
Les animaux peuvent-ils nous servir de signal d'alarme pour prévenir les catastrophes naturelles telles que les tempêtes, les tremblements de terre et les tsunamis ? C'est la question que se posent de nombreuses personnes, et les réponses peuvent être surprenantes.
En Martinique, en 1902, lors de l'éruption du volcan Pelée, tous les animaux ont fui les abords du volcan quelques jours avant l'éruption. Les scientifiques pensent que les animaux ont pu ressentir les changements dans leur écosystème, tels que la sismicité et la remontée du magma, avant que l'homme ne soit en mesure de les détecter.
En France, en 1959, les chats ont quitté la ville de Fréjus avant le cédage du barrage de Malpasset. Leur capacité auditive supérieure à celle de l'homme leur a peut-être permis de percevoir des bruits précurseurs de la catastrophe.
Au Sri Lanka, en 2004, le tsunami qui a ravagé l'île a épargné les éléphants du parc national de Yala. Les éléphants ont été en mesure de détecter les infrasons émis par le déplacement des plaques continentales, grâce à leur capacité à intercepter les signaux via leurs pattes.
Il y a également des exemples dans d'autres parties du monde, où des poules et des vaches ont tenté de s'enfuir en Roumanie avant un tremblement de terre, des chiens ont aboyé à la mort une heure avant la bombe atomique à Hiroshima, et des saumons et des baleines ont fugué juste avant des tsunamis.
Bien que les données fournies par les outils de l'homme soient cruciales pour évaluer les risques et les conséquences des catastrophes naturelles, les comportements étranges des animaux peuvent également offrir des indices sur les dangers à venir. Il est donc important de prendre en compte ces observations lors de l'évaluation des risques pour une communauté.
Depuis des siècles, les hommes ont remarqué que les animaux agissent étrangement avant une catastrophe naturelle. Que ce soit des chats qui quittent soudainement leur domicile, des éléphants qui se mettent en marche, ou des bancs de poissons qui s'enfuient à toute allure, il semble que les animaux aient une capacité à détecter les dangers avant les humains.
En effet, les animaux peuvent être un signal d'alarme avant une tempête, un tremblement de terre ou un tsunami. Ils ont une capacité sensorielle supérieure à la nôtre, ce qui leur permet de détecter les changements dans leur environnement bien avant que nous ne les remarquions. Par exemple, les chats peuvent entendre des fréquences supérieures à celles que l'homme peut percevoir, et les éléphants peuvent détecter les infrasons émis par le déplacement des plaques continentales.
Bien que ces observations soient intéressantes, elles sont souvent ignorées par les scientifiques et les gouvernements. Aujourd'hui, nous nous basons sur les données fournies par les outils humains pour prévoir les catastrophes naturelles, telles que les cartographies du risque sismique et les scénarios d'évaluation des risques. Cependant, il est peut-être temps d'inclure la prémonition des animaux dans notre planification de la prévention des catastrophes.
En conclusion, les animaux peuvent être un signal précieux d'une catastrophe naturelle à venir. Nous devrions prendre en compte leur capacité sensorielle supérieure et inclure leurs comportements dans notre planification de la prévention des catastrophes. Cela pourrait nous aider à mieux prévoir et à réagir plus rapidement aux dangers naturels
Les recherches scientifiques montrent que les humains sont souvent responsables des catastrophes naturelles en raison de leurs activités telles que la déforestation, la construction de routes et de bâtiments dans des zones à risque, la surexploitation des ressources naturelles, etc. Cependant, les humains peuvent également être les victimes de ces catastrophes. Les études ont montré que les groupes sociaux les plus vulnérables, tels que les personnes âgées, les enfants et les personnes à faible revenu, sont souvent les plus touchés par les catastrophes naturelles.
Les recherches ont également montré que les réponses des gouvernements et des organisations internationales aux catastrophes naturelles peuvent être inégales, avec des réponses plus fortes pour les pays développés et moins pour les pays en développement. Les études montrent également que les personnes les plus touchées par les catastrophes naturelles ont souvent du mal à se remettre en raison de l'absence de soutien adéquat.
En conclusion, les recherches scientifiques montrent que la relation entre les humains et les catastrophes naturelles est complexe et nécessite une approche globale pour gérer les conséquences négatives et soutenir les populations touchées
Les animaux les plus sensibles aux signes précurseurs d'une catastrophe naturelle sont généralement les animaux sauvages tels que les oiseaux, les animaux marins, les reptiles et certains mammifères. Ils peuvent détecter des changements dans le comportement des autres animaux, les variations de température, les pressions barométriques et les variations de la gravité qui peuvent indiquer un danger imminent. Les chats et les chiens domestiques peuvent également être sensibles aux signes précurseurs d'une catastrophe naturelle en raison de leur capacité à détecter les vibrations et les odeurs anormales.

Les oiseaux par ex. ressentent un tremblement de terre naturel longtemps à l'avance,
ils ne sauront le sentir que qqs minutes avant si c'est artificiel.
Diana Lovanovici, députée au parlement roumain dénonce le tremblement de terre
en Turquie et en Syrie en tant qu'attaque due HAARP :
https://www.bitchute.com/video/37qCP3r6rR75/