Le nom de Mondher Zenaïdi ne cesse d'être évoqué depuis des semaines. Certains ont même affirmé que l’ancien ministre et politicien comptait se présenter à la prochaine présidentielle. Il s’est lui-même exprimé sur le sujet. Néanmoins, la veille, mardi 5 mars 2024, son nom a été évoqué en lien avec une affaire de corruption financière. Mondher Zenaïdi aurait même fait l’objet d’un mandat d’amener international, selon les affirmations de personnes proches du cercle présidentiel.
Mondher Zenaïdi a choisi de répondre à ces polémiques et de tirer les choses au clair, via ses avocats. Dans un message adressé le 6 mars 2024 à Business news, il est mentionné :
« Comme prévu, la machine de diffamation et de calomnie s’est mise en marche et je tiens, dans ce contexte, à fournir quelques explications au sujet du dossier judiciaire lié à la vente d’Ennakl Automobiles, faisant l’objet d’une enquête et visant l’ancien Premier ministre, Monsieur Mohamed Ghannouchi, ainsi que certains ministres, y compris Monsieur Mondher Zenaïdi et quelques anciens responsables.
Pour ce qui est d’être présent, Monsieur Mondher Zenaïdi n'a jamais fui en raison de son respect envers l’autorité judiciaire et de son désir de fournir les éléments éclairant la justice au sujet de cette affaire, en plus de sa conviction en sa propre innocence. La vente est en conformité avec les dispositions de la loi en vigueur dans le domaine de la privatisation. Cet espace ne permet pas d’aborder les détails liés à cette affaire et nous nous contentons, donc, de revenir rapidement sur deux éléments.
- En premier lieu et au sujet de la question de privatisation, cette opération, telle que pour les autres actes similaires, lors des faits, relevait du domaine du secrétariat d’État à la privatisation, affilié au Premier ministre. Il (le secrétariat d’État) est chargé de mener toutes les opérations de privatisation concernant Ennakl ou toutes autres entreprises.
- En second lieu et depuis l’entame du processus de privatisation jusqu'à son achèvement et la réalisation de la cession, Monsieur Mondher Zenaïdi était ministre du Commerce. Or, l'autorité chargée de la gestion d’Ennakl, presque entièrement détenue par la société El Bouniane, ne relevait pas du ministère du Commerce, ceci conformément aux listes établies exclusivement par l'arrêté 910 de 2005 du 24 mars 2005, concernant la désignation de l'autorité de supervision des établissements publics et des établissements publics à caractère non-administratif. D’après ces listes, Ennakl n'a jamais été sous le contrôle du ministère du Commerce. Il n’y a pas de lien au sujet de sa gestion ni de près ni de loin et n'était pas responsable de son évaluation ou de sa cession.
La moindre des choses et selon ces raisons, l’innocence de Monsieur Mondher Zenaidi est présumée et il n’y a pas lieu d’enquêter. Elle est déclarative et non constitutive.
Ceci a été établi par les faits et la loi et en ce qui porte sur le fond de l’accusation, mais, afin d’informer, d’enrichir la discussion purement juridique, de mettre fin à toute escalade ou ciblage pour n’importe quelle raison et en ayant une totale confiance en la présomption d'innocence, en l'indépendance de la justice et afin d’éviter son instrumentalisation. Les dispositions de la loi relative à la réconciliation dans le domaine administratif, stipulent, dans leur deuxième chapitre, clairement que : "... Les fonctionnaires publics et assimilés tels que définis aux articles 82 et 96 du Code pénal ne sont pas responsables pénalement… En conséquence, toute poursuite ou tout procès concernant de tels actes doivent cesser.
Ainsi, les poursuites, depuis l'entrée en vigueur de la loi relative à la réconciliation dans le domaine administratif, sont considérées comme prescrites en vertu de la loi de réconciliation administrative par son fond et au sujet de tout fonctionnaire et assimilé faisant l’objet d’une enquête dont fait partie Monsieur Mondher Zenaidi, ceci malgré son innocence.
La loi portant sur la réconciliation administrative est une loi organique contraignante, et son application touche à l'ordre public et elle devrait être appliquée par tous les tribunaux, qu'ils soient chargés des instructions ou du fond.
Je tiens à présenter ces remarques afin d’éclairer l'opinion publique et en raison de tout ce qui pourrait résulter de cette instruction. J'ai confiance en l'attachement de la justice tunisienne à son indépendance et que Dieu me garantira la réussite ».
S.G
Cette histoire nous rappelle admirablement l'interdiction faite par l'ex président du Sénégal, Macky Sall, de valider la candidature à la présidentielle de Sonko, pour avoir été " condamné" de viol sur la personne d'une secrétaire... Aujourd'hui Sonko est premier ministre du Sénégal et le président élu est du même bord politique que lui...Macky Sall a avalé sans broncher cette grosse couleuvre, à l'instar de son cher prédécesseur, un certain Abdoulaye Wade, soutenu pourtant par Macky Sall lors des présidentielles de 2000...Ce même Sall, sous la présidence Wade, fut 1er ministre de 2004 à 2007 puis président de l'Assemblée nationale de 2007 à 2008.
Dans le cas où Zenaïdi est élu président en octobre 2024, tout en étant en France ( la constitution de 2022 le permettrait-elle )KS invaliderait-il cette élection et sous au vu de quel article constitutionnel?. Enfin, de crainte de se trouver à l'ombre, s'il rentre et demeure en France, idem; la constitution de 2022, ou même celle de 2014( on ne sait plus sur laquelle KS s'appuie depuis le 25/07/2021, pour continuer à " gouverner"...) ? On voit bien que Znaïdi, comme son alter égo Abir Moussi, ( tous les 2 du PSD) sont bel et bien coincés, ni l'un ni l'autre n'accèdera à la présidence de la république en octobre 2024...
IL Y avait une chanson populaire : ELLOMMOU ELLOMMOU ELLOMMOU. NHEBBOU W NAKRAH OMMOU. (JE L'AIME ET JE DETESTE SA MERE (ou son père).
Donc vous pensez que les TUNISIENS éliseraient un ministre alors qu'ils ont dégagé son maitre et son président!!!.Pensiez vous que les TUNISIENS éliseraient un membre du bureau politique du RCD alors qu'ils ont DEGAGE le président du RCD!!!!.
Allez INTAHA ADDARS YA DHAKI. Et fermons cette parenthese. Et je pense que lui meme souhaite qu'on en parle plus et il le demande avec son DOIGT sur la photo de l'article du GRAND R.B.H.
L'EMISSION DE MIDI D'AUJORD'HUI:(on confond la société ENNAKL avec le minstère de TRANSPORT!!!!).
Mais le plus grave c'est que l'animatrice et les chroniqueurs débattent d'un 'sondage' qu'ils reconnaissent ANONYME.A t on atteint un niveau pour discuter les 'resultats' d'un 'sondage' NAKIRA ,qu'on ne cannait pas 'celui ou celle qui l'a fait'. Normalement lorsqu'on intercepte une marchandise ou une somme d'argent DONT LA SOURCE EST INCONNUE, on la CONFISQUE et on ouvre UNE INSTRUCTION. Et le plus étrange que dans ce sondage on trouve MOHAMMED BOUGALLEB !!!avec 1.2 % et devant F.A.K .Et on affiche ces 'resultats' comme s'il s'agit d'un sondage de SIGMA ou de EMROD!!!!. IL NE MANQUE QUE ZIED EL HENI dans ce sondage!!!. WINOU AKLEK.
IMMEDIATEMENT UNE ENQUETE SUR CETTE (E)MISSION et ce 'sondage'.
LE DEUXIEME EXEMPLE : CETTE (E) MISSION IMPOSSIBLE DE LA LAISSER CONTINUER.
L'homme d'affaires, le média et le journaliste (Ce n'est pas une version du film LE BON, LA BRUTE et le TRUAND).
YA SOFIENE faites un effort. Je pense que l'affaire concerne la SOCIETE ENNAKL(DAR VOLKSWAGEN) de la CHARGUIA et non le ministère des TRANPORTS.
Voici un échantillon de nos CHRONIQUEURES et animateurs, qui nous cassent nos tetes surtout ceux de IFM. SAHHA LIHOM ils ont trouvé ceux qui les écoutent.
Lartivle 82 du code pénal définit ce qu'est un fonctionnaire public qui est pénalement responsable en vertu de l'article 96.
Et je présume que Lr. MONDHER ZENAIDI a dit étant membre du gouvernement, il n'est pas un fonctionnaire public donc il n'est pas responsable pénalement.
Merci de la réponse!
Alors pas d'excitations exagerés et pas de masturbations et autoglorification aux medias chers RCDistes. Sachafouna n'a pas encore commencé à vous raser, n'est-ce pas ?
SALIM A ECRIT sur l'article de B.N :Raja Ben Slama : allons-nous appeler à la séparation entre la justice et l'élection présidentielle ? B.N 06/03/2024 | 09:51
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Mais il y a DU NOUVEAU pour M.Z .Il a été PLEBICITE, comme son maitre BEN ALI ,à entrer en TUNISIE pour déposer sa candidature. Rentrait il seul ou avec sa MAJMOUA . Aurons nous UNE SUPERBE FOULE pour l'accueillir. Verrons nous la DAME AVEC LA MAIN EXTRA-LONGUE. Et si MARADONA a parlé de la LA MAIN DE DIEU.Nous ,nous aurons LA MAIN DE LA DEESSE ALYSSA.
Désormais tout les moyens vont être employés à la méthode Poutinienne pour écarter les candidats(es) à la course du palais de Carthage....
K.S. ne veut pas perdre, il a pris goût au pouvoir... ça lui est monté à la tête...
Il ira avec ses proches jusqu'à la délation (et fausses accusations) de ses principaux opposants pour se faire réélire...
Attendons nous à pire dans les mois à venir !...
Car la plupart des tunisiens (intelligents) ne veulent plus entendre parler de lui...
Et bon courage à MZ pour faire face à notre Robocop ....
Dans le code pénal actuel, les c contrevenants à ces deux articles, 82 et 96, sont passibles de peines de prison allant de 10 ans à 15 ans...
Votre brebis galeuse nommée Mondher Zenaïdi, s'il envisage de rentrer en Tunisie, ce sera à ses riques et périls... Vous pourriez peut être lui suggérer de partir et s'installer en Turquie, comme l'a fait avant lui un certain Nabil Karoui...via notre voisine ambiguë, l'Algérie...La Turquie d'Erdogan n'est-elle pas réputée pour recueillir toute la racaille arabo-musulmane du monde, tout comme le Royaume-Uni ? Vous avez compris, ou bien faudrait vous faire un dessin ?
ou bien c'est de l'humour au second degré ! ?