Vote antidémocratique et contre la constitution pour éliminer des candidats gênants certains partis.
Tentative de putsch contre le président de la République.
C'est le parlement des bandits et du chassez le naturel il revient au galop...
L’ancien ministre de l’Emploi et de la Formation professionnelle, Faouzi Ben Abderrahman a publié un statut, ce dimanche 30 juin 2019, estimant que le parlement n’a pas réussi à consacrer l’acquis démocratique, notamment, en entravant la mise en place de la Cour Constitutionnelle.
Faouzi Ben Abderrahman a indiqué que « ce parlement n’a pas fait preuve d’une intention sérieuse de respecter la Constitution en mettant en place les instances constitutionnelles, et les institutions de la IIe République sont restées en blocage permanent. La raison était-elle valable ? Evidemment que non ! parce que la cause se résume en un conflit partisan, voire même la manière de réduire le rôle de la Cour Constitutionnelle par rapport au pouvoir législatif. La responsabilité revient à la majorité des partis au pouvoir, à savoir le Nidaa de 2014 et Ennahdha. Ces partis ont traité la Constitution avec beaucoup d’insolence sans connaître une vive pression populaire ou institutionnelle afin qu’ils mettent fin aux tergiversations… ».
L’ancien ministre a insisté que le parlement, de par ce blocage, a perdu sa crédibilité, portant également atteinte à la crédibilité des trois présidences.
S.H
L’ancien ministre de l’Emploi et de la Formation professionnelle, Faouzi Ben Abderrahman a publié un statut, ce dimanche 30 juin 2019, estimant que le parlement n’a pas réussi à consacrer l’acquis démocratique, notamment, en entravant la mise en place de la Cour Constitutionnelle.
Faouzi Ben Abderrahman a indiqué que « ce parlement n’a pas fait preuve d’une intention sérieuse de respecter la Constitution en mettant en place les instances constitutionnelles, et les institutions de la IIe République sont restées en blocage permanent. La raison était-elle valable ? Evidemment que non ! parce que la cause se résume en un conflit partisan, voire même la manière de réduire le rôle de la Cour Constitutionnelle par rapport au pouvoir législatif. La responsabilité revient à la majorité des partis au pouvoir, à savoir le Nidaa de 2014 et Ennahdha. Ces partis ont traité la Constitution avec beaucoup d’insolence sans connaître une vive pression populaire ou institutionnelle afin qu’ils mettent fin aux tergiversations… ».
L’ancien ministre a insisté que le parlement, de par ce blocage, a perdu sa crédibilité, portant également atteinte à la crédibilité des trois présidences.
S.H