| 05-06-2019 07:10
Les tunisiens récoltent ce qu'ils ont semé. Quand on sème la haine, le régionalisme, la prétention, le narcissisme, l'ingratitude.., que voulez-vous donc que l'on récolte?
Ils tournent le dos aujourd'hui à leurs propres choix: Porter en héros en 2011 les traitres de Otpor, Freedom House, blogueurs et chihuahuas des ONG, tout en criant "Dégage" à ceux qui ont fait la Tunisie rayonnante et prospère.
Ils ont la déprime des peuples cités dans le Coran après leurs mauvais actes. La Tunisie vit un récit digne des récits bibliques. Alors son peuple, ingrat et instruit, cherche un bouc émissaire. Ce n'est jamais lui; mais c'est l'autre qui est la cause de ses échecs.
Comment aujourd'hui osent-ils parler d'ingérence étrangère lorsqu'ils avaient applaudi en même temps que Al Jazeera, que France 24, que CNN, que le congress américain la chute de Ben Ali et l'assassinat de Gaddafi? Ils ne peuvent même pas dire qu'ils ne le savaient pas, puisque leurs intellectuels, intervenant sur ce journal, me riaient au nez lorsque jadis je leur parlais de menace souveraine et de tentative coloniale.
Léon a un siècle d'avance sur vos intello-merdeux, aussi bien que Bourguiba avait un siècle d'avance sur la poussière d'individus que formaient vos parents.
Le problème c'est que Léon et ses semblables ne peuvent arriver à imposer les destinées d'un pays; dans un suffrage universel régissant un peuple aux trois quarts délétère, prétentieux et d'intérieur vide. Ehh oui mes grands! c'est le système "démocratique" du suffrage universel (que vous confondez certainement avec la vertu et les droits élémentaires de dignité de l'Homme) qui est en train de nécroser votre pays.
Un peuple où même parmi ceux qui prétendent défendre la vertu, ont fini par installer la débauche et le libertinage.
Un peuple où même ceux qui prétendaient combattre la corruption ont fini par en faire une règle.
Un peuple où même ceux qui prétendaient combattre la pauvreté ont fini par faire de la mendicité une doctrine d'état.
Alors, pour une fois, respectez les gens qui vous ont mis en garde, pendant que vous applaudissiez tous, comme des imbéciles, le départ imposé de Ben Ali vers l'Arabie Saoudite. En ce jour-là, vous applaudissiez en réalité le départ de votre quiétude, de votre rayonnement et de vos acquis.
Que de personnes se sont auto-détruites en voulant détruire autrui. Ce n'est que justice, car la haine est mauvaise conseillère. Dieu merci, il a bien fait les choses, c'est la loi naturelle pour que le bien survive au mal.
Dans cette histoire, le mal n'était certainement pas Ben Ali, la Mal c'était Vous. Comme allait vous le prouver les événements futurs. Lui, il est "Fi-Rihab Errasoul" (saw), pendant que vos islamistes et autres zbires de la politique vivent aujourd'hui un enfer incommensurable.
Si tout cela ne vous conduit pas à vous poser des questions, alors attendez encore!
Léon aura essayé en vain de vous épargner le temps perdu. Mais comment était-ce possible de l'écouter sans passions en 2011? Il fallait dans un premier temps dégager le venin de vos crocs. Alors vous l'avez dégagé en vous mordant vous-même, croyant mordre la main de Ben Ali.
Si vous persistez, faites très attention à la colère de la Providence, qui aboutit aux sorts vécus par les peuples cités dans le Coran.
Léon, Min Joundi Tounis Al Awfiya;
Résistant;
VERSET 112 de la SOURATE des ABEILLES.
Ils tournent le dos aujourd'hui à leurs propres choix: Porter en héros en 2011 les traitres de Otpor, Freedom House, blogueurs et chihuahuas des ONG, tout en criant "Dégage" à ceux qui ont fait la Tunisie rayonnante et prospère.
Ils ont la déprime des peuples cités dans le Coran après leurs mauvais actes. La Tunisie vit un récit digne des récits bibliques. Alors son peuple, ingrat et instruit, cherche un bouc émissaire. Ce n'est jamais lui; mais c'est l'autre qui est la cause de ses échecs.
Comment aujourd'hui osent-ils parler d'ingérence étrangère lorsqu'ils avaient applaudi en même temps que Al Jazeera, que France 24, que CNN, que le congress américain la chute de Ben Ali et l'assassinat de Gaddafi? Ils ne peuvent même pas dire qu'ils ne le savaient pas, puisque leurs intellectuels, intervenant sur ce journal, me riaient au nez lorsque jadis je leur parlais de menace souveraine et de tentative coloniale.
Léon a un siècle d'avance sur vos intello-merdeux, aussi bien que Bourguiba avait un siècle d'avance sur la poussière d'individus que formaient vos parents.
Le problème c'est que Léon et ses semblables ne peuvent arriver à imposer les destinées d'un pays; dans un suffrage universel régissant un peuple aux trois quarts délétère, prétentieux et d'intérieur vide. Ehh oui mes grands! c'est le système "démocratique" du suffrage universel (que vous confondez certainement avec la vertu et les droits élémentaires de dignité de l'Homme) qui est en train de nécroser votre pays.
Un peuple où même parmi ceux qui prétendent défendre la vertu, ont fini par installer la débauche et le libertinage.
Un peuple où même ceux qui prétendaient combattre la corruption ont fini par en faire une règle.
Un peuple où même ceux qui prétendaient combattre la pauvreté ont fini par faire de la mendicité une doctrine d'état.
Alors, pour une fois, respectez les gens qui vous ont mis en garde, pendant que vous applaudissiez tous, comme des imbéciles, le départ imposé de Ben Ali vers l'Arabie Saoudite. En ce jour-là, vous applaudissiez en réalité le départ de votre quiétude, de votre rayonnement et de vos acquis.
Que de personnes se sont auto-détruites en voulant détruire autrui. Ce n'est que justice, car la haine est mauvaise conseillère. Dieu merci, il a bien fait les choses, c'est la loi naturelle pour que le bien survive au mal.
Dans cette histoire, le mal n'était certainement pas Ben Ali, la Mal c'était Vous. Comme allait vous le prouver les événements futurs. Lui, il est "Fi-Rihab Errasoul" (saw), pendant que vos islamistes et autres zbires de la politique vivent aujourd'hui un enfer incommensurable.
Si tout cela ne vous conduit pas à vous poser des questions, alors attendez encore!
Léon aura essayé en vain de vous épargner le temps perdu. Mais comment était-ce possible de l'écouter sans passions en 2011? Il fallait dans un premier temps dégager le venin de vos crocs. Alors vous l'avez dégagé en vous mordant vous-même, croyant mordre la main de Ben Ali.
Si vous persistez, faites très attention à la colère de la Providence, qui aboutit aux sorts vécus par les peuples cités dans le Coran.
Léon, Min Joundi Tounis Al Awfiya;
Résistant;
VERSET 112 de la SOURATE des ABEILLES.