Les règles élémentaires du droit sont bafouées et la nouvelle classe politique périra par ce mêmes pratiques inéquitable qu'elle applaudit et laisse faire aujourd'hui.
Misérable est l'état du pays, c'est bien dommage!
La cour d’appel a condamné l’ancien président de la République, Zine El Abidine Ben Ali, à une peine de prison de 5 ans dans une affaire de torture.
Le tribunal a procédé, pour cette condamnation, à une jurisprudence inédite jusque là. Les co-accusés dans cette affaire sont, entre autres, Abdallah Kallel, ancien ministre de l’Intérieur, et Ali Seriati, Ancien chef de la Garde présidentielle. Concernant ceux qui étaient présents à l’audience, le tribunal a considéré qu’il y avait prescription au vu des délais dépassés.
Par contre, concernant Zine El Abidine Ben Ali, le tribunal a considéré qu’il bénéficiait d’une immunité qui empêche qu’il soit jugé. Donc, la cour d’appel a considéré que cette immunité était tombée le jour où il n’était plus président, à savoir le 14 janvier 2011. Partant de là, l’ex-président pouvait être jugé dans cette affaire.
M.G
La cour d’appel a condamné l’ancien président de la République, Zine El Abidine Ben Ali, à une peine de prison de 5 ans dans une affaire de torture.
Le tribunal a procédé, pour cette condamnation, à une jurisprudence inédite jusque là. Les co-accusés dans cette affaire sont, entre autres, Abdallah Kallel, ancien ministre de l’Intérieur, et Ali Seriati, Ancien chef de la Garde présidentielle. Concernant ceux qui étaient présents à l’audience, le tribunal a considéré qu’il y avait prescription au vu des délais dépassés.
Par contre, concernant Zine El Abidine Ben Ali, le tribunal a considéré qu’il bénéficiait d’une immunité qui empêche qu’il soit jugé. Donc, la cour d’appel a considéré que cette immunité était tombée le jour où il n’était plus président, à savoir le 14 janvier 2011. Partant de là, l’ex-président pouvait être jugé dans cette affaire.
M.G