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Lassaâd Yaâkoubi en colère contre Hichem Ben Ahmed
05/02/2019 | 14:56
2 min
Lassaâd Yaâkoubi en colère contre Hichem Ben Ahmed

Le secrétaire général de la fédération syndicale de l’Enseignement secondaire Lassâad Yâakoubi attendait Hatem Ben Salem par devant, mais il a eu Hichem Ben Ahmed, par derrière.

Depuis, il est en colère contre le ministre du Transport, lui rappelle que le 7-Novembre est mort et multiplie les posts Facebook colériques. L’histoire est que le ministre du Transport aurait interdit, d’après M. Yaâkoubi, la mobilisation de bus pour transporter les enseignants à Tunis, demain mercredi 6 février, pendant la journée de colère.


D’après le syndicaliste, les sociétés de transport régional de Gafsa, du Kef, de Jendouba, de Monastir et de Kairouan auraient été interdites de louer leurs bus aux syndicalistes. Lassâad Yaâkoubi manifeste ainsi sa colère et prend à témoin ses adhérents en leur disant qu’ils ont droit au transport public et que l’Etat a peur de cette mobilisation et tend à lui mettre les bâtons dans les roues en commençant par le Transport.


Vérification faite par Business News, le ministère du Transport n’a rien interdit. Il profite juste des vacances scolaires pour faire les réparations nécessaires des bus et les entretiens périodiques d’usage. Au ministère du Transport, on rigole bien de cette paranoïa du syndicaliste et on rappelle que contrairement à lui, le ministère ne joue pas avec la sécurité et l’avenir des élèves. C’est quand même drôle de la part de Lassâad Yaâkoubi de vouloir mobiliser les bus du transport public pour faire grève et demande, à l’occasion, l’aide de l’Etat pour manifester contre l’Etat !

Le 7-Novembre est peut-être mort, mais l’Etat pas encore !


 R.B.H.



05/02/2019 | 14:56
2 min
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Commentaires (15)

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Amazigh Tunisien
| 06-02-2019 13:08
RBH,
Articles très bas niveau !!!!!!!!!!!!
tu touche un salaire pour des articles comme ça?

Amazigh Tunisien
| 06-02-2019 13:06
RBH encore
Les bus ont été mis à la disposition du nouveau parti TAHYA TOUNES.
Peux tu nous dire un mot !!!!!!

TMT
| 06-02-2019 12:22
Je vous conseille de bien relire l'article et vous allez sûrement vous heurter à votre inattention
Je vous fais une indication:maintenance des bus lors des vacances.

A4
| 06-02-2019 08:39
Ont d'un côté lassâad yaâkoubi et de l'autre côté le cheikh farouk zribi !!!
Le second est déjà sous les verrous ...

tina
| 05-02-2019 23:19
aucun autre commentaire sauf que si les enseignements étaient meilleurs avant on aurait jamais des réponses des lecteurs aussi dénigrantes et destructives. Ce n'est pas un problème d'enseignants mais une population enchaînée matérialiste tout simplement qui s'affole dans une goutte d'eau

tina
| 05-02-2019 23:13
Je ne comprends plus la tendance de BN qui à un certains moment était neutre au temps où je lisais ces articles. Le journaliste a insinué 'C'est quand même drôle de la part de Lassâad Yaâkoubi de vouloir mobiliser les bus du transport public pour faire grève' je vous rappelle que ce sont les vacances . C'est un article qui se heurte à lui même d'une part il parle de grève et juste avant quelques mots il parle de réparation des bus pendant les vacances. Nous avons un très bon proverbe nous sommes dans une période de Homs et Zbib . Je souhaite que BN répond et publie mon commentaire dans le cas contraire la réponse est bien visible. Merci

HSE 1994
| 05-02-2019 22:04
Je crois savoir que Yaakoubi sort de la première promotion de la prestigieuse école de Regueb

A .V .
| 05-02-2019 17:33
Y'a Yakoubi va chercher des charrettes sur des ânes pour transporter tes voyous et laisse le service de l´entretien entretenir ces bus pour que élèves trouveront un transport convenable.

MFH
| 05-02-2019 17:05
Les caisses n'ont jamais été aussi vides en Tunisie. Il n'y a aucun moyen
pour satisfaire la promesse d'augmenter les salaires des profs faite il y a un an. Au cours des crises les données changent rapidement. Il faut comprendre que l'économie obéit à des principes physiques auxquels on ne peut se soustraire. Augmenter les salaires, c'est augmenter les prix. Ce qu'on gagne d'un côté on le perd de l'autre. La seule possibilité pour contourner cette logique on doit respecter la contrainte " production". Travailler davantage pour créer de la richesse.
Mr Yacoubi, comprenez qu'il n'y a pas d'autre moyen.
Ou si, une : soit on ferme les lycées soit on ferme la G..de Mr Yacoubi.

Petit x
| 05-02-2019 17:04
Appel aux JOURNALISTES:
Vos collègue du programme "les quatre vérités" ont dénoncé avec courge et grand professionnalisme les écoles coraniques de la honte (de la secte des KHOUANJIA'S) qui au nom de l'islam ne faisaient qu'abuser des enfants, abandonnés par leurs parents, sur le plan économique, moral et sexuel avec des viols à la clé; sachant que ***
vous devez maintenant, en ce qui vous concerne, prendre l'exemple et vous mobiliser tous pour dévoiler les quatre vérités de l'école publique; squattée par YA3GOUBI (avec une UGTT complice) et ses semblables pour l'exploiter à fond pour leurs besoins personnels à coup de cours particuliers et études aux prix les plus forts contre la loi et toute règle déontologique.

Croyez nous, ce que fait YA3GOUBI et ses semblables actuellement avec les enfants de la République est pire que ce que faisaient le Cheik de l'école dite-coranique de la localité du REGUEB.

Ce YA3GOUBI et les enseignants cupides de sa trempe n'ont cessé de déplumer les parents d'élèves depuis 3 ou 4 décennies à travers les études dispensées au noir pour un niveau médiocre jamais atteint par aucune des générations antérieures et comble de tout, ils veulent maintenant faire passer les élèves par une année blanche.

De grâce sans une forte mobilisation de l'opinion publique pour faire dégager cet énergumène et ses sbires rien ne se fera avec ce Gouvernement.

Objectif majeur: remettre l'éducation nationale sur les vrais rails et arrêter, une fois pour toute, le fléau de la corruption de ce secteur à travers les études et les cours particuliers; source de discrimination entre les enfants des classes aisées et des classes déshéritées (des régions de l'intérieur et des quartiers pauvres).