l'acquérir même au profit de ceux qui s'accueillaient (par simple paresse et rien dautre) sous le mur du hanout.

bec bec
| 21-03-2017 16:52
On ne met jamais les coudes sur la table. Manque de savoir-vivre

takilas
| 21-03-2017 16:20
De l'accueillir comme il se doit, et ne pas attendre qu'ils soient accusés de nonchalance.

404
| 21-03-2017 15:55
qui paye lanote ,c'est le plus important, pour le reste il peuvent manger avec qui ils veulent memeavec sharon

SlahedinneBL
| 21-03-2017 15:08
La démocratie ne nous a appris que râler et contester toute action entreprise par les membres du gouvernement.
Je ne comprends pas ou est le mal à avoir déjeuner en compagnie de cette artiste?
Vraiment, la porte ouverte de la protestation est devenue systématique pour tout.
Quand trouverons nous l'équilibre de la contestation juste et positive ?
Un jour , qui sait.