j'ai vécu longtemps en Afrique APPERTAID
ET J AVAIS UN SINGE QUI S APPELAIT aby
On s’attendait à des mesures concrètes, des propositions ou encore une mesure pour sortir de la situation actuelle du pays, et notamment de la crise économique et sociale. On s’attendait, au moins à un plan d’action, vu que le président de la République a dépêché, en urgence, ce vendredi 28 décembre 2018, plusieurs présidents de partis politiques, des blocs parlementaires, ainsi que les présidents des deux organisations, la centrale syndicale, et la centrale patronale.
Cependant, dans son mot d’ouverture, le chef de l’Etat s’est attaqué à tout le monde et en particulier, et de manière subtile, aux blocs parlementaires soutenant le nouveau gouvernement.
Béji Caïd Essebsi a considéré que « les blocs parlementaires qui ont soutenu le remaniement ministériel, avec 130 voix, sont autant responsables que le gouvernement dans la détérioration de la situation économique et sociale, dans un contexte sécuritaire difficile », insistant sur l’accélération de la crise depuis le remaniement, alors que le pays, exige un climat politique sain et positif, d’autant plus que l’année prochaine est celle des élections.
S’adressant à ses convives le président de la République renchérit en ces termes : « Vous êtes aussi responsables pour trouver des solutions. Dans la politique, c’est le résultat qui compte. Et, désormais, les résultats sont mauvais ».
Il a par ailleurs, appelé le gouvernement à « reprendre les négociations avec l’UGTT ». Des négociations qui sont déjà en cours et très probablement, les deux partenaires finiraient par trouver, un accord.
Le président de la République a proposé de se réunir la semaine prochaine, afin d’examiner, les résultats des négociations salariales.
On pourrait même lire, qu’entre les lignes, BCE propose une autre initiative, à l’instar de celle de l’Accord de Carthage. Or, il semble oublier que le pays ne supporte plus d’initiatives. Le temps presse désormais et les crises ne se résoudront pas toutes seules.
A l’exception des appels répétés, le président de la République n’a pas vraiment proposé de solutions, quoiqu’il n’ait pas arrêté d’affirmer, qu’il est aussi « responsable » quelque part de la situation. Mais, même s’il l’a avoué, c’est aux autres, soit le gouvernement et les blocs qui le soutiennent de trouver les solutions.
Rappelons qu’une réunion, consacrée à la situation actuelle du pays et notamment à la crise économique et sociale, s’est tenue, ce vendredi 28 décembre 2018, au palais de Carthage, sous l’égide du président de la République Béji Caïd Essebsi.
Le chef de l’Etat a dépêché en urgence, le président de l’Assemblée des représentants du peuple (ARP) Mohamed Ennaceur, le chef du gouvernement Youssef Chahed, le secrétaire général de l'Union générale tunisienne du travail (UGTT) Noureddine Taboubi, le président de l'Union tunisienne de l'industrie, du commerce et de l'artisanat (Utica) Samir Majoul, les président des partis politiques et blocs parlementaires soutenant le gouvernement.
Un nombre de personnalités politiques impliquées directement dans ce qui se passe, cela est compréhensible. Ceci étant dit, la présence de Salma Elloumi Rekik, directrice du cabinet du président, soulève des interrogations, parce qu'elle semble non justifiée.
I.B
On s’attendait à des mesures concrètes, des propositions ou encore une mesure pour sortir de la situation actuelle du pays, et notamment de la crise économique et sociale. On s’attendait, au moins à un plan d’action, vu que le président de la République a dépêché, en urgence, ce vendredi 28 décembre 2018, plusieurs présidents de partis politiques, des blocs parlementaires, ainsi que les présidents des deux organisations, la centrale syndicale, et la centrale patronale.
Cependant, dans son mot d’ouverture, le chef de l’Etat s’est attaqué à tout le monde et en particulier, et de manière subtile, aux blocs parlementaires soutenant le nouveau gouvernement.
Béji Caïd Essebsi a considéré que « les blocs parlementaires qui ont soutenu le remaniement ministériel, avec 130 voix, sont autant responsables que le gouvernement dans la détérioration de la situation économique et sociale, dans un contexte sécuritaire difficile », insistant sur l’accélération de la crise depuis le remaniement, alors que le pays, exige un climat politique sain et positif, d’autant plus que l’année prochaine est celle des élections.
S’adressant à ses convives le président de la République renchérit en ces termes : « Vous êtes aussi responsables pour trouver des solutions. Dans la politique, c’est le résultat qui compte. Et, désormais, les résultats sont mauvais ».
Il a par ailleurs, appelé le gouvernement à « reprendre les négociations avec l’UGTT ». Des négociations qui sont déjà en cours et très probablement, les deux partenaires finiraient par trouver, un accord.
Le président de la République a proposé de se réunir la semaine prochaine, afin d’examiner, les résultats des négociations salariales.
On pourrait même lire, qu’entre les lignes, BCE propose une autre initiative, à l’instar de celle de l’Accord de Carthage. Or, il semble oublier que le pays ne supporte plus d’initiatives. Le temps presse désormais et les crises ne se résoudront pas toutes seules.
A l’exception des appels répétés, le président de la République n’a pas vraiment proposé de solutions, quoiqu’il n’ait pas arrêté d’affirmer, qu’il est aussi « responsable » quelque part de la situation. Mais, même s’il l’a avoué, c’est aux autres, soit le gouvernement et les blocs qui le soutiennent de trouver les solutions.
Rappelons qu’une réunion, consacrée à la situation actuelle du pays et notamment à la crise économique et sociale, s’est tenue, ce vendredi 28 décembre 2018, au palais de Carthage, sous l’égide du président de la République Béji Caïd Essebsi.
Le chef de l’Etat a dépêché en urgence, le président de l’Assemblée des représentants du peuple (ARP) Mohamed Ennaceur, le chef du gouvernement Youssef Chahed, le secrétaire général de l'Union générale tunisienne du travail (UGTT) Noureddine Taboubi, le président de l'Union tunisienne de l'industrie, du commerce et de l'artisanat (Utica) Samir Majoul, les président des partis politiques et blocs parlementaires soutenant le gouvernement.
Un nombre de personnalités politiques impliquées directement dans ce qui se passe, cela est compréhensible. Ceci étant dit, la présence de Salma Elloumi Rekik, directrice du cabinet du président, soulève des interrogations, parce qu'elle semble non justifiée.
I.B