Notre pays aurait besoin de ses services en tant que dirigeant de premier ordre.
C'est un self made man honnête,compétent,trés bien éduqué et intègre.
Son nom de famille est BEN ABDERRAHMANE.
Faouzi Abderrahmen, membre du bureau politique et secrétaire général d’Afek Tounes, a indiqué, ce jeudi 5 mai 2016, sur Jawhara Fm, que le parti organisera son conseil national en juin afin de fixer le calendrier pour le congrès du parti qui aura probablement lieu entre septembre et novembre de l’année 2016.
Il a, par ailleurs, expliqué qu’il a demandé lui-même à être dispensé de son poste de secrétaire général, car le parti s’est agrandi et ne peut donc plus fonctionner avec la même gouvernance et la même organisation.
M. Abderrahmen a aussi affirmé que la position du parti dans les élections et les 8 sièges qu’il a obtenu au parlement, ne sont pas une surprise, dans la mesure où Afek s’attendait même à un chiffre supérieur, qu’il a d’ailleurs manqué de peu.
Il a ajouté que le parti subit, néanmoins, une campagne de « dénigrement » de la part d’autres partis de la coalition soulignant que la coalition des partis n’est pas en train de « travailler» et qu’on ne peut donc pas dire qu’il existe réellement une « coalition au pouvoir ».
M.B.Z
Faouzi Abderrahmen, membre du bureau politique et secrétaire général d’Afek Tounes, a indiqué, ce jeudi 5 mai 2016, sur Jawhara Fm, que le parti organisera son conseil national en juin afin de fixer le calendrier pour le congrès du parti qui aura probablement lieu entre septembre et novembre de l’année 2016.
Il a, par ailleurs, expliqué qu’il a demandé lui-même à être dispensé de son poste de secrétaire général, car le parti s’est agrandi et ne peut donc plus fonctionner avec la même gouvernance et la même organisation.
M. Abderrahmen a aussi affirmé que la position du parti dans les élections et les 8 sièges qu’il a obtenu au parlement, ne sont pas une surprise, dans la mesure où Afek s’attendait même à un chiffre supérieur, qu’il a d’ailleurs manqué de peu.
Il a ajouté que le parti subit, néanmoins, une campagne de « dénigrement » de la part d’autres partis de la coalition soulignant que la coalition des partis n’est pas en train de « travailler» et qu’on ne peut donc pas dire qu’il existe réellement une « coalition au pouvoir ».
M.B.Z