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Le message du ministre de l’Education aux élèves
29/01/2019 | 17:02
1 min
Le message du ministre de l’Education aux élèves

 

Le ministre de l’Education, Hatem Ben Salem a affirmé, dans un statut publié sur sa page Facebook ce mardi 29 janvier 2019, son engagement à parvenir à une solution au bras du fer qui perdure entre le département et le syndicat général de l’enseignement secondaire.

 

M. Ben Salem a, dans ce sens, exprimé sa disposition à « faire des sacrifices » en vue de débloquer la crise qui secoue le secteur. Il a ainsi adressé un message aux élèves les appelant à rejoindre les bancs de l’école et à s’apprêter aux examens trimestriels ainsi qu’aux épreuves nationales.

 

B.L

 

29/01/2019 | 17:02
1 min
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Commentaires (8)

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Tounsi
| 30-01-2019 18:08
pour remédier à ce problème récurent il ne faut pas payer les grévistes .

adel
| 30-01-2019 11:45
Tout le monde se plaint car personne ne fait son travail convenablement.
Un main d'oeuvre en bâtiment fournit un effort physique considérable en plein soleil, sous la pluie et le vent et dans toutes les conditions adverses. C'est un être humain. Tout ce qu'on lui demande c'est qu'il fasse son travail correctement ou qu'il aille chercher un autre poste pour ne pas nuire à son environnement.
Chacun de nous pense qu'il mérite un meilleur salaire et de meilleurs conditions et ce n'est pas en tenant le "client" en otage qu'on doit arriver à nos fins.
Ce qu'on reproche à nos enseignants c'est un comportement immoral qu'ils inculquent à leurs élèves systématiquement de part la nature du travail.
Il ne faut pas généraliser, mais les statistiques démontrent que le phénomène est beaucoup trop important.
Ce qui est en cause ce n'est pas l'enseignant en particulier mais une attitude généralisée négative (parfois passive parfois agressive) de l'animal porteur de la carte d'identité nationale.

adel
| 30-01-2019 10:33
Ce qu'on déplore, de nos jours, c'est l'absence de l'?tat de Droit et la victoire de la criminalité.

Société tunisienne passive, gare à toi !

amazigh
| 30-01-2019 08:29
L'agenda du bandit yacoubi sert l'agenda des islamistes dont l'objectif à cours terme est de detruire la structure et le contenu actuel de l'enseignement en Tunisie
leur objectif est de gourouser les enfants et la jeunesse avec un islamisme pour qui la terre est plate et le reste du monde des mecréants.
Leur objectif poser dans la main et la tête de nos enfants un sabre plutôt qu'un stylo ou un clavier.
TENEZ BON M. LE MINISTRE nous vomissons les khewmji.
Vive la TUNISIE LIBRE ET LAIQUE

tina
| 29-01-2019 21:07
Pour répondre à Mr sur le travail pénible de l'enseignant dites moi un seul métier qui manipule pendant une heure 30 à 35 personnes au même moment avec 35 différences et 35 comportement et 35 background hérités des familles en plus donner de la science. Cet effort personne ne peut le faire aucun autre métier . Faisant le calcul pendant une seule matinée l'enseignant peut traité avec au minimum 120 élèves et allant jusqu'à 150 élèves et pendant une journée il peut atteindre 180 élèves. Dites moi dans l'administration combien de dossier par jour vous traitez et dites moi à la maison combien vous fournissez d'effort pour rester calme avec vos deux enfants au même temps. Si vous arrivez à répondre d'une manière scientifique et avec le même degré de qualification , chapeau bas. Merci

Imed
| 29-01-2019 20:18
En France, tout le monde part à la retraite à 62 ans, Y COMPRIS LES ENSEIGNANTD. Ceux qui peuvent partir à la retraite anticipée, 59 ou 60 ans, sont ceux qui ont commencé à travailler ENTRE 14 ET 20 ANS. Quant à ceux qui peuvent partir à la retraite anticipée pour pénibilité sont ceux dont LE TRAVAIL PENIBLE PENDANT TOUTES CES ANNEES A ABOUTI A UN HANDICAP de 10%. Est-ce le cas des enseignants ? Si le gouvernement cède sur point, les ouvriers des entreprises sidérurgiques, les employés de café (tabagisme passif et station debout), les dockers... Tout le monde va se mettre à réclamer une retraite à 57 ans voire 55 ans.
Maintenant, il faut que le gouvernement soit ferme, qu'il coupe les salaires et qu'il traduise en justice TOUS CEUX QUI ONT DEPASSE LE DROIT SYNDICAL.

observator
| 29-01-2019 19:23
Les grand perdants dans cette histoire sont les enfants de ce pays.
Yacoubi est un bandit et un pion et il exécute un agenda.
En arrivant au pouvoir, Ben Ali a confié la gestion de l'éducation à la pseudo-gauche en nommant un certain Charfi
ministre de l'éducation pour réduire l'influence de ses opposants islamistes.
Cette pseudo-gauche, pour la plupart un ramassis de frustrés du bouguibisme a sauté sur l'occasion et a investit ce département vital pour le développement du pays.
Depuis les malheurs de l'éducation ont commencé.
Ils n'ont semé que que l'ignorance . ...
Ben Ali laissait faire car cela l'arrangeait politiquement.
Résultat de cette politique , une majorité d'enseignants qui n'ont ni la vocation ni le niveau de compétences sont recrutés mais plutôt par complaisance conséquences chute du niveau des études et des centaines de milliers de diplômés chômeurs.
Normalement un enseignant est payé pour se consacrer entièrement à l'enseignement et doit être capable de transmettre un programme bien définit par le ministère durant les heures de cours officielles.
Or ces enseignants non seulement ils sont incapables de faire correctement leur travail comme ils se sont y engagés lors de leur recrutement
mais obligent les parents à leur payer des heures supplémentaires. Et ces derniers prenant peur s'exécutaient , même si le niveau de leurs enfants ne nécessite pas plus heures, .
C'est la loi de la jungle.
Voilà d'ou sort Yacoubi et compagnie. Aujourd'hui il se comporte un chef de bande, il s'attaque au ministère de l'éducation.
Quelque soit l'animosité qu'il peut avoir à l'égard du ministre, s'il avait un peu de respect pour ce pays et pour l'éducation, il n'aurait jamais attaqué tel un bandit ce ministère.
Il y a une question centrale ?
Pourquoi le niveau des diplômes et des élèves est si bas dans notre pays ?
La réponse : a cause essentiellement du niveau des enseignants.
Si nous avons des enseignants de qualité et une gestion sérieuse des établissements scolaires malgré le manque de moyens nous aurons eu aujourd'hui un bon niveau scolaire.
Dans les années 60 nous manquions de tout surtout matériellement, mais nous avions l 'essentiel c'est à dire des instituteurs et des professeurs sérieux de qualité ( à quelques exception prés ) qui faisaient leur travail avec abnégation . L'enseignant était respecté parce qu'il était respectable, pas de corruption pas de favoritisme, et qu'on faisait des heures d'études tous avaient droit car les pauvres ne payaient pas.
Aujourd'hui ce sont des bandits qui ont investit notre système éducatif .
Je connais des Tunisiens modestes qui se sont endettés auprès des banques sur plusieurs années pour pouvoir payer de meilleures études à leurs enfants. La peur honte la plupart des parents.
Et ces destructeurs sèment le désordre et la désolation dans notre système éducatif.

St Just!
| 29-01-2019 19:03
Il ne faut rien céder à ses irresponsables capables de détruire l'avenir de leurs élèves sans état d'âme!!!
Au contraire il faut taxer tous les cours particuliers qu'ils font en dehors de leurs cours .
Cette attitude égoiste doit cesser au plus vite