Alors que nous nous apprêtons à dire adieu à une année morne, triste et terrifiante et à en accueillir une nouvelle, dont tout indique qu'elle sera aussi difficile et compliquée que la précédente à tous les niveaux, à l'intérieur comme à l'extérieur, que se passerait-il si le pouvoir en place décidait de faire de la fin d'une année et du début d'une autre une occasion de réjouir les citoyens et les familles qui ont souffert du supplice des prisons, de l'éloignement des proches, des conditions d'arrestation et des visites humiliantes, et d'ouvrir une nouvelle page dans la gestion du pays ?