Khadija Cherif, militante féministe et ancienne présidente de l’Association tunisienne des femmes démocrates (ATFD) a réagi, dans une vidéo publiée sur la page Facebook de la Coalition Egalité Héritage, sur la question de la mise en place de la loi sur l’égalité dans l’héritage entre hommes et femmes.
L’élue Hager Ben Cheikh Ahmed a affirmé, dans un post Facebook, qu’elle est ni concernée, ni liée par les listes de l’Union civile, ayant gelé son adhésion au parti Afek Tounes mi-décembre dernier et ayant été écartée et exclue du parti contrairement à d’autres démissionnaires, qui ont pris part au dialogue et au vote.
Le journaliste et activiste dans la société civile Zied El Hani a accusé hier 28 février 2018 la députée de Nidaa Tounes Asma Abou El Hana d’inciter les protestataires à refuser les propositions conjointes du gouvernement et de l’UGTT pour une reprise des activités de la CPG.
Le racisme est un fléau. Il est certes, et au grand désarroi de tous ceux qui ont un minimum d’intelligence, un phénomène de société, mais devient plus grave quand il touche aussi les personnes censées représenter une autorité.
L’ancien ministre des Domaines de l'Etat sous la troïka, Salim Ben Hamidane, continue ses attaques contre les journalistes. Dans un post publié aujourd'hui, il vient d’attaquer, le chroniqueur de Shems FM, Youssef Oueslati, qui l’a cité en direct dans son émission diffusée ce mardi 27 février 2018, comme étant « responsable, pour l’Etat tunisien, de centaines de milliards de dinars de pertes, dans l’affaire de la BFT (Banque franco-tunisienne)».
Le ministère des Affaires culturelles a refusé de délivrer le visa d’exploitation au film « Call me by your name » qui devait être projeté dans la salle Le Colisée cette semaine. C’est ce qu’annonce l’équipe de communication de la salle ce mardi 27 février 2018 sur les réseaux sociaux.
La fille de l’ancien président de l’UTICA, Hédi Jilani, et belle-sœur de Sofiène Ben Ali, neveu, récemment décédé, de l’ancien président de la République, Zine El Abidine Ben Ali, a tenu à rapporter les violations commises à l’encontre de sa famille et qui « ont conduit à la disparition de son beau-frère ».
La magistrate et ancienne candidate à la présidentielle de 2014, Kalthoum Kannou, s’est insurgée contre les restrictions imposées par les services municipaux sur les prénoms des nouveaux-nés.
« La liberté psychologique et intellectuelle est le moteur de la démocratie mais la liberté physique est essentielle à l'épanouissement personnel. Cela inclut le droit à la propriété de votre esprit et de votre corps, et la liberté de l'exercer à votre guise » a tenu à préciser le dirigeant d’Ennahdha, Lotfi Zitoun.