Son nom bruisse depuis quelques semaines dans les salons politiques. Et si c’était lui l’homme providentiel ? Par le trou de la lorgnette, on le voit (ou on croit le voir) venir de loin sauver la Tunisie des griffes d’un président atypique qui a tué la démocratie naissante et n’a rien fait de bon pour la Tunisie. Mondher Zenaïdi, grand ancien ministre sous Ben Ali, candidat malheureux à la présidentielle de 2014, se prépare vraisemblablement à remettre les couverts pour 2024.
Après des années de total silence, Mondher Zenaidi a publié jeudi 29 février 2024 un communiqué des plus subtils alimentant, du coup, toutes les rumeurs qui circulent ces dernières semaines autour de son nom. Court et incisif, le communiqué sonne comme une toute petite lueur d’espoir au bout de ce long tunnel noir dans lequel Kaïs Saïed a mis la Tunisie et les Tunisiens.
« Notre pays vit aujourd’hui une situation de confusion et de blocage sans précédent. Face à cette situation alarmante, le devoir national nous impose à tous, et avant toute chose, de faire montre de responsabilité et d’éviter d’alimenter les divisions et nuire à la patrie ». L’intention est dévoilée et il lui donne même un nom : « rendre l’espoir possible ». Sept mois avant la présidentielle de 2024, Mondher Zenaidi se positionne en tant que possible candidat à l’échéance pour remplacer Kaïs Saïed. Un président qui a éliminé, par l’intimidation judiciaire et policière, tous ses hypothétiques rivaux.
Le timing de la publication du communiqué n’est pas anodin. Il n’y a pas de coïncidences en politique. Il survient au lendemain du communiqué de la présidence de la République, publié mercredi à 23h13, dans lequel Kaïs Saïed fustige cette opposition qui s’est jetée entre les mains des « sionistes et des ambassades étrangères ». Certainement au courant des rumeurs et abreuvé par les rapports des renseignements, le chef de l’État semble viser M. Zenaidi entre les lignes.
Aux accusations conspirationnistes du président de la République, Mondher Zenaidi répond encore par la subtilité et, lui aussi, entre les lignes. « Nous sommes convaincus que les tentatives d’intimidation, les accusations de traîtrise et le bâillonnement des voix, n’entameront pas notre détermination à répondre à l’appel du devoir national. Nous sommes conscients que l’époque des conflits idéologiques étroits, des anciennes formes d’organisation, du leader sauveur et des paris sur les soutiens extérieurs, est révolue. » À travers cette réponse du berger à la bergère, la messe est dite.
D’un côté, on a un président en exercice qui ne cesse de semer la discorde et la division, d’un autre, on a un homme politique qui invite à l’union et à éviter d’alimenter la division.
Et si c’était Mondher Zenaidi l’homme que les Tunisiens attendent pour en finir avec cette période de terreur politique, d’intimidations judiciaires, de crise économique et de déchéance de la Tunisie ? Sous Kaïs Saïed, la Tunisie a perdu sa démocratie. Ses notes souveraines ont été en constante régression. L’inflation n’a cessé de grimper et la croissance de chuter. On ne compte plus les pénuries. Pour expliquer la situation, le chef de l’État n’a cessé d’accuser les complotistes, les traîtres, les sionistes, les corrompus, les lobbies et même le nouvel ordre mondial.
Il fallait un homme (ou une femme) pour contrer ce bulldozer et redonner espoir aux Tunisiens. Sauf que Kaïs Saïed, qui s’est arrogé les pleins pouvoirs par un putsch en juillet 2021, n’a pas laissé de place à ses hypothétiques rivaux. Il a jeté les uns en prison et il a monté des accusations de toutes pièces pour intimider judiciairement les autres. Résignés ou las, les hypothétiques candidats ont reculé laissant Saïed jouer tout seul sur la place. À sept mois de l’échéance électorale, aucun vrai candidat n’a montré le nez et annoncé sa volonté d’affronter le chef de l’État, hormis Abir Moussi depuis sa cellule. À quoi sert-il, d’ailleurs, de se porter candidat quand on a des doutes sur l’indépendance de la commission électorale (Isie) dont les membres ont tous été nommés par le président de la République et qui multiplie les procès au pénal contre les politiques et les médias (dont Business News) qui osent critiquer ses prestations et remettre en doute ses chiffres et sa neutralité ?
Du coup, dans ce grand vide sidéral et ce climat d’incertitude totale, le communiqué de Mondher Zenaïdi devient une lueur d’espoir pour tous les Tunisiens pressés d’en finir avec le marasme dans lequel baigne le pays.
Plusieurs fois ministre sous Ben Ali, Mondher Zenaidi fait partie des rares ministres qui ont laissé derrière eux un agréable souvenir d’un homme d’État patriote et professionnel. Que ce soit à la tête du Commerce, du Tourisme ou de la Santé, le Kasserino-tunisois septuagénaire (il est né en 1950) a toujours eu bonne presse, tant il a été efficace et humble.
Il a passé à Paris sa traversée du désert, que lui a imposée la révolution de 2011 et si commune aux plus grands hommes politiques. Un Paris qu’il connait très bien puisqu’il y a décroché son diplôme d’ingénieur centralien en 1973 et d’énarque en 1976. Grâce à son large carnet d’adresses international, il a pu travailler dans le Conseil, puis pour une institution onusienne. Sa nouvelle vie de parisien ne lui a cependant pas fait rompre les liens avec Tunis, comme c’était le cas de l’écrasante majorité des ministres de Ben Ali. Il a entretenu religieusement ses vieux contacts, tous secteurs confondus et s’est toujours montré disponible pour ceux qui sont de passage par la ville des lumières. Il n’entend cependant pas rester longtemps en France, et il ne l’a jamais caché, un jour ou l’autre, il va revenir à Tunis refaire de la politique et écarter du pouvoir la pernicieuse troïka.
Un non-lieu est prononcé en mai 2014 dans une affaire de scandale immobilier lui ouvrant ainsi la voie pour une candidature à la présidentielle de 2014, en réponse à de nombreuses sollicitations et à l’appel du devoir. Mal lui en a pris, le RCDiste n’a pas du tout fait le poids face à un écrasant Béji Caïd Essebsi soutenu par les progressistes et les laïcs et Moncef Marzouki soutenu par les islamistes et les CPRistes haineux. À la présidentielle de 2014, il n’obtient que 24160 voix, soit 0,74% des suffrages, et se classe à la neuvième position sur 27 candidats en lice. Son hypothétique popularité n’était qu’un mirage et ceci l’a poussé à une seconde traversée du désert.
Comme lors de la première, il n’a pas perdu contact avec Tunis et a entretenu scrupuleusement son carnet d’adresses composé des plus grandes figures politiques, économiques et médiatiques du pays.
Il attend son heure venir et y travaille sérieusement dans les coulisses. Son activisme est resté discret, à l’abri des regards et des antennes du régime de Kaïs Saïed, jusqu’il y a quelques semaines. Surpris, ce dernier réagit mal et le fait savoir à travers le communiqué présidentiel du 28 février. Il tance, il accuse, il vocifère et il ne peut rien contre un homme d’État qui, bon gré mal gré, bénéficie d’une excellente aura et d’une bonne presse
Bien que féru des histoires conspirationnistes, Kaïs Saïed n’est pas bête et il n’est pas du tout le genre à prendre des risques. Il fera tout pour couper l’herbe sous les pieds de cet homme oublié revenu de l’au-delà. Il sait que si Mondher Zenaïdi se présente à la présidentielle, il lui volera la vedette.
Démonstration par l’arithmétique. Dans tous les scrutins qu’il a organisés depuis le 25-Juillet, Kaïs Saïed n’a pu récolter que 11% de participation. L’écrasante majorité de la population a préféré le boycott démentant superbement sa soi-disant popularité. Concrètement, il ne pourra pas obtenir au-delà d’un million de votants. Cela lui sera suffisant pour remporter l’élection si le candidat face à lui n’est pas de haut calibre ou plus médiocre que lui.
En revanche, le pronostic change s’il y a face à lui un homme d’État de la trempe de Mondher Zenaidi.
Ce dernier peut compter sur l’appui des RCDistes dont la candidate naturelle Abir Moussi est exclue de la course, puisqu’elle est en prison à cause des trois procès montés de toutes pièces par le régime. Il peut également compter sur l’appui des islamistes dont les dirigeants sont majoritairement en prison, pour des raisons justifiées quelquefois et fallacieuses souvent. Mondher Zenaidi peut compter sur ces familles politiques, mais également sur celles des progressistes et des laïcs (sans candidat). Quant à l’extrême gauche, les nationalistes arabes et les candidats farfelus (bien nombreux), ils ne peuvent pas espérer obtenir, réunis, plus de 5%.
L’arithmétique est favorable à Mondher Zenaidi. Mais ce n’est pas son seul atout. Sa plus grande force et son plus grand avantage sur Kaïs Saïed, est qu’il est fédérateur et a un discours rassurant et optimiste. Contrairement au président de la République, il sait ce qu’est vraiment l’État et la politique. Il a fait le tour du monde, a une idée exacte de ce qui se passe ailleurs et possède donc la recette gagnante pour sauver le pays. Plusieurs atouts sont entre ses mains, notamment ce large carnet d’adresses national et international sur lequel il peut miser pour redresser la barre, mais aussi sa verve, son aura, sa capacité à convaincre, sa mine rassurante et son coté rassembleur.
En cette période d’incertitude et de crise aigüe, les Tunisiens sont prêts à s’accrocher au moindre espoir qui les fait sortir du marasme dont lequel ils se débattent depuis des années et qui s’est accentué après le putsch.
Sur papier, Mondher Zenaidi parait en position favorable. Sauf qu’on ne gagne pas une élection sur le papier, il faut du terrain, beaucoup de terrain, et, d’abord et avant tout, que le régime accepte d’organiser des élections transparentes, indépendantes et réellement démocratiques. Quand bien même, l’instance électorale accepterait de jouer le jeu et d’assurer son rôle premier en toute neutralité, il faudrait que Kaïs Saïed accepte la défaite. Or, par le passé, il a bien dit qu’il ne laissera jamais le pays entre les mains des traîtres. Dans sa tête, Mondher Zenaïdi en serait un si l’on se tient à son communiqué honteux du 28 février.
Le parcours qui attend Mondher Zenaidi pour les sept prochains mois est semé d’embuches. Face à lui, il a un candidat-président prêt à tous les coups bas pour lui barrer la route.
L’homme providentiel est comme David contre Goliath, il a besoin d’un miracle pour vaincre. Un miracle qui peut se présenter sous un grand soutien populaire massif avide de changement.
Raouf Ben Hédi
et nous serons étonnés de voir combien d'impôts ont été éludés et combien ont été payés honnêtement à l'Etat !
Lorsque 2 loups et un agneau votent ce que on va manger se soir
'?tre écouter donc peuvent convaincre
Peuvent convaincre donc force d'influence
Force d'influence donc renumeration pour travail accompli
L'actuelle locataire de Carthage n'écoute personne
Et la ces son point fort et les tunisiens aiment ça
Franchement ,c'est une photo TRUQUEE ET MONTEE par un menteur amateur très naif.
Reste ce monsieur dont le CV fera rougir de honte tous ceux qui sont en place, sa chance de réussite sera liée à Abir ,ils sont idéologiquement compatibles ,une union électorale des Destouriens, avec une bonne campagne dans les régions ,sa chance de gagner sera réelle.
Et pourquoi le toit de la voiture occupe la moitié de la photo.Et pourquoi on ne montre pas le BUS de façon très claire.Et est ce lui ou son SOSIE. S'agit il d'un trucage non innocent pour montrer qu'il jouit d'une popularité inouie, sachant qu'il n'a recolté dans les présidentielles de 2014 que 24 160 voix, soit 0,74 % des suffrages. Et c'est quoi ces mains tendues , touchant le toit ou ses cheveux (Lbarket sidhom ECHIKH!!!!).IL ne manque que chanter TALAA AL BADROU ALAINA comme pour GHANNOUCHI à son retour de LONDRES. Je ne comprends pas pas ces gens qui pretendent dégager BEN ALI, mais aiment HYSTERIQUEMENT SON MINISTRE ?.
Aurions nous notre ZNEIDIMANIA!!!!
B.N VERIFIER CETTE PHOTO et la source qui l'a publiée.
Tellement ils sont agonisant ces merdias de pacotille...
Et notre ISIE - Sachafounienne avec le grand Ministre de l´Interieur seront encore là!
BN : vous osez parler de l'enterrement d'une démocratie naissante, vous avez oublié dans quel état était le pays avant l'avènement du 25 Juillet. Une démocratie naissante avec les KHOUINJIAS les tours de passe passe entre les amateurs de la politique soutenu par des fonds étrangers, une démocratie naissante qui élimine physiquement ses adversaires et continue à saboter le pays . HONTEUX
Alors pas d'excitations exagerés et pas de masturbations et autoglorification aux medias chers RCDistes. Sachafouna n'a pas encore commencé à vous raser, n'est-ce pas ?
Abir Moussi, c'est elle qui est légitime, c'est elle qui sauvera la Tunisie, point barre.
Quand le Diktatour relâchera Mme Abir Moussi, en bonne santé j'espère, il ne devra pas annoncer sa candidature, car c'est elle qui est en pôle position pour être Présidente de la Tunisie (une femme présidente, mon rêve).
Attention si Zneidi ; n'annonce ta candidature que SI le Diktatour trouve d'autres fausses accusations à notre Abir Moussi. et qu'il ne la laisse pas concourir.
Je répète : SI Abir Moussi a la route barrée par le Diktatour, après avoir fait TOUS les recours, je pense que tu pourras annoncer ta candidature ; le plus important AUCUN cadeau au Diktatour, AUCUNE division, il y va de l'avenir de ce pays.
Tu n'as toujours pas compris que le rcd et ses acolytes ainsi que la secte maléfique sont déjà morts depuis bien longtemps.....je rajouterai dans le même cercueil les hommes politiques verreux et traîtres de 2011.....
Kaiess said va l'emporter haut la main dès le premier tour......
Inchallah Zenaidi se porte candidat et nous sauve. Je préfère un rcdiste aux cklaka.
Et rebelote ... et cela n'est pas surprenant et ne peut être négligé !
Malla Ratza, Malla Ratza!
'Mondher Zenaidi intègre Nidaa Tounes ? 'B.N 22/02/2019 | 19:01
On croit savoir qu'une réunion a eu lieu aujourd'hui, vendredi 22 février 2019, au sein de Nidaa Tounes, suite à la démission du secrétaire général du parti Slim Riahi.
A l'issue de cette réunion, un accord a été trouvé pour que Hafedh Caïd Essebsi, actuel président du comité politique, soit désormais le numéro 1 du parti et Mondher Zenaïdi, ancien ministre de la Santé, du Commerce et du Tourisme sous Ben Ali, soit le numéro deux.
Toutefois, cet accord n'a pas tenu plus de 24 heures et des voix au sein de Nidaa Tounes s'y sont opposé. Ceci a poussé Mondher Zenaïdi à revoir sa position et à privilégier sa propre initiative politique. En effet, l'ancien ministre a rappelé, le 23 février 2019, qu'il menait des consultations depuis des mois avec plusieurs personnalités et sensibilités politiques. « Ces consultations se poursuivent et sont ouvertes sur plusieurs possibilités mais n'ont encore donné aucun accord », a-t-il écrit. Donc, M. Zenaïdi ne ferme pas encore complétement la porte à un éventuel rapprochement avec Nidaa Tounes ou d'autres formations politiques.
R.B.H
Mondher Zenaïdi, le joker caché dans la manche de Béji Caïd Essebsi B.N 25/02/2019 | 15:59
'Vous savez quoi ? L'arrivée de Mondher Zenaïdi va servir à diviser encore davantage le camp moderniste quoi qu'on en dise. Elle ne pourra servir qu'aux islamistes. Béji Caïd Essebsi sait très bien que son fils est incapable de réunir tout seul 5% de l'électorat moderniste. En sortant de sa manche le joker Mondher Zenaïdi, il y crée un véritable séisme et rafle large aussi bien dans le camp de Youssef que celui de Abir Moussi et Kamel Morjane. Quel que soit le résultat, ce sont les islamistes qui vont tirer avantage de cette zizanie incessante et croissante depuis quatre ans. La solution ? Unissez-vous, votre adversaire est identifié, il est dangereux et il ne vous fera pas de cadeaux cette fois quand il reviendra au pouvoir !'
Par Nizar Bahloul
MEDITEZ MESDAMES ET MESSIEURS.MEDITEZ!!!
Entre autres , la question de l' islam politique n' est pas réglé
Il n y a pas encore de condamnation pour les méfaits commis
Les islamistes radicaux affiliés El Karadhaoui ont toujours leur antenne au pays
Les parti parti Tahrir takfiriste toujours non dissous
Nous voulons un gvt fort qui régle ces problèmes et que i seul l' attachement à la Nation le patriotisme le dévouement au pays est la regle
L ' islam politique doit être rejeté, et explicitement mentionné
Jusqu! ' à présent seul le PDL tient ce discours
C est le seule façon de nous extirper de ces différentes idéologies arrieristes médiévales qui font retarder le pays
Pourquoi nous compliquer la vie, nous pouvons choisir un proche de la famille Ben Ali ou Bournquiba le monotesticulaire, qui sont les mieux placés pour continuer la dictature de la race pure et la mener à maturité, n'est-ce pas ?
Parce qu'avec Sachoufouna nous avons un amateur de la politique, mais avec un RCDiste nous avons affaire à un professionnel de la fraude très bien rodé...
Mondher Zenaïdi, Laou Kèn Salah Rahou min Elbèri7 !
Chid Hèmmik, Khir Mè Ijiek Mè Echwim Minnou.
En effet, la majorité (et non pas tous) des Ministres du temps de la dictature de Ben Ali n'étaient pas probablement corrects, pour ne pas dire autre chose.
je souhaite bon vent et bonne chance à Mr. Zenaidi à la prochaine élection présidentielle, mais d'abord il faudrait vérifier s'il n'a pas du linges sales du temps de la dictature.
Si Mr. Zenaidi n'avait pas de sales affaires derrière lui du temps de la dictature, je voterais pour. Mais il faudrait le vérifier d'abord...
Votre raisonnement d'offrir l'avenir de la Tunisie à n'importe qui pourvu que vous vous débarrassiez de KS, n'est pas un raisonnement intelligent.
Puis, je ne crois pas que les Tunisiens sont pour la restauration de la "Monarchie" du dictateur Ben Ali, et ceci comme vous le dites " appuyé par [. . .] les pays européens qui désirent déboulonner Saied"
@Go4Tunisie, ce que vous dites/proposez,
"surtout que Zenaidi est appuyé par la majorité des pays européens qui désirent déboulonner Saied cette année."
est même très grave, en effet vous êtes parmi certains Tunisiens qui se prostitueraient pour les pays étrangers afin de conquérir le pouvoir. Mais enfin réfléchissez un peu, vous risquez la prison...
Encore une fois, je souhaite bon vent et bonne chance à Mr. Zenaidi à la prochaine élection présidentielle, mais il faudrait d'abord vérifier s'il n'a pas du linges sales du temps de la dictature.
@Go4Tunisia, je vous conseille de maîtriser vos émotions et de faire fonctionner plutôt vos neurones. Il faudrait aussi enfin comprendre que les pays européens sont surendettés et qu'ils étouffent déjà dans leurs propres problèmes socio-économiques. De ce fait la Tunisie et les Tunisiens devraient s'en sortir par leur propre travail.
Rappel historique:
Introduction: 'état de minorité est l'incapacité de se servir de son entendement sans la conduite d'un autre. --> Oui, la femme tunisienne est elle-même responsable de cet état de minorité car la cause tient non pas à une insuffisance de l'entendement mais à une insuffisance de la résolution et du courage de s'en servir sans la conduite d'un autre (dans ce cas d'un homme)!
Je commence par donner d'abord ma définition du féminisme positif: « le féminisme positif est un mouvement qui cherche à établir l'égalité politique, économique, culturelle, personnelle, sociale et juridique entre les femmes et les hommes. Le féminisme a pour objectif d'abolir ces inégalités socio-économiques dont les femmes sont les principales victimes, et ainsi de promouvoir les droits des femmes.'
Ma définition du féminisme n'a rien à voir avec le comportement des femmes fatales (du genre Carmen, voir l'opéra en quatre actes de Georges Bizet sur le lien web suivant:
https://www.youtube.com/watch?v=uV9iGv4sKNI
50,5% des électeurs inscrits à l'élection législative de 2014 étaient des femmes, mais de ces 2,7 Millions de femmes inscrites seulement un Million de femmes ont voté et 1,7 Millions ont préféré s'abstenir --> premier indice que la femme tunisienne est elle-même responsable de son état de minorité dans tous les domaines socio-économiques
Il s'agissait de la sortie de la femme tunisienne hors de l'état de minorité dont elle est, elle-même, responsable. Mais non, la femme tunisienne a raté cette occasion unique. Elle a raté une occasion unique afin de mettre un terme à la dictature de l'homme dans le monde socio-économique
En 1784, Emmanuel Kant écrit ce célèbre passage: 'L'état de minorité est l'incapacité de se servir de son entendement sans la conduite d'un autre. On est soi-même responsable de cet état de minorité quand la cause tient non pas à une insuffisance de l'entendement mais à une insuffisance de la résolution et du courage de s'en servir sans la conduite d'un autre. Sapere aude ! [Ose savoir] Aie le courage de te servir de ton propre entendement! Voilà la devise de l'Aufklärung'
La femme tunisienne voulait et veut sortir de cette situation décrite par Kant! Et elle avait eu au mois de décembre 2014 la chance de s'en sortir. Mais elle n'a pas tiré profit de cette occasion et elle s'est laissée prendre au piège de BCE.
50,5% des électeurs inscrits aux élections législatives et présidentielles de 2014 étaient des femmes. Oui, la candidate Madame Kalthoum Kannou aurait pu réaliser un véritable miracle et devenir la première femme présidente de la Tunisie et dans le monde arabe, si les 2,7 Millions de femmes inscrites à notre ISIE avaient voté majoritairement pour elle!
On attendait de l'élection de Madame Kannou une Tunisie sans exclusion, sans discrimination, avec les mêmes droits socio-économiques pour les femmes que pour les hommes. L'élection de Madame Kalthoum Kannou aurait pu être un coup de tonnerre dans notre pays réputé pour son conservatisme vis-à-vis de la femme.
Oui, les femmes tunisiennes avaient toutes les raisons afin de voter majoritairement pour elle, mais elles avaient refusé de le faire et je ne sais vraiment pas pourquoi. La faute est à qui? Probablement, à cette idée de vote utile à la con propagée par BCE.
Une jeune compatriote en Allemagne m'avait dit: "nous voulons en Tunisie une démocratie plus paritaire qui intègre tout le monde et je crois qu'une femme au poste de Président de la République pourrait être un symbole de changement en Tunisie et un exemple pour d'autres pays arabes."
Vous pouvez imaginer la grande déception de cette jeune fille tunisienne après les élections. Elle m'a dit: "nous avons raté une occasion unique afin de mettre un terme à la discrimination de la femme et des minorités. Honte à toutes celles qui n'ont pas voté pour Kalthoum et qui ont cru aux mensonges de BCE"
La surprise est telle que cette jeune fille tunisienne avait refusé d'y croire: "Ils ont dû tricher, ce n'est pas normale que 2,7 millions de femmes refusent de voter majoritairement pour une femme qui a tous les mérites et les qualités afin de gérer les affaires du pays et d'opter pour le bluffeur BCE"
Oui, moins que 0,1% des femmes ont voulu voter pour une femme, et 99,9% ont voté majoritairement pour le grand baratineur BCE, ou elles ont refusé de voter! Je ne sais plus vraiment quoi dire que de redire ce qu'a dit un jour le philosophe allemand Kant: 'On est soi-même responsable de cet état de minorité quand la cause tient non pas à une insuffisance de l'entendement mais à une insuffisance de la résolution et du courage de s'en servir sans la conduite d'un autre. Sapere aude ! [Ose savoir] Aie le courage de te servir de ton propre entendement!'
Oui, la femme tunisienne est elle-même responsable de cet état de minorité car la cause tient non pas à une insuffisance de l'entendement mais à une insuffisance de la résolution et du courage de s'en servir sans la conduite d'un autre, et de se laisser prendre au piège de fausses promesses de BCE.
J'ai toujours respecté le militantisme de Abir Moussi, elle est la seule politicienne à avoir fait front aux islamistes d'abord, puis aux putschistes du 25. Cependant, le vrai militantisme est un militantisme désintéressé, le vrai militant ne devrait pas espérer une quelconque carotte au bout du chemin. Abir ferait mieux de rester au dessus de cette mêlée et notre respect envers elle ne fera que croître.
Il faut vraiment que nous changions de mentalité lorsqu'il s'agit de voter pour quelqu'un. On ne veut plus que le pays soit dirigé par des avocats ou des juristes de 10 ème rang vendeurs de palabres et de mirages. Le pays a besoin de bâtisseurs expérimentés. Beaucoup d'opposants ne savent que critiquer et démanteler l'existant, mais une fois au pouvoir, c'est le néant. S'il faudrait voter pour un destructeur, je donnerai mon vote volontier à ks, le meilleur bulldozer que la Tunisie n'ait jamais enfanté.
Arrêtons aussi de voter pour les candidats "honnêtes", l'histoire récente de la Tunisie nous a montré que ces "honnêtes" deviennent des crapules une fois au pouvoir.
J'espère que MZ se présentera aux élections et il aura mon vote à moins que ks use encore d'un subterfuge juridique digne de Roy Cohn afin de lui barrer le chemin.
Les prochains mois seront chauds en Tunisie et le sieur est de plus en plus nerveux et a déjà un doigt tremblotant sur la gâchette juridique. Est-ce que je vous ai déjà parlé de Roy Cohn?
A ceux qui se posent la question, mais où était MZ avant, je leur réponds par une autre question: mais où était ks avant 2019? Dans un café populaire sans doute? Au moins MZ a fait ses preuves dans les rouages de l'Etat contrairement à l'autre qui n'a rien appris depuis 2019 et agit toujours en amateur imprévisible.
Préparez du pop-corn, des chips et des glibettes noires, ça va chauffer dans les prochains mois.
L'essentiel c'est que KS ne soit pas réélu.
K.S va lui chercher la petite bête, c'est sûr. K.S sait se défendre.
A part nous prolonger la décennie noir en pire, je ne vois pas la valeur ajouter qu'a apporter ce monsieur à notre pays.
Nous avons marre d'être dirigés par des redoublants et des arrogants qui n'ont que des théories de complots à offrir au peuple. Les tunisiens ont besoin d'espoir (et pas de promesses stratosphériques de charlatans) et la Tunisie a besoin de vrais projets générateurs de richesse et non pas de piscines municipales.
Nos voisins européens devraient aussi miser sur un candidat stable et non pas sur une personne irresponsable qui manque de sérieux. Il en va de la stabilité économique et sociale de ces pays.
Ks no parasan.
Lui et Abir Mpussi sont du même bord et en tant qu'être intelligents et responsables on suppose qu' ils ne se nuiront pas les uns et les autres dans l' intérêt du pays ..
Ceci dit dans le cours terme c' est un appui considérable au pdl et c' est comme cela que les choses devraient être vues, nonobstant le mérite de Abir Moussi injustement emprisonnée la seule a gagner le mérite d ' avoir combattu les islamistes le vrai fléau qui ne devrait pas se reproduire ..
Est ce que ce Monsieur M.Z s' est prononcé à ce ce sujet )?
Faudrait des éclaircissements de ce côté là ...
Ceci dit aidez vous les uns lea autres , le Ciel vous aidera
Il va finir en "TAULE" bientôt" à cause de VOUS TOUS!
Vous pendez que les "Fartassas" tunes comprennent qqc à la boulitique et c pour ça votre fartassa locale vous a mis dans 1 prison d'1 superficie de 125000 km²!
vous ne comprenez rien de rien de ce qui vous est arrivé depuis 1 july 202..
TOUT ce que vous êtes capable de faire C des fake News et gagner de l'argent sur le dos des incultes et le fartassa vous a emprisonné pour au moins 10 ans.....
Continuez, continuez.....
Si Mondher on va a fait votre ancienne campagne à Pars 15ème vous vous rappelez, alors 1 conseil ne vous présentez pas et laissez les s'entre tuer et à l'arrivée vous l'aurez cette présidence quand TOUS ces incultes et singes savon (savants) ne feront + partie du vrai décor de la compétence.
Si Mondher, les Tunisiens ne vous méritent pas, à cause de l'inculture et rappelez l'époque de
N karoui, vous allez finir en Taule avec 1 dossier "Préfabriqué" et fabriqué par des vrais Tunisiens qui se complaisent à vivre dans la mdr....
N'allez pas, pas de candidature, parce que vous allez finir en Prison paradis inventé par les fartassas d'Echaabou Youridou...
à suivre.....
J'attends de voir les autres candidatures pour me décider.
Mondher Zneidi, travaille pour les khwémjiya !!
Hahahaha, hahahaha, hahahaha, c'est la meilleure des meilleurs.
Va consulter ya m'ra.
L'AVC te guette !!!!
Ces informations ne me sont pas parvenues par le biais de rumeurs ou de tiers, mais plutôt de source directe, car j'étais présent à la même table lorsque ces événements se sont déroulés. Cette expérience m'a permis d'observer de près les coulisses de cette affaire scandaleuse, soulevant ainsi des questions sur l'utilisation appropriée du pouvoir et de l'influence dans notre société
A partir d'un fait divers dont vous avez été témoin (que je ne mets pas en doute),vous essayez de faire ,comme en PHYSIQUE,un raisonnement inductif,où à partir de l'expérience,on essaye de tirer des lois,égratignant au passage le candidat objet de l'article SAUF QU'en POLITIQUE,les choses ne se passent pas ainsi....
La chute de votre commentaire est par contre intéressante,la Question de "l'utilisation appropriée du pouvoir et de l'influence dans notre société" est la question qui a toujours régi les rapports entre les hommes et selon que l'on soit dans un ETAT de DROIT où tous les citoyens sont égaux ,où la parole est libre ou bien dans un ETAT où les Béni-oui-oui sont légion pour conforter dans ses "CERTITUDES" le détendeur du POUVOIR pour faire partie de sa COUR rapprochée afin d'espérer jouir de tous les privilèges,eh bien j'aurai plutôt tendance à "Tirer mon CHAPEAU" (ce qui ne veut pas dire,loin s'en faut un soutien,mon indépendance d'esprit me l'interdisant)
à celui qui,le premier,dans cette seconde configuration de l'ETAT, a pu plonger dans le BAIN....
C'est la Condition Sine qua non pour REBASCULER vers l'ETAT de DROIT mentionné plus haut,gageons que d'autres PLONGEURS confirmés ,PATRIOTES,le suivront....
Ces aspects ne suscitent aucun intérêt de ma part. Mr. Zenaidi? Une quantité inconnue.
Cependant, le souvenir de cet incident demeure vivace, d'autant plus que la personne lésée, Jacquie Messina, était une personne extrêmement affable, dénuée de prétention. En somme, un individu sympathique à qui l'on ne souhaiterait aucun mal.
L'incident m'a laissé une impression désagréable, et cela en raison de la personnalité admirable de Jacquie Messina. Son caractère chaleureux. Il est regrettable de constater que de tels incidents peuvent affecter des individus aussi dignes et respectueux.
En prenant du recul, il est essentiel de reconnaître l'impact que de telles expériences peuvent avoir sur la vie des personnes touchées. L'importance de promouvoir la compréhension, le respect mutuel et l'équité devient d'autant plus évidente à la lumière de situations regrettables comme celle-ci. Que l'on appartienne à des cultures diverses, la nécessité de favoriser un environnement respectueux demeure impérative pour une société harmonieuse et inclusive.
Mais pourra t il se présenter? n'ira t il pas en prison pour une raison absurde? et les élections seront elles xxxx (censure pour éviter une plainte et la prison) en Tunisie en 2024? et est ce que je risque la prison rien que pour avoir osez poser ces questions légitime pour tout citoyen?
Mais il devra en AUCUN cas marcher sur Abir Moussi qui est aussi sinon plus compétente que lui avec des idées plus en phase avec la Tunisie, avec de l'action en prime.
Ceci dit, Abir Moussi est celle qu'il faudra pour notre pays, sans aucun doute ; juste pour son militantisme, son abnégation, sa force du verbe, son honnêté, le fait qu'elle n'ai pas "trempée" avec l'ancien régime jusqu'au cou, comme Mondher Zneidi, fait d'elle MA candidate...
Abir Moussi ne peut être un TREMPLIN ; un tremplin pour le Diktatour qui, grâce à elle, à pris le pouvoir total, et ne doit pas être un TREMPLIN pour Mondher Zneidi.
C'est quoi ce fameux carnet d'adresses.
Que comporte-il ?
Est ce qu'il s'agit de banquiers qui vont prêter à la Tunisie sans intérêts, d'investisseurs qui vont investir à tour de bras et amener prospérité et opulence aux Tunisiens, ou
s'agit plutôt d'officine de
communication pour
orienter le choix des
tunisiens.
Tu n'as jamais milité et pris des risques?
Tu as servi, servillement, ton Maître Ben Aloi (ce que Abir Moussi n'a jamais fait, vu qu'elle avait que 32 ans à l'époque, sans aucun pouvoir executif) et tu veux le "poste" ?
Et bien...tu n'auras AUCUN vote de Abir Moussi.