« Peu importe l’acharnement des ennemis et l’intensification des campagnes de diffamation et de diabolisation, l'Union générale tunisienne du travail (UGTT) ne cédera pas, car sa force réside dans la force des travailleurs, dans l’unité de ses structures et dans leur militantisme. Les tempêtes nourrissent en nous l’esprit de résistance », a affirmé, mercredi 1er mai 2024, le secrétaire général de l'Union générale tunisienne du travail (UGTT), Noureddine Taboubi, dans son discours pour célébrer la fête du travail.
Et d’ajouter : « Nous avons essayé, tout au long de la période passée, d'éviter les tensions, non pas par peur comme le disent certains, mais pour éviter à notre pays des troubles, dans une période difficile et délicate. (…) L’Union représente une force que nul ne peut ignorer, qui prend elle-même ses droits en cas de non-réponse à ses revendications légitimes ». Pour lui, les décisions impopulaires ont exacerbé les problèmes sociaux.
M. Taboubi a aussi martelé : « À tous ceux qui se moquent de la reprise du dialogue social, nous tenons à préserver notre plus important acquis social, fruit du militantisme de plusieurs générations, qui a été énoncé dans les lois et les législations. Nous n’accepterons pas qu’il soit effacé suite à un caprice ou juste par un simple trait de crayon. Nous n’épargnerons aucun effort, ou force, pour rendre les choses à leur état d’origine et imposer le droit de négociation, le droit de présenter les revendications sociales et d’améliorer la situation des travailleurs. Les travailleurs et retraités ont des droits et des revendications qui doivent être respectés et nous n’accepterons pas comme eux n'accepteront pas que leurs droits soient bafoués ».
Et de poursuivre que la centrale syndicale ne restera pas silencieuse face à ce qu’il a considéré comme « l’affamement du peuple », en faisant porter la responsabilité de cet état de fait à l’autorité en place, qui continue de prendre seule les décisions et n’écoute aucune proposition selon lui.
Le secrétaire général de l'UGTT a profité de cette célébration pour indiquer que la centrale fête, aujourd’hui, le centième anniversaire du premier syndicat tunisien. Il a souligné que l’actuel siège, reçu pour la première fois le 12 juin 1955, a été « construit grâce au labeur et à l’argent des travailleurs » défiant quiconque dira le contraire.
I.N.
-L'UGTT n'a-t-elle pas organisé des milliers de grèves, de blocages d'usines, d'autoroutes et de voies ferrées, imposant des hausses de salaires, afin de faire échouer la réussite de la Révolution tunisienne?
-L'actuel secrétaire général de L'UGTT Noureddine Taboubi, n'a-t-il pas encouragé le président Kaïs Saïed à commettre son coup d'Etat du 25 juillet 2021, ayant trahi toute la transition démocratique de la Tunisie?
Tout le monde connaît le reste, de tous ceux qui ont compté utiliser le putsch du président Kaïs Saïed, pour s'en emparer par la suite de tout le pouvoir. La majorité sont emprisonnés. Seuls Noureddine Taboubi et Neji Jalloul, manquent encore à l'appel.
Allah yomhil wè lè yohmil.
La Tunisie s'est laissée trop longtemps traîner par cette association mafieuse et c´est dépuis le temps de Bourguiba.
L´UGTT représente un vrai DANGER imminent pour l´économie, la sécurité et la paix sociale du pays.
Combien de temps encore devrons-nous tolérer et accepter ces parasites, c'est pourquoi M. le Président Kaiis Saied, s'il vous plaît, interdisez immédiatement ce bordel (avec un DECRET du siècle!).
Notre pauvre pays ne peut plus se permettre le luxe de tolerer ces monstres BenouHilèliens !
S'il vous plaît, une Interdiction immediate, serait un salut pour notre pays !
Il est temps ou jamais de le faire, car je ne crois pas que le Parlement en soit capable un jour !
Allah Yar7èm Waldik! Vous n´avez absolument rien à perdre mais tout à gagner !