Plusieurs enquêtes pour complot contre la sûreté de l’État ont été initiées en Tunisie depuis le 25 juillet 2021. La plus célèbre d’entre elle est celle visant Khayam Turki, Lazhar Akremi, Chayma Issa, Ridha Belhaj, Ghazi Chaouachi, Jaouhar Ben Mbarek, Issam Chebbi, Abdelhamid Jelassi et Kamel Letaïef. Ils ont été emprisonnés à la suite de mandats de dépôt émis en février 2023.
Nous célébrons ce 10 avril 2024 l’Aïd Esseghir. À cette occasion, des enfants des détenus politiques ont choisi de leur adresser un message via Facebook.
Ainsi, Mahmoud Belhadj, fils de Ridha Belhadj a indiqué qu’il s’agissait du deuxième Aïd sans son père. Il a accompagné cette phrase d’une photo avec son père et des hashtags « liberté au détenu politique Ridha Belhadj » et « liberté à tous les détenus politiques ».
De son côté, la fille de Ghazi Chaouachi, Sara Chaouachi a écrit « Encore un Aid sans toi. Quelle voix résonnera demain au petit matin pour nous réveiller ? Qui décorera la table du petit-déjeuner ? Quel café boiras-tu et quel goût aura-t-il ? Qui allumera la radio et qui dansera sur les chansons de l’Aid ? Quel rire illuminera la maison devant Madraset El Moshaghbeen? Quel message de ton téléphone enverrai-je à tes 500 amis ? Qui sera au volant pour nous conduire à Kairouan ? Qui nous emmènera au photographe parce qu'on n'a jamais assez de photos ? Quel genre d'Aid a-t-on lorsque ton fauteuil reste vide ? Quel genre d'Aid a-t-on lorsque le peuple pour qui tu t'es tellement battu, fait le mort ? Quel genre d'Aid a-t-on lorsque l'indifférence règne ? Quel genre d'Aid a-t-on sans toi ?
Aidek mabrouk Papa, nous nous retrouverons ! ».
Ghazi Chebbi, fils de Issam Chebbi, s’est, également, exprimé, à ce sujet. Il a indiqué qu’il s’agissait du deuxième Aïd sans son père et sans le rassemblement familial. « Que Dieu te libère et qu’il te ramène parmi nous le plus rapidement que possible…
Joyeux Aïd à tous », a-t-il écrit.
Quant à la fille d’Abdelhamid Jlassi, Mariem Jelassi, elle a indiqué qu’il s’agissait du premier Aïd, depuis 2001, sans son père. Elle a évoqué des souvenirs de cette année-là, durant laquelle sa mère et elle n’ont pas pu rendre visite à son père en prison. « Après 23 ans de cet incident, je me retrouve face aux larmes de ma mère, lors d’une vidéo datant de deux jours avant l’Aïd et je me retrouve à passer un autre Aïd non pas seulement sans toi, mais sans te voir et sans écouter ta voix…
Un autre Aïd que passera ma mère seule, toute seule et moi seule.
Un autre Aïd sans âme », a-t-elle écrit.
Mariem Jelassi a indiqué que son père lui manquait. Elle lui a souhaité un joyeux Aïd et a espéré fêter le prochain en sa compagnie.
Notons que la liste des accusés comprend, également, Lazhar Akremi et Chayma Issa. Ces derniers ont été arrêtés dans le cadre de la même affaire puis laissés en liberté à la date du 13 juillet 2023.
S.G
Car jamais la Tunisie n'a été menacée d'extinction comme elle ne l'a été depuis le 14 janvier 2011.
Qui sont les ennemis de la Nation Tunisienne ?
Ils peuvent être classés grosso modo en deux groupes.
LES BEURRES :
Ils s'agissent d'un lobby puissant et dangereux car ils cultivent une haine incommensurable pour la Tunisie moderne et prospère. Issus de familles d'immigrés Tunisiens vivant avec de petits moyens en France, ils choisissent la voie des études selon le cursus Français pour ensuite être engagés et formatés par les ONG de la CIA qui rôdent autour des Universités Françaises. Beaucoup disposeront de bourses afin de compléter des études de troisième cycle aux Etats Unis. De nombreux programmes universitaires américains sont désormais financés par le Qatar avec le thème classique d'un Islam démocratique. Beaucoup subissent un lavage de cerveau selon des rituels sionistes qui désignent comme sanguinaires et monstrueux les régimes Arabes autoritaires comme celui de Nasser. Les plus grands donateurs de fond universitaires sont les lobbys sionistes américains et des hommes d'affaires ayant un pied en Israël ou même dans la Knesset et qui ont tracé de grandes lignes pour un monde Arabe déstabilisé par de fausses démocraties musulmanes subissant les foudres d'islamistes arriérés et violents. Les conséquences sont des pays Arabes épuisés financièrement et aux prises avec des problèmes insurmontables puisqu'ils sont devenus politiquement instables. Le modèle de la Tunisie déstabilisée par un coup d'Etat militaire guidé par la CIA représente l'exemple le plus convaincant. Au lendemain du départ de Ben Ali, un grand nombre de hauts cadres d'origine Tunisienne résidant en France ont débarqué en Tunisie avec comme mission d'aider le gouvernement provisoire à établir les fondements d'une démocratie.
LES ISLAMISTES TUNISIENS
Ce sont les descendants directs de Jamal El Dine El Afghani. Envoyé par le MI6 en Egypte afin de contrer les Nationalistes qui voulaient recouvrer le canal de Suez vital aux intérêts de Londres, cet homme créa sa propre secte avec hauts dignitaires et groupuscules armés chargés d'assassiner les socialistes Egyptiens. L'assassinat de Chokri Belaid est une répétition de l'histoire, comme de nombreux Universitaires socialistes Egyptiens furent éliminés par les frères musulmans Egyptiens. El Afghani était une fraude autant que les islamistes Tunisiens qui parlent avec un accent du « Khalij» car ses origines étaient Perses mais il se déclara comme étant Afghan au monde afin de s'octroyer un côté mystérieux. Les islamistes Tunisiens sont de dangereux sociopathes financés par l'Arabie Saoudite et le Qatar. La notion de nationalisme Tunisien leur est étrangère et ils sont disposés à détruire l'économie et l'intégrité territoriale de la Tunisie afin d'y établir un Islam orthodoxe et sanguinaire.
CONCLUSION :
Les deux groupuscules cités ci-dessus représentent une menace immédiate pour la survie de la Nation Tunisienne. Ils doivent être neutralisés par des lois impitoyables y compris celles prévoyant le retrait immédiat et irrévocable de la Nationalité Tunisienne.
JOHN WAYNE
